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Sept cas d'usage des outils d'e-réputation

Sept cas d'usage des outils d'e-réputation
01net le 30/04/12 à 15h35 Les logiciels d’e-réputation se multiplient à la vitesse grand V sur le marché. Globalement, tous servent le même dessein : mesurer l’image dans le temps – véhiculée dans la presse, sur le web, sur les forums et, de plus en plus, sur les réseaux sociaux – d’une entreprise, d’un produit ou d’une personne. Retour sur sept cas d’application. 1) Détecter les leaders d’opinion L’analyse des commentaires des consommateurs est sûrement le volet de l’e-réputation le plus connu. Pour autant, « la plupart des projets d’e-réputation visant à cerner le comportement et les avis des consommateurs restent encore séparés du monde de la relation client. 2) Mesurer la tendance d’un écosystème Historiquement, les entreprises recourent aux études de marché pour déceler les goûts des consommateurs. Thermomètre qui peut également être un plus pour tester la réaction de l’opinion publique face, par exemple, à un projet d’implantation d’une usine ou d’un magasin. 4) Anticiper et alerter

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Identité numérique : de l’anonymat au personal branding Jeune hyperconnecté et asocial Personne passionnée. Dans la bouche de ceux qui l’utilisent, le terme «geek» marque souvent un retrait voire une rupture avec les usages et les usagers du numérique. Poudre aux yeux ? Bourdonnement du web visant à faire (beaucoup) de bruit sur peu de temps. Guide Gérer les enjeux et risques juridiques du Web 2.0 Le CEFRIO (Centre francophone d’informatisation des organisations au Québec) a publié fin janvier 2012 un guide qui porte sur le volet des enjeux juridiques liés aux usages du Web 2.0 par les organisations (que ce soit des entreprises, associations ou institutions). Élaboré en partenariat avec HEC Montréal et le Centre de recherche en droit public de la Faculté de droit de l’Université de Montréal, le guide Gérer les enjeux et risques juridiques du Web 2.0 gratuit au téléchargement (en pdf, 125 pages) se saisit de questions essentielles autour des outils en ligne de plus en plus utilisés par les organisations : applications, réseaux sociaux, blogs… qui permettent des activités d’échange, de recherche et de diffusion d’information sur le Web. Des écueils existent relatifs à l’utilisation de ces outils.

Comment nettoyer une mauvaise eRéputation ? Votre entreprise a eu une mauvaise presse sur plusieurs sites internet ? Vous avez un homonyme un peu trop visible dans les résultats sur Google ? Vous avez sur le Web des casseroles un peu ennuyeuses comme une vidéo ou des images de soirées un peu trop arrosées ? Et donc vous voulez « nettoyer » votre eRéputation afin de faire remonter un nouveau contenu ou “cacher” du contenu existant… Pour cela il existe deux méthodes :

Les TPE françaises privilégient les outils de gestion Crédit: D.R Les TPE françaises sont très connectées à Internet, à 84%, mais côté usages, elles se contentent d'applications de gestion et délaissent celles tournées vers le commercial. C'est ce qu'indique une étude présentée par Orange et Fiducial. Identité numérique : 6 étapes pour obtenir votre passeport sur le web Votre notoriété sur internet ne s’améliore pas vraiment ? Plateformes sociales, blog… vous avez mis en place le dispositif de base, mais votre communauté ne s’engage pas ! Vous devriez peut-être revoir votre identité numérique !

La mauvaise e-Réputation Et si, au lieu de tanner les internautes de discours parano sur Facebook, nous reconnaissions que la vie mise en scène sur les réseaux sociaux n'est plus privée et que chacun a droit à sa part d'insouciance numérique ? Cela fait maintenant plusieurs années qu’on nous assène de discours moralisateurs avec ces concepts, à coup de billets de blogs, de conférences, d’ouvrages, de cours… On nous dit de faire attention aux traces qu’on laisse. On nous met en garde. On nous prévient des conséquences à long terme des photos ou tweets que l’on publie aujourd’hui.

Quels outils pour diagnostiquer votre e-reputation ? Ancien consultant en veille d’opinion et gestion de la réputation en ligne pour des agences web, Camille Alloing est aujourd’hui ingénieur R&D pour un grand groupe français, et doctorant en sciences de l’information et de la communication au laboratoire CEREGE de l’IAE de Poitiers. Il est par ailleurs l’auteur du blog Caddereputation, dédié à l’e-réputation, aux outils et méthodologies associées. Il nous propose aujourd’hui un billet sur les outils permettant de diagnostiquer sa e-réputation dans le cadre du Débat du mois sur l’identité numérique. Camille vient par ailleurs de sortir un livre avec David Fayon intitulé Développer sa présence sur Internet.

La réputation en ligne : un concept encore flou pour les entreprises Selon une étude publiée par Aastra, spécialiste des communications unifiées, les outils web 2.0 (pour la communication et la collaboration) n'auraient plus de mystère pour les entreprises. Si celles-ci ont une bonne connaissance de la plupart de ces outils et de leur place stratégique, deux notions restent encore un peu floues : l'e-recommandation et la réputation en ligne. « Êtes-vous un Collaborateur 2.0 ? 21% des entreprises françaises utilisent des OS libres Si des statistiques comme celles de NetApplications tendent à laisser penser que les OS libres sont peu utilisés, la réalité en France serait autre d’après l’Insee. Selon l’enquête de l’institut sur les technologies de l'information et de la communication et le commerce électronique 2011, ce sont 21% des entreprises françaises d’au moins 10 salariés qui utilisent des OS libres (sur au moins un poste). Les OS libres d'abord dans les entreprises de 20 à 249 salariés Des différences en taux d’équipement sont à noter selon le secteur d’activité de l’entreprise et sa taille. Les OS libres sont ainsi très présents dans le secteur de l’information et de la communication (plus de 50%), mais à moins de 15% dans l’immobilier et le bâtiment.

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