Intimidation et violence Pour visionner le bulletin d'information destiné aux parents, édition spéciale portant sur l'intimidation et la violence, cliquez ici. L'intimidation et la violence en milieu scolaire sont des sujets difficiles parce qu'ils peuvent représenter des réalités pour certains de nos élèves. La Commission scolaire des Hautes-Rivières prend très au sérieux cette question. Voici quelques éléments clés à connaître sur les actions et les mesures prises à la CSDHR. Éduquer plutôt que simplement punir... À la Commission scolaire des Hautes-Rivières, nous choisissons de miser sur l'éducation et la sensibilisation plutôt que sur la punition. En fait, 60 % des jeunes qui intimident se retrouvent avec un casier judiciaire à l'âge adulte, de quoi faire réfléchir sérieusement. Prévenir et sensibiliser, c'est le bon choix et c'est payant. Notre mission, c'est l'éducation. Éduquer veut dire enseigner les bons comportements, encadrer, montrer. Pour en savoir plus : www.sensibleatarealite.com Repères utiles Livres
Cyberpédophilie - Les plus jeunes sont les plus maltraités Contrairement à ce que plusieurs croient, la pédophilie sur Internet fait rarement dans l'image d'Épinal. Même la lolita n'a plus la cote, selon une étude canadienne, qui montre que les ados ont fait place aux prépubères et même aux bambins au panthéon des cyberpédophiles. Plus de huit images à teneur pédophile sur dix circulant sur le Web mettent en scène des enfants de moins de 12 ans. Ces statistiques sont tirées d'un rapport rédigé à partir des sites recensés par l'organisme Cyberaide.ca, un service pancanadien de signalement d'enfants exploités sexuellement sur Internet. Plus de 35 % des images analysées montrent des agressions sexuelles graves. Dans les scènes d'agressions sexuelles les plus extrêmes (bestialité, ligotage, torture), ce sont encore les moins de huit ans qui sont les plus représentés, à raison de près de sept enfants sur dix. Ce genre de matériel illégal circule énormément sur la Toile. Le Canada est l'un de leurs refuges favoris. Site complet
Ces ados qui refusent l’hyperconnexion Temps de lecture: 10 min 81% des 13-19 ans possèdent leur propre smartphone, selon l’édition 2017 de l’étude Ipsos «Junior Connect’». Selon cette même enquête, les jeunes de cette tranche d’âge passent en moyenne 15h11 par semaine sur internet… notamment sur les réseaux sociaux: une étude réalisée par l’association Génération numérique en janvier 2017 montre que chez les 11-14 ans, 68,12% des filles et 59,82% des garçons sont inscrits à un ou plusieurs réseaux sociaux. Chez les 15-18 ans, ce chiffre monte à 92,62% pour les filles et 90,03% pour les garçons. On s'en doutait un peu, les ados vivant sans smartphone et/ou sans réseaux sociaux sont donc bien loin d’être majoritaires. Parmi eux, se trouvent des «déconnectés» qui n'ont pas choisi de l'être. Plus étonnant, il y a ceux qui refusent tout à fait délibérément une ou plusieurs formes de connexion. Ne pas perdre son temps Alors, pourquoi certains adolescents préfèrent-ils être un peu moins connectés que leurs amis? Un choix difficile?
Sondage CSQ sur la cyberintimidation – Les élèves sont les premières victimes et les principaux auteurs, et le personnel se sent démuni | Infobourg.com – TIC, actualité, grands dossiers et ressources en éducation-Mozilla Firefox MONTRÉAL, le 7 avril /CNW Telbec/ – « Trois ans après le dévoilement d’un premier sondage sur la cyberintimidation, la CSQ est en mesure de confirmer aujourd’hui que le phénomène prend de l’ampleur et que le plan d’action pour contrer la violence à l’école n’a pas donné les résultats escomptés », affirme le président de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Réjean Parent, à l’occasion du dévoilement des résultats d’un important sondage CROP sur le phénomène de la cyberintimidation réalisé pour la CSQ. Ces résultats ont été présentés aujourd’hui en conférence de presse à l’École secondaire Jacques-Rousseau, à Longueuil. Le sondage démontre que les victimes de cyberintimidation sont principalement des élèves (81 %), surtout des filles (72 %) plus que des garçons (40 %). Comparativement à 2008, on note une augmentation importante puisque 40 % des répondants ont affirmé connaître au moins une personne ayant été la cible de cyberintimidation, par rapport à 27 % en 2008. Profil de la CSQ
My-Only-Blog | Just another WordPress.com site Internet, une menace réelle pour nos jeunes? Magazine Face à de nombreux chantages proférés sur Facebook, Inias, jeune adolescent de 14 ans, a fini par sauter mercredi dernier d'un pont qui surplombait l'E40. Succombant au vide, préférant le silence à l'affrontement, l'acte du jeune adolescent laisse entrevoir un monde virtuel qui finit par prendre le pas sur le réel. Faut-il laisser les jeunes face à une telle liberté? Quels sont les réflexes à avoir en temps que parents? Tout d'abord, il est important de comprendre qu'internet a imposé une mutation drastique sur les relations humaines qui touchent de plein fouet les adolescents. "On peut comparer le changement qui s'est produit, et qui se produit encore, entre la génération des adolescents des années 60 à celle d'aujourd'hui, au passage du paléolithique au Néolithique" image le docteur en médecine, neuropsychiatre et psychanalyste, Philippe van Meerbeeck. Il faut être un allié, mais il n'est pas question de devenir un "ami" du jeune qu'on tente de protéger.
Harcèlement en ligne, pressions psychologiques Les cas les plus fréquents de sexting parmi les adolescents sont les cas où un jeune échange des images ou vidéos dévoilant son intimité avec son petit copain, sa petite copine comme preuve de son amour, ou suite à une demande qu'il ne sait refuser (si tu m'aimes, montre-moi...). Parmi les autres pratiques communes, on citera le phénomène des dedipix (voir article), l'envoie de textos assez crus, et la mise en ligne d'images explicitement sexuelles sur les réseaux sociaux. L'exposition de son corps à l'adolescente ne date pas d'hier et n'est pas forcément un problème en soi. Le sexting est souvent lié à une confusion des genres entre la nudité et la sexualité, dans les cas où la nudité est considérée négativement, à travers des tabous. Eukidsonline 2011 : 14% des 9_16 ont vu durant les 12 derniers mois des images à caractères sesxuelles. 3) e-Réputation > au moment où l'adoslescent construit son identité (en ligne et ailleurs), fort risque de sur-sexualisation + réputation sulfureuse.
La liberté d’expression et ses limites : 6 choses que l’on ne peut pas dire sur un blog La liberté d’expression et ses limites : 6 choses que l’on ne peut pas dire sur un blog par Chrystèle Bourély Note d’Olivier : nous avons la chance de vivre dans un beau pays démocratique dont la liberté d’expression est garantie par la déclaration des droits de l’homme et la loi. C’est formidable et sur ce point c’est une vraie chance de vivre en France plutôt que, mettons, en Arabie Saoudite. Etant donné les sujets parfois controversés qui sont abordés sur mes blogs, je suis heureux de vivre dans un pays démocratique qui autorise à exprimer ainsi des idées nouvelles et/ou qui dérangent. Mais “avoir le droit” ne signifie pas “absence de droit”. Je tombe ainsi régulièrement sur des articles ou des vidéos qui dépassent ces limites et exposent leurs auteurs à des poursuites judiciaires, et qui montrent bien les problèmes d’éducation existants en matière légale (après tout, qui lit les textes de loi, à part les spécialistes ?). Entre Chrystèle : La liberté d’expression, une liberté fondamentale
Internet à la maison en 10 questions Cyber-harcèlement scolaire: "Les réseaux sociaux désinhibent les utilisateurs" Cela n'arrive pas qu'aux autres. 40% des élèves de collèges et lycées déclarent avoir déjà été victimes d'une agression sur internet, 6% de manière régulière, selon l'essai de Catherine Blaya, Les ados dans le cyberespace, paru en mai 2013. Afin de lutter contre l'effet "caisse de résonance" des réseaux sociaux, une campagne est lancée lundi contre le cyber-harcèlement. Elle est pilotée par l'ONG BICE (Bureau international catholique de l'enfance), l'association française e-Enfance, l'Union nationale lycéenne et le Syndicat général lycéen. Une pétition a été mise en ligne sur le site du BICE. 10 000 signatures sont espérées, un peu moins de 800 avaient déjà été récoltées lundi après-midi. "Il y aura toujours une quantité incompressible de comportements humains que l'on ne pourra pas changer -on ne modifiera pas certaines tendances naturelles [à la cruauté] de l'adolescent-, mais nous croyons qu'il est possible de fédérer contre ces pratiques", estime Justine Atlan.