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Ces trentenaires qui n'ont plus envie de se lever pour bosser

Ces trentenaires qui n'ont plus envie de se lever pour bosser
Ils ont des diplômes, un job, un bon salaire... mais s’ennuient à mourir, découvrant sur le tard les affres de la quête de soi. Alexandre a un parcours plutôt classe : il est diplômé d’une grande école de commerce parisienne, après avoir effectué un parcours universitaire et scolaire à l’étranger. Son CV a de la gueule et c’est une mince consolation. Sa vie professionnelle l’ennuie terriblement (il n’en voit pas le bout). Alors qu’il méprise la comptabilité, il a travaillé trois ans à la direction financière d’un groupe de luxe suisse. Il vient de quitter son poste, pour faire « à peu près la même chose » en France. Alors que fin 2009, le taux de chômage des moins de 30 ans était de 17,3%, de nombreux trentenaires surdiplômés, qui ont décroché un contrat indéterminé, n’arrivent pas à s’en réjouir. « Je suis un forum américain depuis bientôt six ans, où les mecs balancent leurs videos Youtube. Le poids du diplôme, et les parents qui surinvestissent Related:  Web / Generation Y

Petit, je voulais être boulanger, mais j'étais bon en maths Petit, je voulais être boulanger, puis facteur, puis berger. On m’a poussé à faire des études. On m’a expliqué que c’était le seul moyen de réussir ma vie, de gagner de l’argent, de m’épanouir dans un métier. J’ai enduré de longues heures, de longues années de cours. Je me suis ennuyé, ennuyé et encore ennuyé sur des dizaines, des centaines, de milliers de chaises. Et maintenant que j’ai cinq années d’étude en poche, que je travaille - je suis ingénieur, je passe mes journées à concevoir des cuillères en plastique à moindre coût, pour environ 1700 euros par mois- je continue à m’ennuyer, et regrette profondément de n’avoir pas écouté le petit enfant qui voulait élever ses moutons en Ardèche. Et autour de moi, lorsque je tends l’oreille, voici ce qui tombe dedans : « J’ai fait cinq ans d’étude, je passe mes journées à faire des additions. Des agents économiquement productifs ou des ratés On ne cherchera pas à savoir ce que l’élève veut faire de sa vie. Pour maintenir l’ordre : l’angoisse

L'Observatoire sur la Génération Y face à l'entreprise Les jeunes sont touchés par la crise68% sont pessimistes sur la reprise en France53% en ressentent personnellement les effets46% des étudiants ont du mal à trouver un emploi,45% des jeunes actifs voient leur niveau de rémunération stagnerUne Génération Y qui rêve d’entreprenariat1 jeune sur 2 préférerait créer son entrepriseavant de choisir d’être fonctionnaire ou travailler dans un grand groupe Alors que le thème de l’emploi des jeunes est au coeur de l’actualité, KPMG a réalisél’« Observatoire sur la Génération Y face à l’entreprise » avec OpinionWay afin d’analyser la relation des jeunes de moins de 30 ans et leur regard sur le marché de l’emploi : étude réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 1 008 jeunes, étudiants ou jeunes actifs, de 18 à 30 ans. KPMG, premier cabinet français d’audit, d’expertise comptable et de conseil**, est un acteur majeur du recrutement des jeunes. Il fait d’ailleurs partie des dix plus importants recruteurs français chaque année. *Méthodologie

taz.de A Look At Who’s Winning The Talent Wars In Tech (Hint: It Rhymes With Twitter) There’s been a lot of talk about the fierce competition for talent among the top players in the tech industry. As the story goes, Facebook has been the primary source of anguish for its competitors, seemingly bearing the gravitational pull of a giant sun. Even the ubiquitous Google was forced to take some extraordinary measures to stem the flow of top talent to Facebook last year by offering exorbitant counteroffers as well as a 10 percent, company-wide salary increase. Then-CEO Eric Schmidt called it a “war for talent”. Bringing in top talent can change (and cement) a company’s future, and Google is not the only company willing to go to great lengths to keep (and nurture) talent within its ranks. To find out, Top Prospect dug into its data and culled together information from over 2.5 million profiles in their database. Likely the only slight surprise among that group is Microsoft. But, wait a minute, how can Google and Microsoft be both winning and losing? And the losers?

Des salariés libres dans des entreprises prospères - Les Echos.fr Petite Poucette, la génération mutante Michel Serres, diplômé de l’Ecole navale et de Normale Sup, a visité le monde avant de l’expliquer à des générations d’étudiants. Historien des sciences et agrégé de philosophie, ancien compagnon de Michel Foucault, avec qui il a créé le Centre universitaire expérimental de Vincennes en 1968, il a suivi René Girard aux Etats-Unis, où il enseigne toujours, à plus de 80 ans. Ce prof baroudeur, académicien pas tout à fait comme les autres, scrute les transformations du monde et des hommes de son œil bleu et bienveillant. Son sujet de prédilection : la jeune génération, qui grandit dans un monde bouleversé, en proie à des changements comparables à ceux de la fin de l’Antiquité. Vous annoncez qu’un «nouvel humain» est né. Je le baptise Petite Poucette, pour sa capacité à envoyer des SMS avec son pouce. Nos sociétés occidentales ont déjà vécu deux grandes révolutions : le passage de l’oral à l’écrit, puis de l’écrit à l’imprimé. Cette mutation, quand a-t-elle commencé ? Pascale Nivelle

ADN-programme-Génération Y ONLINE | Nachrichten, Hintergründe und Debatten Jeunes diplômés: quand la précarité devient la norme - Emploi et Entreprises - Blog LeMonde.fr Nous vous proposons ici, en exclusivité, la version « longue » du « cadrage » du dossier « Jeunes diplômés: quand la précarité devient la norme », par Anne Rodier, dont la version éditée se trouve en pages 33-34 du « Monde Campus » du 29 mars 2011. « Précarité », état de ce qui est précaire, du latin precarius -«obtenu par la prière»-, c’est une caractéristique du marché du travail que les jeunes diplômés commencent à connaître. L’enchaînement des stages, des contrats à durée déterminée, du chômage puis à nouveau des CDD ne les épargne plus. Alexandra Helle, 29 ans, accumule les stages et les contrats à durée déterminée. Malgré son doctorat en sciences juridiques elle n’a toujours pas stabilisé sa situation trois ans après l’obtention de son diplôme. « Quand je suis sortie de thèse en 2008, j’ai cherché un poste de maître de conférences, mais il n’y avait rien. Un an d’étude plus tard, Alexandra enchaînait sept mois de stages dans différentes entreprises pour valider son diplôme.

Should I Work for Free? Niveau informatique des digital natives : la fin d’un mythe La génération Y (ou digital native ) dispose d’une compétence incontestable aux yeux de beaucoup d’observateurs : la maîtrise complète des outils informatiques, du web et des smartphones. La presse est d’ailleurs l’un des relais importants de cette théorie. Pourtant une analyse sérieuse du phénomène amène le mythe à s’effondrer très rapidement. Le grand quiproquo La naissance d’un mythe des compétences informatiques de cette génération tient bien sûr à des observations bien réelles. Il y a cependant un grand malentendu dans ce raisonnement : la confusion entre l’habitude culturelle et la compétence. Pour éclairer mon propos, prenons l’exemple d’un produit nettement plus simple : la voiture. Le niveau informatique de cette génération Vous n’êtes pas encore convaincu ? La France dispose d’un outil statistique remarquable pour évaluer objectivement la compétence de cette génération : le taux de succès au Certificat Informatique et Internet. L’avenir de la génération digital native

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