L'UNESCO soutient l'éthique et la bioéthique à travers le monde
Lors de ce sommet, l'UNESCO a présenté l’analyse d'un sondage mené auprès des comités nationaux d'éthique et de bioéthique. L’objectif de ce sondage était de mieux connaitre les comités à travers le monde : leur composition, leurs méthodes de travail et les défis auxquels ils sont confrontés au niveau national. Le débat s’est centré autour d’importantes questions, comme les limites de leur indépendance et de leur autonomie par rapport à leur organisme de tutelle (ministère ou autre) ; comment atteindre la société civile et la faire intervenir davantage dans les processus de prise de décision ; comment mieux diffuser les résultats des travaux des comités ; et comment mieux sensibiliser les populations sur les questions de bioéthique. La couverture universelle de santé a été un autre sujet important abordé lors du sommet. L'UNESCO a présenté un plan à moyen terme afin de permettre une interaction plus active entre les comités, les experts internationaux et les gouvernements.
Des parents veulent stopper la réanimation de leur bébé
Un enfant est né quatre mois trop tôt, c’est un grand prématuré. Il a fait une hémorragie interne, s’il survit à cette épreuve, il sera handicapé. Les parents refusent de voir grandir leur enfant dans cet état, ils dénoncent un acharnement thérapeutique : « Certaines familles sont prêtes à l’accepter mais on ne veut pas d’une vie de handicap pour notre fils ».
La bioéthique en débat
Première publication : 29 juin 2009 Il y a quinze ans, la France était le premier pays au monde à se doter de lois dédiées à la bioéthique, c’est-à-dire à « l’éthique du vivant ». Avec les progrès rapides de la science et de la médecine, de nouvelles questions émergent. Ces lois sont donc régulièrement révisées afin de préserver au mieux l’intégrité de la personne.
Médias français : qui possède quoi, par Jérémie Fabre (Le Monde diplomatique, juillet 2016)
Dernière mise à jour : décembre 2020 (v. 16.2) Cette affiche prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité. Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui dépendent d’intérêts industriels ou financiers, de groupes de presse ou de l’État : • les titres de presse écrite papier à diffusion nationale de type généraliste, économique et politique ; • les titres de la presse quotidienne régionale ; • la télévision nationale (et quelques chaînes de télévision locales) ; • les canaux de radio à portée nationale ; • certains sites d’information en ligne. Les titres indépendants (comme Le Canard enchaîné) ainsi que la presse dite alternative ne sont pas représentés (1).
La révision des lois de bioéthique . FAQ
Toutes les FAQs citoyens Qu’appelle-t-on la bioéthique ? Le mot bioéthiqueBioéthiqueQuestions éthiques et sociétales posées par les innovations médicales qui impliquent une manipulation du vivant comme les expérimentations sur l’homme, les greffes d’organes et l’utilisation des parties du corps humain, la procréation médicalement assistée, les interventions sur le patrimoine génétique, etc. est constitué de deux racines : "bio" signifiant "vivant" et "éthique" "ce qui est bon pour l’homme". La bioéthique concerne la médecine et la recherche utilisant des parties du corps humain. Elle vise à définir les limites de l’intervention de la médecine sur le corps humain en garantissant le respect de la dignité de la personne et a pour objectif d’éviter toute forme d’exploitation dérivée de la médecine (trafic d’organes, clonage humain…).
Comité Directeur pour la Bioéthique (CDBI)
Comité de Bioéthique (DH-BIO) Depuis le 1er janvier 2012, suite à la réorganisation des instances intergouvernementales au Conseil de l'Europe, le Comité de Bioéthique (DH-BIO) mène les travaux qui sont assignés au Comité directeur pour la bioéthique (CDBI) par la Convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine. Cette réorganisation a également pour but de créer un lien plus étroit entre le DH-BIO et le Comité directeur pour les Droits de l'Homme (CDDH).
Quand un philosophe libéral défend le suicide assisté
FIGAROVOX/CHRONIQUE - Chaque semaine, Gaspard Koenig remonte aux sources philosophiques de la pensée libérale pour éclairer l'actualité. Evoquant l'affaire Vincent Lambert, il rappelle que, dès le XVIIIe siècle, David Hume défendait le droit au suicide. Ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure, agrégé de philosophie, Gaspard Koenig est Président du think-tank GenerationLibre. Plaignons les juges qui se voient sommés de trancher, sur des bases légales assez floues, des affaires éminemment délicates de «fin de vie».
Les mères porteuses à portée de loi (338)
Un sondage paru dans le JDD de ce jour montre que 65% des Français seraient désormais favorables à la légalisation de la pratique des « mères porteuses ». Mieux mais tout logiquement, tout effort méritant salaire, on l’a vu récemment avec la prime versée aux élèves qui respectent l’obligation scolaire, les Français ne sont pas hostiles à la rémunération des femmes qui portent un enfant pour autrui . On sait qu’après un temps de flottement quand cette pratique à émergé le législateur français a mis un interdit dans le cadre des lois sur la bioéthique votées en 1994.
Vers l’égalité des sexes - Francetv Éducation
Le sexisme Dans la loi, les filles et les garçons sont égaux… mais dans la vie de tous les jours, ce n’est pas encore tout à fait le cas. Le sexisme est une attitude qui tend à faire une différence entre l’homme et la femme. Et cela commence dès que l’on est tout-petit. « Dans les catalogues de jouets, les fabricants proposent toujours des produits bien identifiés. Les filles portent des déguisements de princesses et les garçons de pirates. On ne verra jamais une fille en costume de Zorro », constate l’Observatoire des inégalités.