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Pédagogie inversée et scénarisation pédagogique

Pédagogie inversée et scénarisation pédagogique
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Classes inversées ? Enseigner à l'endroit ? Introduction Lors de conférences récentes, j’ai utilisé différents titres évoquant « la mise à l’endroit de l’école ». De quoi s’agit-il au-delà d’un intitulé qui se voulait interpellant voire légèrement provoquant ? – En avril 2015, à l’invitation du SU2IP (Service Universitaire d’Ingénierie et d’Innovation Pédagogique) de l’Université de Lorraine, j’utilisais l’intitulé : Les classes inversées : enseigner à l’envers, apprendre à l’endroit ou l’inverse ? – En janvier 2016, lors des activités CLISE 2016 (Classes Inversées, la Semaine), je proposais lors du séminaire académique qui s’est déroulé à l’Atelier Canopé du Val-de-Marne le vendredi 29 janvier 2016, un titre « Classes inversées : Quoi ? – Un peu plus tard en mars 2016, lors des JIPN (Journées Innovations Pédagogiques Normandes) qui se sont tenues à Caen le 29 mars 2016, je creusais le sens des apprentissages dans une société numérique avec le titre : L’école dans une société numérique ! L’école à l’envers ?

Classe inversée La classe inversée (ou « renversée », en anglais : « flipped classroom »[1]) est une approche pédagogique qui inverse la nature des activités d'apprentissage en classe et à la maison[2]. Les rôles traditionnels d'apprentissage sont modifiés selon l'expression « les cours à la maison et les devoirs en classe »[3],[4]. Autrement dit, les apprenants doivent impérativement étudier leurs cours chez eux, pour que les activités en classe deviennent plus concrètes pour eux. Il est aujourd'hui impossible en l'état de porter un jugement général quant au bénéfice d'un tel dispositif, les résultats d'observations étant très fluctuants en fonction des catégories sociales des apprenants, de leurs niveaux scolaires initiaux et des disciplines enseignées. Principe[modifier | modifier le code] Le modèle traditionnel d'enseignement repose sur des cours magistraux, au cours desquels l'enseignant explique un sujet, suivis par les devoirs à la maison, à l'occasion desquels l'élève effectue des exercices.

L’école inversée, est-ce que c’est possible? La « classe inversée », cette philosophie qui implique de voir la portion théorique à l’extérieur de la classe, notamment par des vidéos, est sur toutes les lèvres. Pourrait-on aller jusqu’à imaginer toute une école inversée? C’est le défi qu’a relevé la Clintondale High School, une école américaine située en milieu défavorisé au nord de Détroit. Aujourd’hui, les enseignants produisent de courtes vidéos que les élèves écoutent sur leurs téléphones intelligents, sur l’ordinateur familial ou dans le laboratoire informatique le midi. En classe, ils travaillent en îlots et ils réalisent des projets, des exercices traditionnels ou des expériences scientifiques. Tina Rosenberg, récipiendaire d’un prix Pulitzer, dresse un portrait de cette école et de ce mouvement sur le blogue du New York Times. Clintondale High School est la première école américaine à avoir mis en place une structure où l’ensemble des cours est sous forme de classe inversée. Tout ceci n’est pas arrivé par magie.

Classe inversée : les 10 pièges à éviter Le professeur change de posture dans la relation maître-élève scolaire est habituellement chargé, autant pour les élèves que pour l’enseignant et, à celui-ci, s’ajoute des habiletés techniques à maîtriser, une autonomie à développer plus rapidement, une nouvelle gestion à comprendre, à appliquer et à gérer, et j’en passe. faut prévoir une période d’adaptation et ne pas être surpris qu’elle prenne quelques mois. fois l’approche bien inculquée, les élèves s’impliquent davantage dans leur classe inversée. Piège n° 8 : Le contenu et l’intention des capsules vidéo vis-à-vis du programme Hormis le fait qu’il faut penser que le contenu doit être autosuffisant, que le jeune ne pourra pas poser de questions avant le retour en classe, cet item n’est pas très différent de la construction des séquences d’enseignement classiques : le professeur doit décou- per son programme, penser son évaluation et pro- poser des activités progressives pour que l’élève soit autonome sur l’évaluation le jour J. magistral 2.0.

La pédagogie inversée (page précédente) La ZoneTIC du Cégep Lévis-Lauzon décrit la « pédagogie inversée » (ou classe renversée, flipteaching, reverse instruction) comme ceci : une stratégie d’enseignement où la partie magistrale du cours est donnée à faire en devoir à la maison, alors que les traditionnels devoirs (travaux, problèmes et autres activités) sont réalisés en classe. Quel est l’intérêt? Lorsque les élèves appliquent ce qu’ils ont appris à l’école en faisant leurs devoirs à la maison, ils rencontrent parfois des difficultés et des questionnements qu’ils ne rapportent pas toujours à l’école le lendemain. De plus, la collaboration entre pairs n’est pas toujours facile à cause des horaires de chacun. Les adeptes de la pédagogie inversée préfèrent donc que les élèves utilisent le temps de classe pour construire, collaborer, lancer des défis, remettre en question leurs apprentissages plutôt que de s’asseoir et écouter. Dans cette philosophie, les technologies sont omniprésentes. Pour lire la suite

Pédagogie inversée 10octobre2013 Par Arnaud Durand Dernièrement j’ai vu un reportage sur un enseignant d’histoire géographie qui faisait de la pédagogie inversée en classe. Vient ensuite un collègue toujours d’histoire géographie qui me parle de la khan-académie qui fournit plein de vidéos pour les enseignants qui font de la pédagogie inversée… Comme son nom l’indique la pédagogie inversée consiste à inverser les moments pédagogiques en classe avec les moments des devoirs à la maison (en théorie ce n’est faisable qu’au secondaire puisque le travail à la maison en primaire est à priori interdit). La découverte d’une notion se fait à la maison, tandis que les exercices se font en classe sur des rythmes individualisés. Les explications sur les notions se fait à la maison par l’intermédiaire de vidéos mises en ligne, à l’issue parfois desquelles un questionnaire internet est donné pour vérifier ou voir si l’élève a compris ou vu la vidéo. Cependant …. Cela suggère que tous les élèves aient internet . Pourquoi pas!

Les classes inversées, vers une approche systémique (2) Ce texte est issu de la journée d’étude, « Apprendre et enseigner à l’ère numérique », qui s’est tenue au Collège des Bernardins le 6 octobre 2016. Dans notre première contribution, nous avons essentiellement présenté et commenté la version originale de la classe inversée. Selon les pratiques observées et nos recherches, nous avons cependant constaté auprès d’enseignants à différents niveaux, de l’école primaire à l’enseignement supérieur, une émergence d’une large variété de classes inversées orientées vers une prise en charge de plus en plus grande de l’apprentissage par l’apprenant lui-même. Pourrait-il en être autrement ? Il y aurait donc différentes façons de mettre en place la classe inversée ? Nous avons ainsi proposé sur notre Blog dès 2014 et dans notre livre consacré aux classes inversées, une extension du concept initial de classe inversée. Mais, en fait, qu’est-ce qui est inversé dans ces classes inversées ? Le Type 1 concerne principalement la mise à distance des contenus.

Faire ses premiers pas vers la classe inversée Un dossier conjoint Infobourg – Carrefour Éducation Peut-être avez-vous entendu parler dernièrement de la fameuse dynamique de « classe inversée »? Elle semble être sur toutes les lèvres! Parmi les enseignants qui l’ont expérimentée, certains ne peuvent plus s’en passer et y voient des avantages énormes, notamment grâce aux nouvelles possibilités de personnalisation de l’enseignement entraînée par l’augmentation du temps disponible pour les élèves. Mais tout d’abord, qu’est-ce que la classe inversée? Présentement, au primaire et au secondaire, on voit certains cas d’application du modèle « mixte », un contexte dans lequel une partie de l’année se déroule de façon « inversée » et, l’autre, de façon traditionnelle. Ce dossier conjoint de Carrefour Éducation et d’Infobourg propose de faire le tour de la question et de prendre connaissance de l’expérience de certains enseignants. Plan du dossier : 1. 2. 3. 4. À propos de l’auteur Audrey Miller Pour suivre l’auteur :

« Classe inversée », qu'inverse-t-on ? La « classe inversée », concrètement Ce qui m'a d'abord intéressé avec les deux témoignages rapportés, en HG et en français, c'est le déroulement de la séance. Si je reprends ces deux déroulés, voici ce que je comprends : Pour le cours d'HG :phase d'exposition (« magistral », à la maison, 2 à 4 mn)phase d'application (« entraînement », en classe)phase de structuration des connaissances (« production d'une synthèse-ressource », en classe)Pour le cours de français :phase d'exposition (à la maison, 10 mn)phase de cours dialogué (« échanges, questions », en classe, 15 mn)phase d'application (« travailler le thème en groupes », en classe, 25 mn)phase de structuration des connaissances (« élaborer une ressource », en classe, 30 mn). Qu'est-ce qui change donc avec les constituants d'une séance « classique », laquelle est depuis longtemps basée sur le triptyque « exposition – application (tâche) - structuration » ? La ressource, le dispositif numérique et l'usager Éducation et néolibéralisme

Classes inversées, retour sur un phénomène précurseur (1) Ce texte est issu de la journée d’étude, « Apprendre et enseigner à l’ère numérique », qui s’est tenue au Collège des Bernardins le 6 octobre 2016, dans le cadre d’une réflexion partagée de la Chaire du Collège des Bernardins sur « L’humain au défi du numérique », et du séminaire de recherche « École et République ». La journée d’étude aborde les questions de fond des transformations que le numérique engendre dans l’apprentissage et l’enseignement et s’interroge sur les bénéfices apportés à l’humain. Par Marcel Lebrun, Professeur en technologies de l’éducation, Université catholique de Louvain, Louvain-la-Neuve (Belgique), et intervenant au Collège des Bernardins. Le concept de « classes inversées », d’origine anglo-saxonne (flipped classroom) et développé depuis 2012, a connu un engouement incomparable en moins d’un an. Une innovation qui s’instaure peu à peu S’agit-il d’une innovation du type top down ou alors est-ce de l’émergence ? Un rapport à l’enseignant bouleversé

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