Olympe de Gouges Signature Née dans le Sud-Ouest de la France, Olympe de Gouges commence sa carrière de dramaturge à Paris dans les années 1780. Défenseuse des droits de l'homme, elle est l'une des premières figures publiques à s'opposer à l'esclavage en France. Ses pièces de théâtre et ses pamphlets couvrent un large éventail de sujets, notamment le divorce et le mariage, les droits de l'enfant, le chômage et la sécurité sociale. Elle accueille favorablement le déclenchement de la Révolution française, mais s'estime déçue lorsque l'égalité des droits n'est pas accordée aux femmes. En 1791, en réponse à la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, elle publie sa propre Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, dans laquelle elle remet en question la pratique de l'autorité masculine et plaide en faveur de l'égalité des droits pour les femmes. Biographie Premières années à Montauban En août 1766, la jeune femme donne naissance à son fils Pierre Aubry[17]. Révolution française La fin
Présentation du site internet de la Bibliothèque nationale de France - Lettres La BnF, au sein du portail Éduthèque Des usages à favoriser Il faut savoir que la BnF est présente dans l’offre Éduthèque ; cette offre permet d’utiliser des ressources souvent déjà accessibles, pour certaines payantes (lesite.tv, Jalons...), de manière entièrement libre et gratuite : elles sont téléchargeables et libres de droits et/ou utilisables en ligne. Cela permet de favoriser, chez les élèves, des réflexes de recherche et d’usages plus respectueux de la loi et de montrer qu’il existe d’autres ressources que le service Google Images. Les partenaires actuels d’Éduthèque Pour profiter de l’accès à ce portail de ressources numériques pédagogiques, il suffit de s’inscrire avec son adresse mèl académique sur le portail Eduthèque. Une large mise à disposition de ressources de qualité La plus-value du partenariat BnF-Éduthèque est « de donner aux enseignants la possibilité de télécharger plus de 20 000 images en haute définition issues du portail « classes.bnf.fr » et près de 250 vidéos. »
Hauteville House Victor Hugo J. M. G. Le Clézio J. M. G. Le Clézio en 2008 à Stockholm. Dès 23 ans, J. En mars 2007, il est l’un des quarante-quatre signataires du manifeste intitulé Pour une littérature-monde en français, qui invite à la reconnaissance d’une littérature de langue française qui ne reléguerait plus les auteurs dits « francophones » dans les marges ; et à retrouver le romanesque du roman en réhabilitant la fiction grâce notamment à l'apport d'une jeune génération d'écrivains sortis de « l’ère du soupçon[20]. » Dans un entretien paru en 2001, Le Clézio déplorait déjà que « l’institution littéraire française, héritière de la pensée dite universelle des Encyclopédistes, [ait] toujours eu la fâcheuse tendance de marginaliser toute pensée de l’ailleurs en la qualifiant d’"exotique"[21]. » Lui-même se définit d'ailleurs comme un écrivain « français, donc francophone », et envisage la littérature romanesque comme étant « un bon moyen de comprendre le monde actuel[22]. » En 2011, J. J. Fille cadette de J. Jennifer R.
Gallicadabra ! Et Gallica s'ouvre aux enfants | Le blog de Gallica Derniers tests avant le lancement de Gallicadabra. © Béatrice Lucchese/BnF Une application de lecture conçue pour les enfants et leurs parents Fables, contes, abécédaires, Gallica regorge de ressources pour la jeunesse. La page d'accueil de Gallicadabra Le caroussel des contes de Gallicadabra. Des ouvrages patrimoniaux pour la jeunesse Qui ne connaît pas les fables de La Fontaine ? L'oie Clémentine par Benjamin Rabier (1864-1939), Garnier frères, 1928, Paris. Un imagier d’animaux En s'inspirant de l’ouvrage Animal publié aux éditions de la BnF, une sélection d'images d'animaux pour chaque lettre de l'alphabet a été intégrée dans l'application. F comme… flamant rose, illustrations de The Birds of Europe, John Gould, Elizabeth Gould, Edward Lear, London, 1837, et L comme… langouste, Iseebi to shibaebi , estampe, Utagawa, Hiroshige,1832. Études d'usages Chloé Menut © Béatrice Lucchese/BnF
Toni Morrison Signature Elle est lauréate du prix Pulitzer en 1988 et du prix Nobel de littérature en 1993 pour lequel elle est la huitième femme et la première Afro-Américaine à avoir reçu cette distinction. Toni Morrison née Chloe Ardelia Wofford[2] est la seconde des quatre enfants (Lois sa sœur aînée, George et Raymond ses frères cadets[3]) de Ramah, une femme de ménage, et de George Wofford, un soudeur[4],[5]. Les parents de Toni encouragent leurs enfants aux études, à la lecture, dès leur plus jeune âge, c'est ainsi que lorsque la jeune Toni Chloé entre en première année du cycle primaire, à la Hawthorne Elementary School (qui lui rend hommage par une plaque commémorative[8]), elle est non seulement la seule afro-américaine, elle est aussi le seul élève de la classe à savoir déjà lire[9],[3]. Lorsqu'elle a douze ans, elle se convertit au catholicisme[10] ; elle prend pour nom de baptême Antony en mémoire de St. Morrison donne à son roman suivant, Tar Baby (en) (1981), un décor contemporain.
Les Raisins de la colère Les Raisins de la colère (titre original en anglais : The Grapes of Wrath) est un roman de John Steinbeck publié en 1939. L'auteur reçoit pour cette œuvre le prix Pulitzer en 1940. L'intrigue se déroule pendant la Grande Dépression (la Grande Dépression est une période qui débute lors du krach de 1929 et qui se termine par le début de la Seconde Guerre mondiale, en 1939) et le lecteur suit les aventures d'une famille pauvre de métayers, les Joad, qui est contrainte de quitter l'Oklahoma à cause de la sécheresse, des difficultés économiques et des bouleversements dans le monde agricole. Ce roman met fin à la période la plus sociale de l'œuvre de l'écrivain américain et clôt, avec En un combat douteux (1936) et Des souris et des hommes (1937), ce que les critiques appellent parfois la « trilogie du travail » (labor trilogy) ou la « trilogie du Dust Bowl » (Dust Bowl trilogy)[1]. Résumé[modifier | modifier le code] L'histoire commence au moment où Tom Joad sort de prison. Soit en français :
Max Havelaar (roman) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce roman est largement autobiographique. Au début du roman, le récit est introduit par Batavus Droogstoppel, second associé de Last et C°, commissionnaires en cafés à la Bourse d'Amsterdam, Canal des Lauriers, no 37, à qui l'auteur supposé, qui est dans la misère, a fait appel pour l'aider à éditer son manuscrit. Lors de son allocution d'arrivée, il rappelle aux chefs coutumiers qu'il a réunis, c'est-à-dire le bupati et les chefs de districts qui dépendent de ce dernier, leurs devoirs envers la population. d'une part, les cours du café en Hollande font que les prix doivent être bas, et chacun voulant garder ses bénéfices, c'est sur le salaire des petits producteurs que se fait l'économie.d'autre part, les paysans sont opprimés par les travaux forcés et non rémunérés ainsi que les vols de bétail que leur fait subir le bupati pour entretenir son train de vie et son prestige. Max Havelaar aura un retentissement énorme aux Pays-Bas.
Du bon usage du cannibalisme, par Jonathan Swift (Le Monde diplomatique, novembre 2000) C’est un objet de tristesse, pour celui qui traverse cette grande ville ou voyage dans les campagnes, que de voir les rues, les routes et le seuil des masures encombrés de mendiantes, suivies de trois, quatre ou six enfants, tous en guenilles, importunant le passant de leurs mains tendues. Ces mères, plutôt que de travailler pour gagner honnêtement leur vie, sont forcées de passer leur temps à arpenter le pavé, à mendier la pitance de leurs nourrissons sans défense qui, en grandissant, deviendront voleurs faute de trouver du travail, quitteront leur cher pays natal afin d’aller combattre pour le prétendant d’Espagne, ou partiront encore se vendre aux îles Barbades. Pour ma part, j’ai consacré plusieurs années à réfléchir à ce sujet capital, à examiner avec attention les différents projets des autres penseurs, et y ai toujours trouvé de grossières erreurs de calcul. J’en viens donc à exposer humblement mes propres idées qui, je l’espère, ne soulèveront pas la moindre objection.