DOC 1 : Réforme des retraites : le gouvernement doit-il utiliser le 49.3 ? - Les Vraies Voix. DOC 2 : Thierry Pech : « Nous devons aller à la rencontre des gens là ils sont » « Parler d’un nouveau contrat social renvoie à plusieurs choses : l’évolution de notre système de protection, bien sûr, mais aussi, plus généralement, le niveau d’égalité que l’on recherche ensemble.
Il y a un accord croissant pour considérer que, dans un monde où les situations professionnelles sont plus précaires, les droits sociaux doivent être attachés à la personne, quelle que soit sa situation sur le marché du travail. Un accord aussi sur le fait qu’il ne suffit pas de distribuer des revenus de remplacement aux gens quand ça va mal : il faut aussi les équiper en amont pour affronter les difficultés, par la formation, l’éducation… Mais on a encore beaucoup de chemin à faire pour bâtir un contrat social fondé sur l’investissement dans les personnes.
Le mouvement actuel révèle le besoin d’une délibération collective plus continue Les élus ne peuvent pas à la fois se joindre aux « gilets jaunes » pour demander une baisse des taxes et demander plus d’argent public pour leur commune. DOC 3 : Démocratie représentative : suffrage, Ô désespoir ! #DATAGUEULE 57. DOC 4 : Tweet de Adrien Quatennens. DOC 5 : Au Brésil, les droits humains reculent. Depuis l’arrivée au pouvoir du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, en 2019, on assiste à une détérioration de la démocratie au Brésil.
Engagé au sein d’un collectif « Coalition solidarité Brésil », le Secours Catholique dénonce des violations des droits humains croissantes qui touchent les populations les plus vulnérables. Avec 16 autres organisations de solidarité internationale françaises, l'association publie un baromètre intitulé « le Brésil résiste, lutter n’est pas un crime ! » Ce baromètre est un cri d’alarme : pourquoi parlez-vous de recul des droits humains au Brésil ? Les politiques néolibérales mises en place par le gouvernement excluent de fait les plus démunis et augmentent la pauvreté.
Enfin, avec la flexibilisation du port des armes, on note une hausse des violences envers les paysans sans terres dans les campagnes. Vous alertez notamment sur une restriction des espaces de démocratie… La liberté d’expression recule. L’heure est grave pour notre planète. DOC 6 : Pour l’Europe, n’opposons pas démocratie et solidarité. Par un manifeste collectif publié début décembre, Thomas Piketty a lancé un nouvel appel solennel à la démocratisation de l’Europe.
A Génération·s, nous partageons depuis longtemps l’analyse d’un déficit démocratique de l’Union européenne. C’est lui qui alimente la défiance et la colère des peuples, et qui avait conduit nombre d’entre nous, dès 2005, à rejeter le projet de Constitution européenne. C’est ce même diagnostic qui a amené Benoit Hamon et Thomas Piketty à élaborer une stratégie commune lors de la dernière élection présidentielle, en proposant un « Traité de démocratisation de la gouvernance de la zone euro ». Ensemble nous dénonçons ce monstre à deux têtes, celle des néolibéraux qui se servent de l’Europe pour déréguler, et celle des nationalistes qui en font un bouc émissaire.
Ensemble, nous défendons l’alternative de sa refondation démocratique, sociale, écologique et fiscale. Pourtant, malgré nos nombreuses convergences, Génération·s n’a pas signé ce nouveau texte.
DOC 8 : Où en est la solidarité aujourd’hui ? On la dit malmenée, en crise.
La solidarité est-elle vraiment en déclin ou bien a-t-elle évolué, tout comme la société ? Réponses avec Jacques Malet de Recherches & Solidarités. Comment pourrait-on définir la solidarité ? Déjà, il ne faut pas la confondre avec la générosité. La solidarité, c’est agir AVEC les autres, pas forcément POUR les autres. Les aspirations solidaires des Français ont-elles changé ? On est passé petit à petit de l’action militante (se battre pour une cause) à une forme d’engagement basée sur la notion de projet et sur la coopération (des actions menées en commun), avec comme principaux moteurs : l’épanouissement personnel et l’acquisition de compétences. Il est très important d’avoir cela en tête lorsque l’on veut mobiliser des gens. Pour autant, la solidarité est-elle en crise ? Il y a aujourd’hui deux formes de solidarité, totalement différentes. La première est ce que j’appelle la solidarité spontanée, le « coup de cœur ».
Pour en savoir plus.