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Avec Calico, Google s'attaque à l'immortalité

Avec Calico, Google s'attaque à l'immortalité
En matière d'ambition, Google ne fait pas dans la demi-mesure. Dans un communiqué publié sur son site mercredi 18 septembre, le géant américain de l’Internet annonce la création de "Calico". Une entreprise qui se donne pour mission de "se concentrer sur la santé et le bien-être, et en particulier sur le challenge que constitue le vieillissement et les maladies associées". Autrement dit, en s'attaquant au vieillissement, cette toute jeune filiale du géant de l'informatique se lance dans la quête de l'immortalité. Une réflexion à long terme Dans une interview au Times Magazine, Larry Page, le directeur de l'entreprise explique cette incursion de son entreprise dans le monde de la santé par un désir de réflexion à plus long terme. "Est-ce que les gens se concentrent sur les choses importantes ?" Recherche de nouvelles technologies Concrètement, que propose donc de faire Calico ? Google est coutumier des expériences technologiques insolites. Un précédent raté Related:  Immortalité

Des chercheurs auraient-ils découvert le secret de la jeunesse éternel... Des scientifiques de l’Université d’Harvard et de l’Université de Nouvelle-Galles du Sud ont réussi à arrêter et à inverser génétiquement les effets du vieillissement, rapporte le journal The Mirror. Pour l’instant, ces résultats n’ont été observés que chez des souris, ont fait savoir les chercheurs américains et australiens. Le professeur de génétique de l’Université d’Harvard, David Sinclair, a expliqué au média qu’il était possible de lutter contre le vieillissement des cellules, ce qui laissait présager l’élaboration de traitements médicaux extrêmement avancés. « Nous avons découvert les gènes qui contrôlent la manière dont le corps combat le vieillissement et ces gènes, si vous les activez correctement, peuvent avoir des effets très puissants et même parvenir à inverser le processus de vieillissement, du moins chez les souris », a expliqué le scientifique. Les molécules qui ont allongé la durée de vie des souris sont sans danger pour les humains.

Un nouveau pas vers l’immortalité ? 25 octobre 2023. Los Angeles. Sur son terrain de golf préféré, Edward, 59 ans, comédien star de Hollywood est terrassé par un infarctus. Science-fiction ? "C’est un peu comme si l’on pouvait se faire une sauvegarde génétique pendant qu’on est en pleine forme, et la mettre de côté pour se réinitialiser un jour", explique Choulika. Prélèvement de peau Scéil propose un service de base à 60.000 dollars (47.000 euros), plus un forfait de maintenance (500 dollars/an après la 3ème année). Une fois la somme acquittée, le client se fait faire un prélèvement de peau d’environ 3 mm de diamètre, qui est ensuite expédié dans le laboratoire de Singapour, où les cellules du derme (fibroblastes) sont cultivées en qualité clinique, puis conservées dans de l’azote liquide (-180°C). Thérapies cellulaires régénératrices Leur particularité ? L’un des gros avantages de ces iPS est d’éteindre toute polémique d’ordre religieux. La "techno médecine" est en marche > A LIRE.

L’immortalité ; un concept réalisable ? 9 décembre 2011 | 1 commentaire(s) | vu 586 fois Image Flickr par pifou2010 Depuis plusieurs années, les avancées technologiques ne cessent de nous surprendre. Par exemple, les microprocesseurs des ordinateurs doublent leur puissance à tous les 18 mois. Du côté de la médecine, plusieurs traitements apparaissent à chaque année pour améliorer la qualité de vie des gens. Récemment, des chercheurs français ont réussis à rajeunir des cellules d’un donneur âgé de 100 ans pour qu’elles reviennent au stade de cellules souches. Tout d’abord, le sida, une maladie qui a causé des millions de morts depuis son apparition, connaît une importante baisse de décès. Ensuite, un autre progrès dans le domaine de la médecine qui nous laisse croire que nous pourrons peut-être vivre indéfiniment est l’étude réalisé sur des vers marins. La découverte de la nanotechnologie est une autre avancée qui nous montre les améliorations qui ne cessent de se produire dans le domaine de la santé.

Le génome des baleines détient-il la clé de notre longévité ? › Génétique Ci-dessus, une baleine boréale. Crédits : Loke Film and Adam Schmedes/Cell Reports 2015 Comment certaines baleines boréales peuvent-elles vivre jusqu'à 200 ans, sans jamais être atteintes de maladies graves ? Pour le savoir, le séquençage complet du génome de la baleine boréale vient d'être réalisé. On le sait, certaines baleines comme les baleines boréales sont capables d'atteindre les 200 ans. Comment expliquer cette extraordinaire longévité ? Ces mutations affectant ces deux gènes permettraient-elles aux baleines boréales d'être naturellement protégées du vieillissement et du cancer ? Ces travaux ont été publiés dans l'édition de janvier 2015 de la revue Cell Press, sous le titre "Insights into the Evolution of Longevity from the Bowhead Whale Genome".

Human Brain Project : l’immortalité digitale pour 2045 ? | OEIL 2 DEMAIN Financé par l’Union Européenne, ce projet implanté à Genève vise à créer un superordinateur capable de reproduire le comportement d’un véritable cerveau humain. Les chercheurs pourront ainsi mieux comprendre les maladies neurodégénératives. À l’image des physiciens qui disposent avec l’accélérateur de particules du CERN d’un simulateur pour tester leurs hypothèses, les biologistes, au sein de ce « CERN du cerveau », pourront mener des expériences sur les zones impliquées dans les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson. De plus, la conception de ce « cerveau digital », qui devrait déboucher sur l’un des réseaux neuronaux les plus perfectionnés au monde, ouvre d’intéressantes perspectives. La plus futuriste est la résurgence du fantasme trans-humaniste d’une vie prolongée par l’implantation du contenu d’un cerveau humain dans son pendant numérique. Une puissance de calcul d’un milliard de milliards d’opérations à la seconde Un projet transversal : biologie, neurosciences et informatique

Human brain project : simuler le cerveau humain L'architecture formée par les fibres de la substance blanche du cerveau humain est révélée par la technique d'irm (imagerie par résonance magnétique) de diffusion. Arthur W. Toga (Laboratoire de neuro-imagerie, UCLA), et Randy Buckner (Centre Martinos d'imagerie biomédicale, Hôpital général du Massachusetts) (www.humanconnectomeproject.org) L'essentiel - Grâce à un projet visant à simuler l'intégralité d'un cerveau, on pourra modéliser de façon plus réaliste le fonctionnement du cerveau humain. - Vers 2020, les ordinateurs permettront peut-être de représenter les mécanismes biologiques à l'œuvre au sein d'un neurone et dans l'ensemble du cerveau. - La simulation du cerveau humain aidera aussi à mieux comprendre des maladies telles que l'autisme ou l'épilepsie, et permettra de réaliser des essais thérapeutiques virtuels. L'auteur Henry Markram dirige le projet Blue Brain à l'École polytechnique fédérale de Lausanne, en Suisse. Il est temps de changer notre manière d'étudier le cerveau.

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