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VSS, Culture du viol, violences

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« S’il y a un interdit, ce n’est pas de violer les enfants de la famille, mais plutôt de parler des incesteurs. Loopsider - Après un énième cas de harcèlement de rue,... Formulaire de commande Le violentomètre. Commande de l'outil "le violentomètre" au format papier - Le violentomètre est GRATUIT ainsi que ses frais de port en Île-de-France. - Si votre structure est hors Île-de-France, l'outil est téléchargeable ici en version HD et imprimable à vos frais. - Cet outil est réservé aux professionnel-le-s (éducation, associations, etc.).

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Un écrivain pédophile — et l’élite française — sur le banc des accusés. Puis, cherchant un abri plus sûr, M.

Un écrivain pédophile — et l’élite française — sur le banc des accusés

Matzneff et l’adolescente s’installèrent à l’hôtel. M. Matzneff explique que les factures de ce dernier étaient réglées par Yves Saint Laurent, le couturier décédé en 2008, par l’entremise d’un de ses collaborateurs proches, Christophe Girard. L’arrangement lui avait permis de se remettre d’une opération de l’œil, et d’ « échapper aux visites de la Brigades des mineurs (qu’il appelle des “persécutions”), » écrit Mme. Springora. « Je suis à l'heure », un court-métrage percutant sur le viol et la non-assistance à personne en danger [MÀJ] Retrouvez en fin d’article une interview d’Isabelle Quintard, co-réalisatrice de Je suis à l’heure.

« Je suis à l'heure », un court-métrage percutant sur le viol et la non-assistance à personne en danger [MÀJ]

Je suis à l’heure est un court-métrage qui prend aux tripes, en compétition pour le Nikon Film Festival, 5ème édition. Réalisé par Isabelle Quintard et Fabien Motte, il présente un monsieur tout-le-monde en route pour un entretien d’embauche, qui monte dans le RER… et s’y retrouve confronté au viol, cette horreur si ordinaire. Trigger Warning : cette vidéo peut être extrêmement dérangeante à regarder (et surtout à écouter). Retrouvez un résumé complet juste en-dessous si vous ne voulez pas prendre le risque. Le sexe violent, une "épidémie silencieuse" liée à la pornographie. La violence lors de rapports sexuels consensuels est une pratique répandue, selon des activistes.

Le sexe violent, une "épidémie silencieuse" liée à la pornographie

Plus d'un tiers des femmes britanniques de moins de 40 ans disent avoir subi des gifles, des étouffements, des bâillonnements ou des crachats non désirés lors de rapports sexuels consensuels, selon une étude de la BBC. Parmi les femmes qui avaient subi l'un ou l'autre de ces actes, voulus ou non, 20 % ont dit avoir été bouleversées ou avoir eu peur. Anna, 23 ans, dit qu'elle a été victime d'actes de violence non désirés lors de relations sexuelles consensuelles à trois occasions distinctes, avec des hommes différents. Lire aussi: Mais pourquoi donc les femmes victimes de violences ne portent-elles pas plainte ? Après l’émergence des hashtags #balancetonporc et #metoo, de nombreuses femmes se sont vu reprocher de ne pas porter plainte après avoir subi des violences sexuelles.

Mais pourquoi donc les femmes victimes de violences ne portent-elles pas plainte ?

Elles ont pourtant de bonnes raisons de ne pas le faire, entre les menaces de l’agresseur, le peu de crédit que l’on accorde à leur récit, la longueur et le coût des procédures ou encore l’impunité dont bénéficient les agresseurs accusés. 81 % des victimes de violences sexuelles ayant porté plainte éprouvent le sentiment de ne pas avoir été reconnues par la Justice. Et elles sont parfois si maltraitées qu’elles regrettent d’avoir parlé. Parce que les victimes sont terrorisées. Elle l'a bien cherché. Le viol en 1975 dans les archives de l'INA. Tous les hommes qui s’expriment dans cette archive le font face caméra.

Le viol en 1975 dans les archives de l'INA

C’est en 1975 dans un reportage de France 3 Nancy et c’est édifiant. Thomas Legrand profite de cette semaine de Grenelle contre les violences faites aux femmes pour faire entendre un son provenant des archives de l'INA. Cela vient d'un reportage télévisé par France 3 Nancy, réalisé en 1975. On y voit des hommes évoquer la question des viols. Journaliste : Est-ce que vous avez déjà eu envie de violer une femme ? Journaliste : Vous avez déjà violé une femme ?

Françoise Héritier : "Nous sommes les seuls parmi les espèces où les mâles tuent les femelles" Qui exerce ces violences à l'encontre des femmes ?

Françoise Héritier : "Nous sommes les seuls parmi les espèces où les mâles tuent les femelles"

Françoise Héritier tient à clarifier cette question. Lorsque nous parlons de la violence, des violences exercées à l’encontre des femmes, il ne vient à l’idée de personne de dire par qui… Mais les violences exercées à l’encontre des femmes, et bien il faut le reconnaître, dans toute l’histoire de l’Humanité et encore maintenant, ce sont des violences exercées par l’autre moitié sexuée de l’Humanité. Bien sûr il y a des femmes qui exercent des violences contre d’autres femmes (…) mais généralement ce sont des violences masculines. Se former sur les violences, en 3 minutes. Étude : Plus d'une femme sur deux ne se sent pas en sécurité dans les clubs sans être accompagnée. Une étude menée au Royaume-Uni par You Gov auprès de festivalier.ère.s révélait récemment qu’une femme sur cinq était victime d’agression ou de harcèlement sexuel en festival.

Étude : Plus d'une femme sur deux ne se sent pas en sécurité dans les clubs sans être accompagnée

Cette fois, ce sont les membres de l’association Consentis qui ont mené l’enquête auprès de 1030 Français. « Il y avait un besoin urgent de redéfinir les termes d’agression sexuelle, de harcèlement sexuel et de consentement dans le contexte des lieux festifs », a déclaré Mathilde, cofondatrice de l'organisation, « Et c’est important pour nous d’avoir une démarche scientifique, afin d’illustrer le problème et de participer à la prise de conscience ». Comme chez nos amis britanniques, les résultats de l'étude sont alarmants. 60% des femmes interrogées déclarent avoir déjà été victimes de violences sexuelles dans des établissements festifs.

Combien de fois ces femmes seront «touchées» en une soirée? Trois femmes portent une robe qui compte les contacts et pressions pour mesurer à quel point une boîte de nuit peut devenir un piège pour les moins tactiles.

Combien de fois ces femmes seront «touchées» en une soirée?

Une marque de boissons gazeuses a mené une expérience dans une boîte de nuit brésilienne. La question est simple: combien de fois une femme attirante se fait-elle toucher en une soirée dans un nightclub? Il n’est pas question de mains baladeuses: attraper le bras, l’épaule ou la hanche d’une inconnue sera comptabilisé. L’expérience est également filmée, et certains extraits sont équivoques: non, il ne s’agit pas seulement d’une tape sur l’épaule pour entamer une conversation. Certains passages relèvent plus de la contrainte que du contact physique. Après l’expérience, les trois volontaires donnent leur ressenti: «Une femme n’est pas un animal à piéger et à capturer»; «Approchez-moi calmement, parlez-moi sans me toucher»; «Je suis une personne intéressante, je vaux bien 5 minutes de discussion».

Françoise Héritier : "Nous sommes les seuls parmi les espèces où les mâles tuent les femelles" Qui exerce ces violences à l'encontre des femmes ?

Françoise Héritier : "Nous sommes les seuls parmi les espèces où les mâles tuent les femelles"

Françoise Héritier tient à clarifier cette question. Lorsque nous parlons de la violence, des violences exercées à l’encontre des femmes, il ne vient à l’idée de personne de dire par qui… Mais les violences exercées à l’encontre des femmes, et bien il faut le reconnaître, dans toute l’histoire de l’Humanité et encore maintenant, ce sont des violences exercées par l’autre moitié sexuée de l’Humanité. Bien sûr il y a des femmes qui exercent des violences contre d’autres femmes (…) mais généralement ce sont des violences masculines. Approche responsable de la culture du viol – 3VOLUTION – STAGES & COACHING. La notion de culture du viol est un concept sociologique qui met en perspective le lien entre les rapports sexuels non consentis et le tissu culturel d’une société.

Ce concept suggère l’existence d’un schéma comportemental appris par l’ensemble de la société et soutenu par des comportements se transmettant à travers les générations. C’est une forme de déterminisme inconscient. La culture du viol est avant tout tacite, et inconsciente la plupart du temps. Si l’on pouvait voir la croyance centrale (inconsciente) de cet héritage, elle ressemblerait certainement à : « la femme n’est pas l’égale de l’homme » et aussi: « la femme est propriété de l’homme ». En découle alors une logique toujours inconsciente qui donne naissance à d’autre croyance comme: « Les hommes sont prioritaires face à l’accès du corps de la femme ».

« PayeTaPlainte » : Plus de 500 témoignages qui racontent ce que c'est, réellement, de porter plainte pour une agression sexuelle. Film "V8" prix 2017 "Femmes et Numérique" Ton Court Pour l'Égalité. "Elles s'appellent", le film lauréat du prix "Femmes et espaces publics" #TCPE 2018 !

GÉNÉRALITÉS, STÉRÉOTYPES ET FAUSSES REPRÉSENTATIONS SUR LES VIOLENCES SEXUELLES. Article de Muriel Salmona publié en aout 2010 sur le site memoiretraumatique.org Définition des violences sexuelles Il s'agit de violences à caractère sexuel, avec ou sans contact physique, commis par un ou plusieurs individus avec violence, contrainte, menace ou surprise, c'est à dire sans le consentement de la personne visée. La contrainte prévue par la loi peut-être physique ou morale. L' ALLUMEUR - Martin, sexe faible. Quand le viol n’est plus un crime, par Sophie Boutboul (Le Monde diplomatique, novembre 2017) En France, chaque année, 84 000 femmes et 14 000 hommes disent avoir été victimes de viol ou de tentative de viol dans les enquêtes de victimation (1).

Culture du viol - madmoiZelle.com. Culture du viol, consentement et « zone grise » Ami•e•s féministes ou anti-féministes, ou sans étiquette, soyez les bienvenu•e•s sur cet article garanti sans sarcasme ni mépris. (C’est sincère, promis). Voilà plusieurs années que le concept de « culture du viol », importé des États-Unis (« rape culture »), a quitté les cercles féministes militants d’où il est parti, pour entrer dans le langage courant. En janvier 2014, Najat Vallaud-Belkacem alors ministre des Droits des femmes l’utilise dans un discours à l’Assemblée Nationale pour dénoncer la banalisation de la misogynie sur Internet.

À lire aussi : Najat Vallaud-Belkacem s’attaque à la « culture du viol décomplexée » Les Brutes et la séduction prédatrice. #MoiAussi... Coupable. Consentir avec Geneviève Fraisse. Dans le cadre dans la journée spéciale #ViolencesSexistes : et maintenant ? Harcèlement, agression : que nous disent les réactions des hommes ? Mais pourquoi donc les femmes victimes de violences ne portent-elles pas plainte. Pourquoi la violence faite aux femmes. Qui exerce ces violences à l'encontre des femmes ? Le cinéma, véhicule d'une culture du viol ? Le droit criminel, la justice transformatrice et la violence faite aux femmes : regards croisés - Ligue des droits. 16 septembre 2015 Revue Droits et libertés, Vol. 34, numéro 1, printemps 2015 Rachel Chagnon, Professeure au département des sciences juridiques de l’UQAM et directrice de l’Institut de recherches et d’études féministes Liliane Côté, intervenante sociale et juriste, consultante en violence conjugale et militante féministe Virginie Mikaelian, étudiante à la maitrise en communication internationale et interculturelle, Université du Québec à Montréal (UQAM)