http://catb.org/~esr/faqs/hacker-howto.html#what_is
Related: leçons de vieLa théorie argumentative : le rôle social de l’argumentation En juillet dernier, lors de l’ouverture du séminaire sur « la nouvelle science de la moralité » de la revue The Edge, Jonathan Haidt, professeur de psychologie sociale au département de psychologie de l’université de Virginie a évoqué un article publié récemment dans la revue Behavioral and Brain Sciences, qu’il a qualifié de « tellement important » que les « résumés devraient en être affichés dans les départements de psychologie de tout le pays ». Cet article signé Hugo Mercier, doctorant en philosophie, politique et économie à l’université de Pennsylvanie, et Dan Sperber, directeur de le l’Institut international de la cognition et de la culture et membre de l’Institut Jean Nicod à Paris, s’intitule « Pourquoi les humains raisonnent ? Arguments pour une théorie argumentative ».
Hackers, pirates, cyberpunks : la résistance du web, Vu sur le w L'avènement des nouvelles technologies dans les années 1970, la démocratisation du micro-ordinateur, l'accès à une information toujours plus large, ont permis l'émergence d'une autre culture de masse. Cet essor a engendré l'accès à de nouveaux savoirs, à une pluralité d'informations. Cependant la quasi-totalité de la toile étant gérée par quelques multinationales surpuissantes, il existe une frange qui se détache de cette information, la considérant comme tronquée.
Contrôle et devenir / Gilles Deleuze, entretien avec Toni Negri at Le silence qui parle Dans votre vie intellectuelle le problème du politique semble avoir été toujours présent. D’un côté la participation aux mouvements (prisons, homosexuels, autonomie italienne, Palestiniens), de l’autre la problématisation constante des institutions se suivent et s’entremêlent dans votre votre oeuvre, depuis le livre sur Hume jusqu’à celui sur Foucault. D’où naît cette approche continue à la question du politique et comment réussit-elle à se maintenir toujours là, au fil de votre oeuvre ? Pourquoi le rapport mouvement-institutions est-il toujours problématique ? Ce qui m’intéressait, c’était les créations collectives plutôt que les représentations.
Nos décisions en questions Comment prenons-nous des décisions morales ou éthiques ? Dans l’idéal, nous devrions les prendre uniquement sur les faits… Nous en sommes loin, rappelle Jonah Lehrer dans Wired, l’auteur de Faire le bon choix : comment notre cerveau prend des décisions. Jonathan Haidt, l’auteur de L’hypothèse du bonheur, psychologue à l’université de Virginie, est connu pour avoir soutenu que nos jugements moraux sont comme des jugements esthétiques. Quand vous êtes face à un tableau, vous savez généralement instantanément et automatiquement si vous l’aimez. Notre jugement moral fonctionne un peu de cette façon, explique Jonah Lehrer. Nos sentiments viennent en premier et les raisons sont inventées à la volée pour les justifier ou les renier. « Quand il s’agit de prendre des décisions éthiques, nous ne nous basons pas sur la rationalité, mais au contraire, sur nos passions ».
Les « bidouilleurs » de la société de l’information, par Jean-Ma En 2005, deux électroniciens découvrirent, stupéfaits, que les données confidentielles contenues dans la carte Vitale n’étaient pas protégées : on pouvait les lire, mais aussi les modifier. Pour d’obscures raisons, le mécanisme de sécurité n’avait pas été activé. L’affaire aurait pu faire scandale ; elle ne suscita que quelques articles de presse, et fut rapidement oubliée après que les responsables de la carte Vitale, tout en reconnaissant le problème, eurent déclaré qu’il serait corrigé. Quelques mois plus tard, l’un des deux électroniciens remonta au créneau en faisant remarquer que rien n’avait été fait.
Feu sur les enseignants, par Gilles Balbastre « Dynamique et réactif », « disponible », « grand sens de l’autorité naturelle, alliant fermeté et souplesse », « ouverture d’esprit », « capacité à mener des projets », « capacité à innover ». Les exigences des employeurs qui déposaient à la veille de l’été 2010 leurs « fiches de recrutement » sur Internet n’étonnent guère. Plus inhabituelle, cependant, est la catégorie professionnelle à laquelle ils s’adressent : les enseignants.
30 questions qui pourraient changer votre vie Home » Développement Personnel 21 mars 201024 911 views20 Comments Pensez à vous inscrire sur notre page Facebook pour être tenus informé de la parution des nouveaux articles Crédit photo : Flickr DoBeRaGi « Everywhere questions » Parfois, il nous suffit de nous poser les bonnes questions pour évoluer dans le bon sens et tendre vers la vie dont nous rêvons. #pdlt : Esprit hacker, es-tu là Xavier de la Porte, producteur de l’émission Place de la Toile sur France Culture, réalise chaque semaine une intéressante lecture d’un article de l’actualité dans le cadre de son émission. Désormais, vous la retrouverez toutes les semaines aussi sur InternetActu.net. Le mensuel américain Wired vient de livrer un article qui fait la couverture du numéro de mai titré : “Le pouvoir geek : comment la culture hacker a conquis le monde”.
En Europe, les compétences contre le savoir, par Nico Hirtt La pensée éducative de Mme Androulla Vassiliou, commissaire européenne à l’éducation, tient en quelques phrases : « améliorer les compétences et l’accès à l’éducation en se concentrant sur les besoins des marchés », « aider l’Europe à engager la compétition globalisée », « équiper les jeunes pour le marché du travail d’aujourd’hui » et « répondre aux conséquences de la crise économique ». Elle résume assez bien les conceptions des dirigeants européens, qui considèrent depuis une quinzaine d’années que la première mission de l’école est de soutenir les marchés et que la solution aux problèmes de chômage et d’inégalité réside dans une meilleure adéquation entre l’enseignement et les « besoins » économiques. « La notion de réussite pour tous ne doit pas prêter à confusion »
Ce que traduit la peur de la distraction La lecture de la semaine, il s’agit de quelques extraits d’un entretien que Cathy Davidson a donné le 21 août dernier au magazine en ligne Salon. Cathy Davidson enseigne les études interdisciplinaires à l’Université de Duke en Caroline du Nord et elle est l’auteure d’un livre intitulé Now you see it qui traite de la manière dont les travaux sur l’attention vont transformer notre manière de vivre, de travailler et de penser. Dans cet article de Salon, elle est interrogée sur les enfants et sur la manière dont nouvelles technologies modifient le cerveau des enfants, pas forcément dans le mauvais sens. Cathy Davidson commence par expliquer que le discours sur les nouvelles technologies et les enfants a complètement changé après la tuerie de Colombine (en 1999 deux adolescents avaient tué à l’arme automatique 13 de leurs condisciples et professeurs).
"Vis ma vie" sans service public LE MONDE pour Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Virginie Malingre - Londres, Correspondante Coupes budgétaires, donc télé-réalité. A priori, rien ne justifie que les unes entraînent l'autre. L’étonnante courbe du bonheur L’INSEE vient de publier son "Portrait social" de la France, édition 2008, et, cette année, une des études a pour titre : "Le bonheur attend-il le nombre de années ?" Cette enquête s’intéresse au bien-être des Français, à leur degré de satisfaction. La question de départ qui a été posée à l’échantillon interrogé était : "Dans l’ensemble, êtes-vous très satisfaits, plutôt satisfaits, pas très satisfaits ou pas du tout satisfaits de la vie que vous menez ?"
Manipulation de masse : un œil sur l’avenir de la communication politique dans les réseaux Pour avoir cherché à démasquer le groupe Anonymous, HBGary, une société de sécurité informatique, a vu ces derniers s’emparer des archives emails de l’entreprise et les publier aux yeux de tous sur internet. HBGary, qui compte plusieurs agences fédérales ainsi que l’armée américaine parmi ses clients, a ainsi dévoilé – bien involontairement – de nombreuses informations compromettantes, dont une concernant la mise au point d’une technologie permettant à un seul opérateur d’incarner une multitude de personnages à travers différents réseaux sociaux, tels Facebook, Twitter ou MySpace. Avec un tel logiciel, une personne pourrait ainsi simuler, à elle seule, un effet de foule, une petite équipe pourrait mettre en scène une majorité. La psycho-sociologie ayant toujours cours dans le virtuel, on imagine aisément l’intérêt d’un tel outil pour quiconque voulant influencer l’opinion (et la presse) à travers les réseaux sociaux.