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Neuroéducation, apprentissage et enseignement

Neuroéducation, apprentissage et enseignement

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Apprentissage : à chacun son style La recherche sur les styles d’apprentissage, dont les origines remontent aux années 1930, connait depuis plusieurs années un renouveau sans doute lié à l’engouement pour la psychologie cognitive et les neurosciences. Ce qui émane de ces recherches, c’est une multitude de points de vue disparates et fragmentés qui contribue à accentuer le flou conceptuel. Marie Gaussel, de l’Institut français de l’éducation (IFE), nous éclaircit l’horizon. Qu’entendez-vous par « style d’apprentissage » ? Ce serait une démarche privilégiée par chaque individu pour appréhender l’acte d’apprendre. De la diversité des théories exposées depuis une quarantaine d’années, l’équipe de Coffield a reconnu cinq familles :

A la découverte du cerveau - Fédération pour la Recherche sur le Cerveau (FRC) Les activités physiques Rester actif est sans doute ce que l’on peut faire de mieux pour la santé de son cerveau. De nombreuses études l’ont démontré : faire de l’exercice physique régulier favorise le bon fonctionnement du cerveau. Il améliore l’humeur, diminue l’apparition de troubles cognitifs et stimule le renouvellement des neurones et l’apparition de nouvelles connexions entre eux. > En savoir plus Les activités intellectuelles L’ADOLESCENT : CERVEAU, CORPS, ESPRIT Date : 4 octobre 2016 Lieu : Atelier Canopé d’Orléans (45) Intervenant : - Bérengère GUILLERY-GIRARD, Neuropsychologue, Maitre de Conférences à l’École Pratique des Hautes Études. - ÉRIC DELASSUS, Professeur agrégé et docteur en philosophie au lycée Marguerite de Navarre de Bourges. Une journée d’information et de rencontre dédiée à la promotion de la santé, entre tous les acteurs de la communauté éducative des établissements de formation du secondaire Neurodéveloppement et adolescence, quelles conséquences sur la cognition et le comportement ? La maturation cérébrale est un phénomène long et progressif qui se poursuit jusqu’à 25-30 ans, il est également hétérogène c’est-à-dire que toutes les régions du cerveau ne suivent pas la même trajectoire développementale. Vivre et penser son corps à l’adolescence

Théories de l'apprentissage - Idées ASH Apprendre, c'est comprendre. C'est construire un savoir que l'on va pouvoir réinvestir. Pour que l'élève apprenne, il est essentiel: Qu'il soit conscient de ce que l'on essaie de lui faire comprendre et pourquoi.Qu'il soit conscient de " comment " il apprend.Qu'il ait envie d'apprendre. Enseigner, c'est aider l'enfant à apprendre, à construire un savoir. Prise de décision : mon cerveau choisit-il à ma place ? Sommes-nous libres des décisions que nous prenons ? Qu’est-ce qui conduit nos choix ? Le libre arbitre peut-il se traduire au niveau neurologique.

Neurosciences, psychologie cognitive et apprentissages - Circonscription de Meyzieu - Décines Comment apprend-on ? De Piaget à l’inhibition cognitive Conférence d’Olivier Houdé enregistrée à l’ESPE Batignolles. Olivier Houdé est Instituteur de formation initiale, Professeur de psychologie à l’Université Paris Descartes, Sorbonne Paris Cité, Directeur du LaPsyDÉ (CNRS), Membre Senior de l’Institut Universitaire de France (IUF), spécialiste du développement de l’intelligence chez l’enfant et des apprentissages (psychopédagogie expérimentale), auteur de plus de 300 publications et communications scientifiques dont 17 livres. Au croisement de la psychologie de l’enfant, des sciences de l’éducation (psychopédagogie expérimentale) et des neurosciences mènent des travaux consacrés à l’étude du développement et du fonctionnement cognitifs, en particulier le rôle positif de l’inhibition cognitive, du jeune enfant à l’adulte, dans les domaines de la catégorisation, du nombre, du raisonnement et de la prise de décision (incluant les relations émotion-cognition).

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Mémoire (INSERM) Dossier réalisé en collaboration avec le Pr. Francis Eustache, Directeur de l'unité Inserm-EPHE-UCBN U1077 "Neuropsychologie et neuroanatomie fonctionnelle de la mémoire humaine" – Octobre 2014 La mémoire repose sur cinq systèmes de mémoire © Inserm, G.

Les neurosciences à l'école : 5 recommandations pour mieux apprendre Pascale Toscani, enseignante-chercheuse et maitre de conférence, a travaillé avec des professeurs du secondaire pour proposer un programme “neurosciences au collège”. Ce programme a pour vocation d’introduire les connaissances liées aux neurosciences dans l’acte éducatif. Élèves et enseignants gagneraient à mieux comprendre le fonctionnement du cerveau afin que les apprentissages scolaires soient plus efficaces. Le contenu du programme est basé sur 5 grandes thématiques. Il a été proposé à des élèves de 6ème à raison d’une heure par semaine sur l’heure d’ATP (Aide au Travail Personnel). 1.La plasticité cérébrale : modifier la représentation de l’intelligence

Cogni-Sciences L’activité du groupe Cognisciences porte sur l’étude des processus du développement, d’acquisition et d’apprentissage du nourrisson à l’enfant. Notre approche s’appuie sur les neurosciences et la clinique du normal au pathologique (langage oral, motricité fine et globale, langage écrit, attention, calcul) Les différents travaux menés portent sur : 1) Le développement cognitif de l’enfant de 6 mois à l’adolescence 2) Le langage oral : acquisition, retards et troubles spécifiques du développement du langage (dysphasies...). Qu’est-ce qu’on a vraiment dans la tête ? Les cellules gliales doivent interagir avec les neurones pour pouvoir fonctionner efficacement. Cette conférence décrit ces cellules, leurs fonctions et leurs interactions dans le cerveau normal mais aussi en situation pathologique. Les cellules gliales, sont dix fois plus importantes, en quantité, que les cellules nerveuses de notre cerveau. Elles occupent l'espace laissé vacant par les neurones. Ces cellules créent, autour d'eux, une sorte de microenvironnement qui les isole de tout contact avec les autres tissus.

Votre style d’apprentissage est-il plutôt orienté cerveau droit ou cerveau gauche ? - FormaVox Depuis sa parution en 2005, l’ouvrage de Daniel Pink «L’homme aux deux cerveaux» a plutôt fait parler de lui. Capitalisant sur les recherches menées en neurosciences, l’auteur propose une vision vulgarisée sur les différences entre les 2 hémisphères cérébraux, et pourquoi, selon lui, il devient indispensable que nous élargissions notre manière de penser vers davantage de créativité (et donc à mieux faire fonctionner notre «cerveau droit»). C’est au hasard de mes promenades sur le web que j’ai découvert une infographie assez sympa, qui résume très bien les différences entre «cerveau gauche» et «cerveau droit».

Définition de la neuroeducation. by mkldns Jan 31

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