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Médias et opinion publique

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La manifestation antiparlementaire du 6 février 1934 à Paris. La manifestation antiparlementaire du 6 février 1934 constitue l'une des crises politiques majeures de la IIIe République.

La manifestation antiparlementaire du 6 février 1934 à Paris

Depuis les débuts de la crise économique en France, les différents gouvernements de la IIIe République (la droite libérale de 1930 à 1932 ; les radicaux depuis 1932) doivent faire face à la montée d'une importante contestation politique. Les mouvements antiparlementaires, notamment les ligues d'extrême-droite, connaissent en effet un essor spectaculaire. Les gouvernements en place sont accusés d'immobilisme contre les difficultés économiques et le chômage, le système parlementaire est de plus en plus présenté comme un système inefficace, incapable par ses lenteurs d'apporter une réponse adaptée à la crise.

Médias et opinion publique en France au moment de l’affaire Dreyfus. Une du journal L’Aurore du 13 janvier 1898 « J’accuse le lieutenant-colonel du Paty du Clam, d’avoir été l’ouvrier diabolique de l’erreur judiciaire et d’avoir ensuite défendu son œuvre néfaste, depuis trois ans, par les machinations les plus saugrenues et les plus coupables. […] J’accuse le général Billot [ministre de la Guerre du cabinet Meline, avril 1896] d’avoir eu entre les mains les preuves certaines de l’innocence de Dreyfus et de les avoir étouffées, de s’être rendu coupable de ce crime de lèse-humanité et de lèse-justice, dans un but politique et pour sauver l’état-major compromis… J’accuse le général de Boisdeffre et le général Gonse de s’être rendus complices du même crime, l’un sans doute par passion cléricale, l’autre peut-être par cet esprit de corps qui fait des bureaux de la Guerre, l’arche sainte, inattaquable. […] Quant aux gens que j’accuse, je ne les connais point, je ne les ai jamais vus, je n’ai contre eux ni rancune ni haine.

Médias et opinion publique en France au moment de l’affaire Dreyfus

Le rôle des médias lors de la crise de mai 1968. Comme le souligne l’énoncé ainsi que le titre du premier document, il faut expliquer le exercé par les médias (, , voire , sans oublier la ) pendant le mouvement de mai 1968.

Le rôle des médias lors de la crise de mai 1968

La des deux documents permet d’opposer le point de vue des principaux acteurs de la crise : les autorités gouvernementales d’une part, les étudiants d’autre part. Ces points de vue n’interdisent pas, pour autant, d’en évoquer d’autres, ceux de journalistes indépendants par exemple. Le but est de souligner l’ des outils d’information et d’évaluer leur publique. Commencez par rappeler le de mai 1968 en vous appuyant sur une rapide des documents. Faites ensuite du discours du Premier ministre (Georges Pompidou), autrement dit donnez son point de vue puis, en vous appuyant sur des connaissances personnelles, relevez en quoi il peut être fondé ou non.

Mai 68 et la radio - archive vidéo INA. LES MEDIAS :ETUDE CRITIQUE DE DOCUMENTS. Qui se cache derrière l'opinion publique? Temps de lecture: 6 min Omniprésente, l'opinion publique est parvenue à se rendre indispensable.

Qui se cache derrière l'opinion publique?

Ce que les sondages font à l'opinion publique. Varia.

Ce que les sondages font à l'opinion publique

José Bové : « Les 56% d’abstentionnistes c’est surtout une façon de dire : ce jeu là on ne le supporte plus » « Mais ça montre surtout une vraie défiance, à partir de ce type de pratique, je dirais sur l’ensemble des élus et du système politique » insiste José Bové pour expliquer la situation politique qui ne donne plus confiance aux français.

José Bové : « Les 56% d’abstentionnistes c’est surtout une façon de dire : ce jeu là on ne le supporte plus »

Pour l’ancien candidat à la présidentielle, le contexte récent a des incidences sur le vote des français et plus précisément sur l’abstention. Avec un taux de participation de 42,64%, le plus bas depuis 1958, l’abstention est record aux dernières législatives. Pourtant, José Bové fait une autre analyse de cette l’abstention. Elle ne serait pas seulement due au manque de diversité dans l’éventail politique. « Le fait qu’on ait eu ces 56% d’abstentionnistes au second tour des législatives, c’est pas simplement des gens qui ne se reconnaissaient pas dans tel parti ou tel parti parce qu’il y avait quand même des choix assez larges. Selon lui, les citoyens ne veulent plus être le pion d’un système auquel ils n’adhèrent plus. Les médias sont-ils indépendants ? En France, la liberté de la presse est garantie par la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789.

Les médias sont-ils indépendants ?

Mais qu’en est-il de son indépendance ? La réponse est plus… complexe. Une liste établie par le Monde Diplomatique, montre que la quasi-totalité des titres de la presse française est aux mains de grands industriels. Bernard Arnault, l’homme le plus riche de France, est propriétaire, par le biais du groupe LVMH, des Echos, de Radio Classique et du Parisien. Patrick Drahi, le propriétaire du géant des télécommunications Altice, est actionnaire de Libération, L’Express, et BFM TV. Il y a évidemment quelques exceptions à cette règle. Cette ingérence des investisseurs dans le fonctionnement des médias, même si elle est extrêmement rare, pose problème. Alors, la presse est-elle condamnée à être dépendante des financeurs ?

Les gilets jaunes crise politique

Médias et opinion publique - Histoire Bac L. 30 secondes avant d'y croire – Un site utilisant WordPress. Le « Projet Mediamass », une critique des médias par la caricature. Médias et opinion publique dans les grandes crises en France depuis l'affaire Dreyfus. Corrigé Introduction [Accroche] En janvier 2015, l’attentat contre le journal Charlie Hebdo provoque une immense réaction de soutien, témoin du lien qui lie la presse à l’opinion publique.

Médias et opinion publique dans les grandes crises en France depuis l'affaire Dreyfus

[Problématique] Depuis 1898, la France a connu bien d’autres crises politiques au cœur desquelles ce lien joua un rôle clé. Quelle relation lie les médias au public et vice versa ? [Annonce du plan] Au fil des années, nous tenterons de définir cette relation et de voir comment elle évolue selon les supports propres à chaque période. I. 1. En 1894, la presse condamne unanimement le capitaine Alfred Dreyfus. Info. Agence Science-Presse. La presse quotidienne et l'affaire Dreyfus en 1898-1899. Essai de typologie. Des formules vagues telles que « tirage important », « très lu », ce qui permet de ne pas trop insister sur le fait que, dans le même une ou deux autres feuilles se vendent davantage.

La presse quotidienne et l'affaire Dreyfus en 1898-1899. Essai de typologie

Ajoutons à ces réserves le problème des « bouillons d'invendus » variables d'un journal à l'autre, sur lequel personne ne s'accorde en l'absence d'archives dont l'inexistence ne saurait surprendre et l'on comprendra que le tableau ci-dessous n'a pas la prétention de la question des tirages et des ventes mais de poser des jalons et de fournir un ordre de grandeur. Quotidiens de Paris 1. A cette époque Le Petit Journal est le seul quotidien français qui annonce à ses lecteurs, sans doute en l'améliorant, le record de la semaine. En l'absence de données d'archives après 1890, nous avons relevé tous ces chiffres et fait la moyenne, mais il convient d'examiner les résultats avec quelque scepticisme. 2. 3. 4. 5. 6. 1897 : 53 000 ; 1906 : 105 000 ; 1912 : 135 000. Ce que Wikileaks a changé. « Combat », c'est Camus.

Maurras appelle au meurtre. J'accuse... ! Au palmarès des articles les plus fameux de l'histoire de la presse française, celui-ci s'impose au plus haut.

J'accuse... !

Il s'agit de la célèbre interpellation, longue et vibrante, adressée par Émile Zola au président de la République Félix Faure, et publiée en première page du quotidien L'Aurore du 13 janvier 1898. Le titre est de Clemenceau, directeur politique du journal, et il fait balle. Le succès est immédiat, débridé. Lire-écouter-voir: L'atelier populaire et les affiches de mai 68. Depuis quelques semaines, les revues et journaux succombent à la tentation commémorative. Mai 68 a quarante ans et les discours hostiles de Sarkozy pendant la campagne électorale de 2007 n'ont pas complètement entaché la nostalgie bienveillante de certains, pour ce moment assez unique dans notre histoire contemporaine.

Dans les manuels scolaires, dans les revues ou sur les nombreux livres édités sur les évènements, on retrouve des affiches où le rouge et le noir dominent. La plupart sont des sérigraphies sorties de l'Atelier populaire (c'est-à-dire l'école des Beaux-Arts de Paris), elles reprennent les slogans de la rue, diffusent les idées de mai 68....Ces affiches sont en quelques sortes les documents qui témoignent le mieux l'effervescence libertaire de ce moment historique. Qui sont les artistes qui ont réalisé ces affiches, comment l'atelier populaire a-t-il fonctionné ? Le général de Gaulle et les médias sous la IVe République - charles-de-gaulle.org.

Le général de Gaulle et les médias sous la IVe République Jean TUDESQ Le général de Gaulle et les médias sous la Quatrième République, Espoir n°66, 1989. Parler du général de Gaulle et des médias sous la IVe République peut s'entendre de plusieurs manières. Ce peut être envisager ce que le Général pouvait penser de la presse et de la radio à travers ses écrits ou ses conféreces de presse ; ce peut être la recherche de son expression dans les médias. Or, après sa démission le 26 janvier 1946 et surtout après avril 1947 la retransmission de ses discours n'est plus assurée à la radio ; quant à la télévision, elle ne connaît qu'un lent démarrage.

La crise du 13 mai 1958 vue par les actualités françaises. Présentation A travers deux archives des Actualités françaises, diffusées à une semaine d'intervalle autour du 13 mai 1958, on voit comment le discours officiel sur les événements d'Algérie change du tout au tout, relayant le changement de pouvoir à la tête de l'Etat, avec le retour du général de Gaulle.