Éthologie. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(mai 2011).
Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. L'éthologie est l'étude scientifique du comportement des espèces animales, y compris l'humain, dans leur milieu naturel ou dans un environnement expérimental, par des méthodes scientifiques d'observation et de quantification des comportements animaux.
Aristote étudiait déjà le comportement animal avant que le terme "éthologie" ne soit défini par le naturaliste Isidore Geoffroy Saint-Hilaire en 1854. Des scientifiques tels que Charles Darwin, Oskar August Heinroth, Jean-Henri Fabre, Charles Otis Whitman, Jakob von Uexküll ont ensuite marqué l'étude du comportement animal en biologie. Étymologie et définition[modifier | modifier le code] Plusieurs sous-disciplines s'en détachent. Zoologie. Zoologiste (Torben B.
Larsen) observant un caméléon La zoologie (des termes grecs ζῷον, zôon, animal, et λόγος, logos, le discours) est la science qui étudie les animaux. Les spécialistes de cette discipline sont appelés zoologistes, ou zoologues. La distinction entre zoologie et botanique[modifier | modifier le code] La frontière entre la zoologie, qui étudie les animaux, et la botanique, qui étudie les végétaux, a été et est toujours sujette à controverses. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, Ernst Haeckel, considérant que la coexistence de ces caractères était héritée d'ancêtres communs aux animaux et aux végétaux, définit pour les organismes unicellulaires le règne des Protistes (Protista) en 1866.
Pour les biologistes qui, comme Cavalier-Smith à la fin du XXe siècle, recommandent de ne pas utiliser le terme d'« animaux unicellulaires », la zoologie est l'étude des animaux et des protozoaires[3]. Histoire de la zoologie[modifier | modifier le code] I. Portail de la zoologie. Éthologie humaine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L’éthologie humaine est une branche de l'éthologie, qui étudie les processus comportementaux de l'être humain envisagé en tant qu'espèce animale selon les préceptes de l'éthologie. Définition[modifier | modifier le code] L'éthologie humaine est l'étude biologique du comportement humain. Histoire[modifier | modifier le code] Elle devint une discipline scientifique distincte dans les années 1930 avec les zoologistes Konrad Lorenz et Niko Tinbergen. Ils reçurent, ainsi que l'éthologiste Karl von Frish, le prix nobel 1973 pour les découvertes réalisées sur l'ensemble de leurs carrières.
Ces dernières années, l'éthologie a joué un grand rôle en sociobiologie et en psychologie évolutionnaire. Notes et références[modifier | modifier le code] Culture (éthologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La culture, dans une définition large et applicable à l'ensemble des animaux sociaux, se conçoit comme étant un ensemble de savoirs et de pratiques qui se partagent et se transmettent socialement au sein d'un groupe donné et non par héritage génétique. Cette définition large de la culture a longtemps été ce qui permettait de définir spécifiquement « l'Humanité ». Mais l'éthologie, la primatologie, la zoologie et plusieurs autres sous-domaines des sciences naturelles font aussi l'étude du comportement des animaux ; ces disciplines étudient la « culture animale » et la culture n'est donc plus aujourd'hui considérée comme étant propre à l'Homme. La culture ainsi considérée, peut être observée chez plusieurs espèces animales et notamment chez les insectes. Par exemple, des études sont actuellement menées sur la variété des dialectes utilisés chez les épaulards. Ethos. Réciprocités naturelles.
Droits des animaux. Biodiversité. Cause animale. Domestication. Chasse. Ethology. Frans De Waal. Organisme vivant. Manières d'être vivant. Systèmes complexes. Extrêmophiles. Exceptionnel : une veillée funèbre a été filmée chez des chimpanzés. EMPATHIE.
Difficile de rester indifférent face à la mort d'un proche : colère, peur, tristesse ou même joie dans certains cas sont des sentiments qu'éprouvent aussi bien les humains que certains primates. Comme les gorilles ou les macaques, les chimpanzés expriment différentes émotions à la mort de l'un des membres de leur groupe social (quoi que parfois interprétées excessivement, par anthropomorphisme). Les primatologues Edwin van Leeuwen et Katherine Cronin de l'Institut Max Planck ont pu exceptionnellement filmer ces comportements, dont les images, prises en mai 2010 viennent tout juste d'être diffusées (voir ci dessous). Toilettage post-mortem Dans la dernière vidéo du Max Planck, les primates ne voient pas venir la mort du jeune Thomas - en conséquence, leurs réactions n'en sont que plus surprenantes.
Podcasts. Animaux.