Marketing stratégique et opérationnel : Du marketing à l'orientation-marché. Le Paradoxe du choix : Et si la culture de l'abondance nous éloignait du bonheur ? Plastique, le grand emballement - Nathalie Gontard. Survivre au XXIe siècle - Stéphane Garneau. Le luxe demain - Yves Hanania. Moins c'est mieux - Latifa Gallo. Faites le choix de matériaux nobles et naturels.
Le bois est sans conteste le matériau noble et écologique par excellence. Sa déclinaison en différentes essences offre une multitude de possibilités et de rendus en matière de création et de décoration. Le guide écofrugal - Philippe Levêque. La famille sans supermarché - Chloé Landriot. Reçu dans le cadre de la MC de février.
Merci Babelio et Rustica (Fleurus) pour la petite carte me souhaitant une belle lecture.Je poste enfin ma critique in extremis ! Et oui, c'est plutôt le genre de livre dans lequel je vais papillonner au grès de mes besoins d'informations. Alors, le lire in extenso, m'a pris du temps.C'est tout d'abord un bel objet : coloré, mise en page très agréable, les infos mise en avant etc...Si vous vous interrogez sur votre façon de consommer, si vous en êtes au début de votre réflexion, alors ce livre peut vous aider.Chloé Landriot y aborde en effet les nombreuses solutions existantes pour se passer de supermarché.J'ai apprécié la façon dont elle présente sa décision, jamais culpabilisante, et dans une démarche honnête.
En effet, elle aborde les points positifs et négatifs des solutions qu'elle propose. Consommation (BD) - Adrienne Barman. Une BD SUPEr-pertinente, à mettre entre toutes les mains, jeunes et moins jeunes.
Adopter des comportements de consommateur averti, ça peut sembler difficile, mais en lisant cette BD, qui vous guidera à travers les principes de base des entreprises pour vous courtiser ( et vous soutirer des sous) on constate que le truc, c'est de savoir quoi observer. Bien sur, on retrouve une bonne part d'humour, mais derrière les bonhommes comiques ( pas super jolis, ceci-dit, c,est bien son seul défaut) c'est incroyable les trésors d'imagination, de science et de psychologie qui sont utilisés pour nous faire consommer.
Certains moyens sont désuets ou ont été encadrés, mais d'autres ont rapidement pris le relais, c,est sans fin. Donc, sans tomber dans le cynisme absolu, l'idée est d'être vigilent, d'être patient et de se poser des questions, dont la meilleure est "Est-ce que j,en ai VRAIMENT besoin? + Lire la suite. No logo - Naomi Klein. Parfois l'élégance d'une théorie se voit aussi à sa capacité d'intégrer en elle ses propres paradoxes.
Il en est ainsi de la conception de la marque suprême du PDG de Nike Phil Knight qui a si magnifiquement accompagné et montré la voie de la désindustrialisation nord-américaine depuis l'époque (fin des années 80) et européenne d'à présent. Tout commença un certain Vendredi Noir de Marlboro, où Wall Street avait supposé que le glas avait sonné du marketing publicitaire. Erreur, opina le génial dirigeant, au contraire il ne restera dorénavant de la fonction (aujourd'hui il dirait "mission" !) Le monde selon Walden : 8 millions de followers.
Oui j'ai plus de 12 ans oh combien plus et Walden évoque pour moi le récit de Henri David Thoreau, lac auprès duquel il a vécu deux ans loin du monde.
C'est évoqué dans le prologue. Mais si j'ai voulu lire ce livre c'est parce que j'aime les écrits de Luc Blanvillain : Crime et jean slim, un amour de geek etc....Toujours une jolie mise en scène de garçons et filles qui doivent vivre dans leur époque et se préserver de quoi? Sa marque de fabrique , un récit où le lecteur est partie prenante, un récit à la fois drôle et intelligent.
Une mise en exergue de notre monde rempli de nouvelles technologies sans stygmatiser, juste faire réfléchir par soi-même en se promenant dans une histoire fluide avec des pirouettes et du suspense. La dictature du carbone - Frédéric Denhez. No fake - Jean-Laurent Cassely. Alors que tout le monde aspire désormais à sortir des sentiers battus, cette quête d'authenticité n'est-elle pas devenue elle-même un produit marketing de plus ?
Jean-Laurent Cassely analyse ici cette nouvelle "ère du fake" : retour à la terre, nostalgie du vintage sont les marqueurs forts de cette tendance actuelle, qui sent de plus en plus l'artifice. A grand renfort d'image de grand-mère et d'appellations typiques style"maison" ou "terroir" l'on cherche à convaincre une génération qui a grandit dans un environnement normé par la consommation, jusqu'à l’écœurement... Car la culture hipster découle notamment d'une saturation, dégouté par les non-lieux et l'aseptisation des espaces ces nouveaux adultes sont en quête de réel et de vrai. Après les yuppies, les hippies et les bobos cette nouvelle génération de contestataires s'inscrit néanmoins dans un horizon commercial finalement opposé aux valeurs qu'ils souhaitent promouvoir. . + Lire la suite. Art & Pub - Mélanie Gentil. En préambule de cette critique, je tiens à remercier et évoquer là mes plus sincères remerciements à Babelio, sa masse critique toujours plus polyvalente d'offrandes si tentantes et mon ressentiment envers cette touchante générosité d'offre à la demande pour nous fournir de si beaux ouvrages .
Mes hommages donc à ce choix qui n'en est que plus grand, plus géant et ouvert aux quatre vents de la curiosité , à ceux désirant sortir de leur habituel Pile à lire.Cette fenêtre vivante d'indécentes propositions de livres, j'avoue, me rend un peu ivre.. Voilà pourquoi peut-être je choisis ainsi particulièrement les éditions Palette ( à la diable ? Service clientèle - Benoît Duteurtre. Etre ou ne pas être un OVNI, un Original Vivant Non Identifié, telle est la question.Es tu encarté ?
Carte bleue, carte grise, carte orange, carte verte ? Carte de fidélité (même au club échangiste), carte casto, carte confo, carte « con sot » ? Carte du parti et du parvenu. Carte d'identité, carte vitale, carte jeune, carte étudiant, carte navigo… Elle est où ta carte ? Même ton écran est encarté. Black Friday - Christophe Léon. Dénoncer la société de surconsommation, l'obsolescence programmée, tout un programme ;p Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, une fois de plus, j'ai le plaisir de vous embarquer dans un nouveau titre de la collection [Rester Vivant] Une nouvelle fois, je ne peux que remercier Bruno et toute l'équipe de la Maison d'éditions le Muscadier.
Chriistophe Léon nous entraîne dans six nouvelles toutes aussi prégnantes les unes que les autres ! Parfois choquantes, parfois caustiques, mais franchement avec beaucoup de finesse ! Le poing levé - Simon Stranger. Il est clair que ce roman n'y va pas par quatre chemins.
Il dénonce haut et fort l'esclavage dont usent des marques de vêtements tels que H&M ou Gap pour fabriquer leur collection. " Prenez du plaisir à porter ce tee-shirt. Les esclaves qui l'ont cousu n'en n'ont pas eu. " Le piège de la société de consommation. L'école est finie - Yves Grevet. Je consomme donc je suis ? - Benoît Heilbrunn. "Suis", du verbe "être" ou du verbe "suivre" ? Destiné aux jeunes adolescents, cet album nous apprend beaucoup sur la consommation. Cent pages colorées, illustrées et passionnantes, composées de petits chapitres pour évoquer la mode, les marques, la publicité, nos habitudes et notre dépendance, l'image que l'on souhaite donner avec nos produits fétiches, le conformisme, l'identification, le décalage entre nos besoins et nos achats, les inconvénients et les risques de la surconsommation - épuisement des ressources naturelles, pollution, exploitation des ouvriers des pays défavorisés, obésité...
De la poubelle au musée - Octave Debary. Freshkills - Lucie Taïeb. C’est à Berlin que cette histoire commence, comme peut-être commencent désormais à Berlin toutes les histoires de ruine, de hantise et d’oubli. Nous sommes au tout début du XXIe siècle et je travaille, presque par hasard, au sein d’une commission qui recherche, dans les archives berlinoises, les dossiers de demandes d’indemnisation des descendants ou des proches parents de victimes juives de spoliation durant la Seconde Guerre mondiale.
Je lis les dossiers et les descriptions des objets perdus : les souvenirs d’appartements et de commerces, les machines à coudre, l’horloge, le manteau, le nom de mon père, celui de ma grand-mère, ma tante et je l’aimais, il ne me reste plus rien d’eux. . + Lire la suite.