Sex toys et libérations
Karine a 23 ans. Elle est étudiante en communication et modèle nue sur Internet. La jeune femme entretient avec sa sexualité un rapport ambivalent, parfois douloureux. Un jour, une amie lui parle d'un "truc révolutionnaire" : A partir du moment où j'ai découvert ce sex toy, il a été comme mon meilleur pote.
Le queening, une pratique pour favoriser le plaisir sexuel féminin
Marre de toutes ces positions sexuelles où c’est l’homme qui domine ? Le queening inverse les rôles puisque c’est la femme qui contrôle le jeu. Assise sur la tête de son partenaire en véritable "queen", elle est maîtresse du moment et se laisse aller à un plaisir génico-buccal. Le queening, une pratique sexuelle qui ne date pas d'hier Le queening est une pratique très ancienne qui donne toute sa place aux plaisirs féminins. Et oui, s’asseoir sur son partenaire en faisant un va-et-vient pour stimuler son clitoris était une pratique répandue au sein des anciennes cultures chinoises, indiennes, japonaises, victoriennes, ou encore égyptiennes, comme l’affirme l’Urban Dictionary, un dictionnaire argotique en ligne.
Orgasme nocturne : avoir un orgasme en dormant
Si l'orgasme a toujours été un sujet plein de mystère, l'orgasme nocturne relèverait presque du secret de polichinelle. Un phénomène expérimenté par de nombreuses femmes - 37% l'auraient déjà ressenti -, pourtant rarement évoqué. Comme l'explique Marjorie Cambier*, sexothérapeute et psychologue clinicienne, ce phénomène correspond « à la survenue d'un orgasme durant le sommeil et notamment lors des phases de sommeil paradoxal, et ce en l'absence de stimulation volontaire directe ». Un plaisir inconscient qui surviendrait principalement pour la première fois autour de la quarantaine chez la femme. Carine, commerciale de 53 ans, connait régulièrement les joies du plaisir endormi. « Généralement, ça ne me réveille pas complètement, je suis dans une sorte de demi sommeil mais j'ai conscience de ce qui se passe.
10 différents orgasmes qu’on veut toutes connaître un jour
Orgasme cervical, orgasme des seins, orgasme anal : vous l’aurez compris, l’orgasme est un microcosme à lui seul. Mais pas de panique. Nous n'avons pas toutes les mêmes sensibilités. Ne complexez surtout pas si vous n’êtes pas réceptive à telle ou telle stimulation ! Les types d’orgasmes liés au clitoris
Qu’est-ce qui déclenche l’orgasme ?
Imprévisible et fragile, la jouissance féminine est plus mystérieuse que celle de l’homme. Moins « mécanique », elle est soumise à de nombreux paramètres émotionnels qui peuvent la bloquer. Estime de soi, lâcher-prise, confiance en l’autre… Voici des clés pour mieux s’abandonner.
8 zones érogènes qu’on ne soupçonne pas
Non, les zones érogènes ne se cantonnent pas aux zones génitales ! Et si on partait à la découverte du corps de l’autre à la recherche de nouvelles zones érogènes ? Les aisselles A priori je vous l’accorde, ça ne fait pas rêver… Mais si vous passez le cap du « beurk », il se peut que vous y preniez goût. La peau fine, les poils et l’odeur (et oui) sont érogènes ! Attention toutefois aux chatouilles, qui peuvent casser l’ambiance.
Atteindre l’orgasme, est-ce si important ?
On nous apprit que la fin d’un rapport sexuel se conclut par un orgasme. A tel point qu’on ne se sent pas très à l’aise quand ce n’est pas le cas. Ai-je un souci ? Suis-je frigide ?
Tuto : Déco et Art de la fête à la mode antique ! – Savoirs d’Histoire
Dans l’Antiquité l’organe viril masculin, emblème de fertilité méritant d’être célébré, était l’objet d’un culte et recevait des honneurs divins. Cela s’explique notamment par le fait que la représentation phallique à but cultuel était détachée de toute connotation érotique et dissociée du corps de l’homme. Eh oui, il en aura phallus du temps avant que l’engin de ces messieurs ne devienne un sujet tabou qu’il faut comprimer, dissimuler, effacer. Je vais donc aujourd’hui vous parler de ce “culte honteux” selon les mots de César Famin, auteur au XIXe siècle d’un ouvrage traitant de la collection d’oeuvres érotiques conservées dans le cabinet secret du Musée de Naples et dont plusieurs illustrations de cet article sont issues.
Les machines à faire l'amour : vers une nouvelle révolution sexuelle
Il y a une scène que j’adore dans «Barbarella» (Roger Vadim, 1968) où l’héroïne, interprétée par Jane Fonda, est capturée par son ennemi, l’abominable Durand Durand, et placée dans une machine de son invention baptisée «machine de l’excès». Celle-ci se présente comme un gros piano à queue dont le couvercle est constitué d’un faisceau de longues pales mouvantes se déployant telle une vague au-dessus du corps de la victime dont seule la tête dépasse. De son côté, le tortionnaire plaque des accords sur le clavier lumineux, contrôlant à travers la musique le rythme et l’intensité du mécanisme. Au début, Barbarella paraît surprise ; elle trouve même la chose agréable. Puis la musique s’accélère, ses vêtements sont éjectés par la bouche d’un tuyau, Barbarella, affolée, demande ce qui se passe. Durand Durand lui révèle alors le terrible sort qu’il lui réserve: quand l’air atteindra son crescendo, celle-ci mourra, dévastée de plaisir…