(associations, faire une récolte de protection hygiénique) répondre : apporter une action aller voir des assos, assurance qui rembourse. Collecte de produits hygiéniques. Une nouvelle distribution de protections périodiques pour les étudiantes est ... Comme la précarité est malheureusement aussi menstruelle pour certaines, une nouvelle distribution gratuite de protections écolo est organisée par l’Université de Lille pour ses étudiantes.
Il faut s’inscrire en ligne au préalable et la distribution se fera à Cité Scientifique du 11 au 15 janvier prochain. Après Pont-de-Bois le mois dernier, c’est au tour de Cité Scientifique d’accueillir la nouvelle distrib’ de l’Université qui a commandé à la base 1 300 coupes menstruelles et 1 800 serviettes lavables en 2020. Il reste encore du stock et les étudiantes de l’Université de Lille peuvent donc s’inscrire pour aller chercher leur kit si elles ont loupé le coche en décembre. Comment ça se passe, dans les faits ? Vous pouvez dès maintenant réserver votre créneau en ligne via l’ENT à l’adresse avec votre numéro étudiant. Sur place, un.e volontaire en service civique vous demandera de présenter votre carte étudiante et vous pourrez choisir ensuite entre une cup ou deux serviettes lavables. Secours Populaire.
Jeudi, l'Université de Lille distribue des kits de protections hygiéniques écologiques (et gratos) Ce jeudi, les étudiantes de l’Université de Lille pourront venir retirer gratuitement un kit de protections hygiéniques lavables sur sept campus de l’univ’.
Pour ça, il suffira de se munir de sa carte étudiante. Avoir ses règles, ça coûte cher. Difficile d’établir avec précision combien ça coûte dans une vie, parce que chacune est différente, mais ça coûte un max de flouze, c’est indiscutable. Amp.lepoint. Lille. Un collectif se mobilise pour récolter des protections hygiéniques pou... Par Amandine VachezPublié le 2 Jan 19 à 20:24 C’est une question à laquelle on ne pense pas forcément : comment les femmes sans domicile fixe ou en précarité font-elles pour leurs protections menstruelles ?
A Lille (Nord), Franck et Marie se sont posés la question, lors d’une discussion entre amis. L’université de Calais lutte contre la précarité menstruelle: 45 000 kits distribués. Le gouvernement va mettre à disposition des protections hygiéniques gratuites à la rentrée. Selon l’association Règles élémentaires, 1,7 million de femmes sont victimes de précarité menstruelle en France, comme le rapporte aussi le ministère de la Santé.
Pour en finir avec la précarité menstruelle, plusieurs membres du gouvernement, dont Marlène Schiappa et Brune Poirson, ont annoncé la mise à disposition de protections hygiéniques gratuites à la rentrée, dans une tribune publiée sur le site du HuffPost, en cette journée de l’Hygiène menstruelle : « Sous l’impulsion du Gouvernement, dès le mois de septembre 2020, la mise à disposition de protections hygiéniques gratuites sera expérimentée auprès d’élèves du second degré et d’étudiantes, de femmes détenues, de femmes précaires et sans abri.
Nous avons décidé de dégager un million d’euros pour ce combat cette année. » Tourcoing Des produits intimes offerts pour lutter contre la précarité menstruelle. Lille : douze points de collecte installés pour lutter contre la précarité menstruelle. Précarité menstruelle : expérimentation de la gratuité des protections hygiéniques. Marlène Schiappa et Christelle Dubos annoncent l’expérimentation en 2020 de la gratuité des protections hygiéniques dans plusieurs lieux collectifs pour un budget d’1 million d’euros.
Marlène Schiappa et Christelle Dubos saluent le rapport publié mardi 11 février par les députées Laëtitia Romeiro Dias et Bénédicte Taurine sur les règles et le tabou qu’elles constituent encore dans notre société. Ce rapport fait notamment de la lutte contre la précarité menstruelle et de l’accès de toutes les femmes aux protections hygiéniques une priorité. L’inégalité des femmes dans l’accès à des produits d’hygiène est un phénomène que la sénatrice Patricia Schillinger dénonçait déjà dans son rapport remis aux ministres en novembre 2019. Selon l’association Règles élémentaires, ce sont aujourd’hui 1,7 million de femmes qui sont victimes de cette précarité menstruelle en France. "L'accès aux protections hygiéniques est un luxe" : en finir avec la précarité menstruelle.
À l'occasion de la Journée internationale de l'hygiène menstruelle ce jeudi, le collectif "Règles élémentaires" fait témoigner six personnalités pour dénoncer la précarité menstruelle et briser le tabou des règles.
Le gouvernement, lui, annonce des mesures. “1,7 million de femmes en situation de précarité menstruelle” : une campagne devenue virale en quelques heures. Le post sur Instagram, deux jours avant Noël, a enflammé le web : plus de 900 000 likes en une journée.
Pourtant le sujet, en général, ne fait pas flores. Il est même tabou. Puisqu'il parle de règles. Pire encore, il s'agit d’une campagne de sensibilisation sur la précarité menstruelle. La précarité menstruelle touche plus d’1,7 millions de femmes en France “Un grand nombre de femmes se privent d’aller au travail, et des jeunes filles manquent l'école car elles n’ont pas les moyens de changer régulièrement leurs protections hygiéniques. Une femmes a ses règles pendant environ trente-neuf ans. Un budget inaccessible pour beaucoup. 1,7 millions c’est le nombre estimés de femmes en situation de fragilité chaque mois de leur vie, en France, selon l’étude IFOP , menée en mars 2019 par l’association Dons Solidaires.
Sans compter que ce nombre est en forte croissance depuis le début de la crise économique engendrée par la pandémie du Covid 19. Le buzz est inattendu pour tout le monde. La précarité menstruelle, facteur d’inégalités femmes/hommes. La précarité menstruelle : facteur d’inégalités femmes-hommesLe coût élevé des protections hygiéniques D’après une étude réalisée par le journal Le Monde en 2019, dans sa vie, une femme dépense en moyenne 3 800 euros en hygiène menstruelle, cette somme pouvant représenter jusqu’à 5 % du budget d’une femme[3].
En effet, outre les protections hygiéniques, d’autres dépenses directement liées aux menstruations, telles que les anti-douleurs ou les rendez-vous gynécologiques, sont également à prendre en compte. S’agissant des protections hygiéniques, elles représentent à elle seule un budget allant de 5 à 7 euros par mois, selon les associations[4].
Ce coût n’est pas négligeable et représente un investissement pour les femmes et jeunes filles en situation de précarité, qui doivent se passer de protections hygiéniques, alors même que ce sont des produits de première nécessité, pour pouvoir subvenir aux autres besoins vitaux. Se dirige-t-on vers le modèle écossais ? [1] [3] [4] Précarité menstruelle: 5 millions d'euros pour aider les femmes en 2021. Axelle, SDF, nous parle de la précarité menstruelle. Combien les règles coûtent-elles dans la vie d’une femme ? La ministre de l’enseignement supérieur, Frédérique Vidal, a annoncé le 23 février que des protections hygiéniques seraient disponibles gratuitement dans 1 500 distributeurs installés à la rentrée dans les résidences du Crous et les services de santé étudiantes.
Après avoir été longtemps un tabou, relevant de la sphère privée, la question des règles, et de leur coût financier, a pris ces dernières années une tournure politique. Au 1er janvier 2016, la TVA (taxe sur la valeur ajoutée) avait été baissée à 5,5 % sur les protections périodiques, alors qu’elles étaient jusqu’à présent taxées à 20 %, autant que les produits de luxe. En 2018, l’Ecosse est allée plus loin en distribuant gratuitement ces produits d’hygiène aux écolières et étudiantes. 500 fois dans une vie La question est loin d’être anecdotique. Proposition de loi nº 1778 visant à assurer la gratuité des protections menstruelles et à garantir leur sécurité sanitaire.