Neurosciences. Lire. La différenciation en histoire géographie. La différenciation « La lutte contre les difficultés scolaires passe par la classe » S.Boimare Pour entrer dans la différenciation il faut accepter des pratiques qui favorisent les buts de maîtrises.
Des pratiques qui favorisent des buts de maîtrise : Activités d’apprentissages qui rencontrent les centres d’intérêts des élèves Le degré d’autonomie accordé aux élèves dans le choix des tâches ou le rythme de travail L’attention portée à l’effort et aux progrès personnels La reconnaissance de l’erreur, « normal » dans l’apprentissage Ces pratiques développent des compétences de tous les élèves quel que soit leur niveau par rapport aux autres. Le professeur vise l’équité : il favorise la coopération, l’élève se sent mieux à l’école et on note une diminution de l’évitement... Roland Goigoux : "S'emparer de l'aide pour travailler les difficultés les plus fréquentes" On s'en souvient, Roland Goigoux avait été un des acteurs de la polémique sur la lecture, à l'époque De Robien.Depuis la rentrée, il a tenu plusieurs conférences au cours desquelles il a tenu une position assez singulière : en effet, s'il partage l'idée que le contexte politique est peu propice à l'engagement et à la confiance, il appelle les enseignants des écoles à s'emparer de l'aide individualisée pour revisiter le quotidien de l'Ecole...Nous avons pu visionner un enregistrement d'une de ses conférences, et proposons aux lecteurs du Café notre interprétation de ses propos.
Un monde enseignant fragilisé Introduisant ses propos face à une salle qu'il sent inquiète, R. Une responsabilité individuelle ? Quels possibles laissent les nouveaux programmes ? Tentant de trouver les voies pour l'action, il se livre alors à une lecture commentée des programmes, notamment lorsqu'ils insistent sur la nécessité de présenter un enseignement "structuré et explicite". Evaluer, mais surtout agir... 1. 3. Trois idées pour diversifier sa pédagogie. Entretien avec François Muller. Quand on enseigne, diversifier sa manière de faire les choses a de nombreux avantages.
Alors voici quelques idées au travers de cet entretien avec François Muller ! Bonjour, pourriez-vous nous présenter votre parcours ? Mes études et premières recherches ont été consacrées à l’histoire médiévale et particulièrement en archéologie pendant plus de dix ans; c’est important pour la suite. L’agrégation d’histoire m’a permis de parcourir plusieurs terrains d’enseignement, entre collèges de l’éducation prioritaire, lycée et enseignement dans le supérieur. Très tôt, la collaboration avec d’autres collègues d’autres disciplines m’a permis d’explorer les voies de la formation d’enseignement, et plus particulièrement l’accompagnement d’équipes… sur site.
Pourquoi vous êtes vous intéressé au thème « diversifier » ? Certainement pas grâce aux épreuves du concours, ni par la formation initiale très universitaire où les élèves étaient très loin, voire absents. Cerveau, apprentissage et enseignement. Il y a quelques années, la pertinence de s’intéresser au cerveau en éducation était plutôt limitée.
Intuitivement, les chercheurs, les enseignants et les autres intervenants du milieu de l’éducation se doutaient bien de l’existence d’un lien important et profond entre le cerveau et les apprentissages scolaires. Cependant, ce lien n’était ni clair ni appuyé sur des connaissances scientifiques solides, ce qui rendait les retombées éducatives des recherches sur le cerveau somme toute peu nombreuses et fragiles. Aujourd’hui, par contre, grâce aux avancées considérables de l’imagerie cérébrale et des neurosciences en général, cette situation a considérablement changé. Dans cet article, nous présentons trois grandes découvertes qui permettent non seulement d’établir des ponts plus solides entre le cerveau et l’éducation, mais aussi d’appuyer l’hypothèse selon laquelle mieux connaître le cerveau des élèves peut nous aider à mieux leur enseigner.
Mieux connaître le cerveau pour mieux enseigner. Avril-juin 2006 La motivation scolaire : approches récentes et perspectives pratiques.
Différenciation pédagogique. Décrochage scolaire / Motivation. PPRE. Elèves à profil particulier. Education prioritaire : Quelle réforme pour les Rep+ ? Le ministère a-t-il trouvé la clé du succès scolaire des enfants des milieux populaires ?
Symboliquement, c'est la Sorbonne que Benoît Hamon et Jean-Paul Delahaye, directeur de l'enseignement scolaire, ont choisi pour de premières rencontres avec les responsables des 102 futurs Rep+. En janvier 2014, Vincent Peillon avait présenté un ensemble de mesures aboutissant à la création des Rep+. Ce 9 avril, dans le temple du savoir, il s'agit de savoir comment vont fonctionner les établissements et les écoles qui regrouperont à la rentrée les enfants les moins favorisés socialement et même quelle pédagogie ils vont appliquer. Hamon : Priorité à la lutte contre les inégalités "Toute notre politique vise à réduire les inégalités". En janvier 2014, Vincent Peillon a présenté une nouvelle politique reposant sur un resserrement du réseau sur 102 Rep+ à la rentrée 2014, appelés à tripler à la rentrée 2015. Une doctrine pédagogique Le second instrument c'est l'enseignement explicite.
06_05STA00757. Stades_piaget. Elèves en difficulté : Tout un programme ? Comment les PPRE (Programme Personnalisé de Réussite éducative) peuvent-ils aider les élèves en difficulté ?
Faut-il proposer « des contenus plus adaptés aux compétences des élèves mais avec un risque de totale rupture avec ce qui est proposé en classe ou à l’inverse des contenus proches avec le risque de ne pas suffisamment aider les élèves ? Martine Janner-Raimondi répond en s'appuyant sur les résultats de ses travaux.