Les grands groupes de la mode doivent respecter leurs obligations et payer leurs couturières ! - ~ le mouvement. Who made my clothes? — Traidcraft Exchange. Death is the most extreme danger workers in the clothing industry face but poor pay and conditions remain widespread today.
Thousands of Fashion Revolution supporters have helped push the UK fashion industry to clean up its act and progress has been made. But not every company is moving fast enough. So for Fashion Revolution Week this year we’re aiming to help speed things up. Many overseas workers supplying well-known British companies toil in conditions of ‘modern slavery’ – owned or controlled by an ‘employer’ or forced to work. That’s one reason the British Parliament passed the Modern Slavery Act in 2015: to require big brands to explain what they are doing to tackle modern slavery in their supply chains. The trouble is: the British Government doesn’t keep a list of who is doing what. So if we want to find out whether brands in Britain are playing by the rules, the truth is: the Government won’t help us. And, if enough of us raise our voices, we can persuade the Government to set it up. Rana Plaza : 6 ans après. LE JOURNAL DU 27 AVRIL 2018 : MÉTÉO SOCIALE, PRÉSIDENTS CORÉENS, STREAMING. DRAME DU RANA PLAZA : AUCHAN en ligne de mire.
Avril 2013, Bangladesh : 1138 ouvrier(e)s du textile sont morts dans l'effondrement de l'usine du Rana Plaza !
Dans les décombres de l'usine qui abritait plusieurs ateliers de confection à Dacca au Bangladesh, on retrouve des étiquettes de la marque In Extenso appartenant au groupe Auchan. Cette catastrophe a mis en lumière des conditions de travail désastreuses pour les travailleurs, et des atteintes graves aux droits fondamentaux. Suite à ce drame, Sherpa, Peuples Solidaires et le collectif Éthique sur l'étiquette, portent plainte contre Auchan pour pratiques commerciales trompeuses en 2014.
Malgré la gravité des faits dénoncés, l'affaire est classée sans suite en janvier 2015. Les associations décident alors de se constituer partie civile, en juin 2015 considérant que l'enquête a été insuffisante. (*)alors même que la loi Bangladaise, n'en autorise que 60. Bangladesh, Effondrement de l'usine du Rana Plaza : Signez la pétition ! Cyberaction Rana Plaza, Bhopal, Erika : halte à l'impunité des multinationales.
Rana Plaza, Bhopal, Erika : halte à l'impunité des multinationales. Un an après le drame de Rana Plaza, le CAC 40 fait bloc pour que rien ne change - Page 3. Eelv. EELV se mobilise et appelle à rejoindre la mobilisation des ONG le 24 avril à 11H devant le ministère de l’Economie et des finances à Paris.
Il y a un an, 1138 ouvriers, dont une majorité d’ouvrières, périssaient lors de l’effondrement de l’immeuble Rana Plaza au Bangladesh Les multinationales qui pressurisent leurs prestataires et leur main d’œuvre sous-payée qui travaille dans des délais intenables au mépris des règles élémentaires de sécurité comptent parmi les principales responsables. En France, Auchan et Carrefour font partie des responsables. Pourtant ils refusent toujours d’indemniser les familles de victimes et de reconnaître leur responsabilité dans ce drame. « La justice a besoin de nouveaux outils pour que la responsabilité des multinationales et les droits des victimes soient pleinement reconnus. Julien Bayou, porte-paroleSandrine Rousseau, porte-parole. Finally! Bangladesh Factory Owner Charged with Murder.
It’s been almost a full year since the tragic Bangladesh factory collapse killed 1,135 garment workers in the capital of Dhaka.
Though police have been slow to formulate charges for Sohel Rana, the negligent owner of the factory, they were not planning to let him off the hook as some had begun to worry. This week, authorities announced that Rana would stand trial for his role in the disaster. « Depuis la catastrophe du Rana Plaza, les ouvrières du textile se sont radicalisées. » Bangladesh : après le drame, interrogations sur la présence de sociétés occidentales. Quatre jours après l'effondrement d'un immeuble de huit étages contenant des ateliers dans la banlieue de la capitale Dacca, au Bangladesh, le pays est toujours en état de choc.
Un dernier bilan après cet accident industriel, le pire qu'ait connu le pays, fait état de 376 morts et plus de 900 disparus. Près de 2 500 personnes sont sorties vivantes des décombres du Rana Plaza, mais l'espoir de retrouver des survivants s'amenuise. Dimanche, alors que les sauveteurs pensaient avoir trouvé "une femme qui était, croyons-nous, la dernière survivante", un incendie a éclaté, tuant la potentielle miraculée. Selon les premier éléments de l'enquête, l'immeuble avait été bâti sur un sol instable et sans les autorisations nécessaires, et plus de 3 000 ouvriers, majoritairement des jeunes femmes, y ont été envoyés quelques heures avant l'effondrement, malgré les avertissements concernant la fragilité du bâtiment.
En Grande-Bretagne, la présence de marques occidentales a été critiquée. Mango ou comment ne pas assumer les 350 morts du Bangladesh. La marque espagnole a entrepris une opération de sauvetage de son image, après l’effondrement d’un immeuble de possibles sous-traitants à Dacca.
Colère au Bangladesh après l’effondrement de l’immeuble d’usines près de Dacca (Sipa) Le bilan de la catastrophe au Bangladesh est monté à plus de 350 morts après la découverte de nouveaux corps d’ouvrières dans les décombres de l’immeuble d’usines textiles qui s’est effondré mercredi près de la capitale, Dacca. Six personnes, dont le propriétaire de l’immeuble, ont été arrêtées dans le cadre de l’enquête déclenchée par le gouvernement. L’une de ces marques est l’espagnole Mango, un de ces géants très populaires apparus ces dernières années, et qui compte déjà 2 600 magasins dans 109 pays. Le nom de l’Italien Benneton figure également parmi les clients de l’usine. « Regrets » de Mango sur Twitter et Facebook Sur Twitter, Mango exprime ses « regrets » pour la catastrophe, et renvoie vers sa page Facebook. Mango ne doit plus avoir recours à l'esclavage au #Bangladesh - cc @Mango.
Mise à jour du 19 mai: Mango et d'autres marques ont répondu à la mobilisation des citoyens et consommateurs en signant la semaine dernière l'accord pour la sécurité des bâtiments au Bangladesh!
C'est un premier pas, mais demandons à Mango de faire plus pour améliorer les conditions de travail et les salaires chez ses sous-traitants. Merci de signer et diffuser la pétition! Pour que Mango n'ait plus recours à l'esclavage au Bangladesh et assure une totale transparence dans la fabrication de ses produits. Il y a quelques semaines, nous avons lancé une pétition afin d'exiger de la marque Mango le retrait d'une ligne de bijoux baptisée "Style Esclave", et vraisemblablement inspirée de colliers d'esclaves du XIXème siècle. Nous étions alors loin d'imaginer le drame que le mode de production de la marque allait entraîner. Walmart Accepted Clothing from Banned Bangladesh Factories - Part 2.
But at least two of the factories on the list have continued to send massive shipments of sports bras and girls’ dresses to Walmart stores in recent months, according to interviews and U.S. customs records.
In June 2011, Walmart said, it banned the Bangladeshi garment factory Mars Apparels from producing goods for the retail giant. But over the last year, Mars has repeatedly shipped tons of sports bras to Walmart, according to U.S. customs records and Mars owners. Bangladesh : Auchan, mains sales, poches pleines. Walmart and Disney Refuse to Compensate Injured Bangladeshi Workers. Le «devoir de vigilance» des multinationales risque d'être enterré - Page 2. Bangladesh : Rana Plaza - Auchan, Benetton, Carrefour : il est irresponsable d'attendre davantage. Bientôt un an d'attente pour les victimes du drame du Rana Plaza.
L’effondrement de cet immeuble au Bangladesh a causé la mort de 1 138 personnes et a fait plus de 2000 blessé-e-s, essentiellement des ouvrières fabriquant des vêtements pour des grandes marques européennes et américaines. Les victimes et leur famille n’ont à ce jour aucune garantie qu’elles toucheront une indemnisation complète, juste et transparente, qui leur permette de reprendre une vie digne.