Devoir de conseil dans les contrats informatiques - Droit des nouvelles technologies / Informatique. Lorsqu'on achète du matériel informatique, le fournisseur de ces produits à un devoir de conseil vis-à-vis de son client, qu'il soit un consommateur ou une entreprise.
Corollaire de l'obligation de renseignement imposé aux parties cocontractantes, le devoir de conseil des fournisseurs de matériel informatique va plus loin puisqu'il oblige le vendeur professionnel à rechercher la solution qui soit la plus adaptée aux besoins de son cocontractant. Le devoir de conseil, un principe jurisprudentiel Dès les années 1970, la jurisprudence imposait ce devoir de conseil au vendeur de matériel informatique. Jurisprudences. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookie. J'accepte.En savoir plus, paramétrer et ou s'opposer à ces cookies. l'actualité du droit des nouvelles technologies 2962 Décisions en ligne Jurisprudence / Thématique Les avocats du net Mots-clés Legalis Contact Legalis.
Obligations autour des contrats ASP - Droit des nouvelles technologies / Informatique. Après des années d'impopularité, les contrats Application Service Provider (ou ASP) reviennent à la mode, et les entreprises en sont de plus en plus friands.
Que se cache-t-il derrière ce contrat informatique ? Réponse dans cet article. Le contrat ASP est un pur contrat de prestation de service qui consiste à proposer, dans le cadre d'un abonnement, l'utilisation à distance de logiciels et de services informatiques associés. Concrètement, les entreprises peuvent avoir recours à un prestataire unique, dit prestataire ASP, lequel se chargera d'héberger leurs données et de leur donner accès, à distance et généralement via Internet, à un certain nombre d'applications ainsi qu'à des services spécifiques (maintenance, protection anti-virus, firewall, archivage, helpdesk…).
Ce système présente assurément bien des avantages pour les entreprises : leurs besoins sont satisfaits rapidement, les coûts sont connus, échelonnés et souvent moindres que dans le cadre d'une informatisation traditionnelle. Contrats informatiques : le détail des responsabilités. L’affaire Macif–IGA Assurances est l‘occasion de revenir sur la nécessité d’une réparation claire des responsabilités. Ainsi que sur quelques conseils de rédaction des contrats informatiques. Il convient en effet d’anticiper, dès le stade de la contractualisation, les potentielles difficultés d’exécution du projet informatique. Retours sur l’affaire Macif – IGA Assurances Dans le cadre d’un projet de restructuration, la Macif avait conclu avec IGA Assurances deux contrats.
Les contentieux liés aux contrats informatiques. Publié le 18/04/2017 par Etienne Wery , Hervé Jacquemin - 0 vues Lorsqu’une entreprise fait appel à un prestataire IT pour s’informatiser, qu’il s’agisse d’acquérir du matériel (hardware), des logiciels (software), et/ou bénéficier de prestations accessoires (maintenance ou formation du personnel, par exemple), il n’est malheureusement pas rare que des difficultés surviennent.
Les problèmes peuvent se manifester très tôt, par exemple au cours de négociations rompues abusivement par l’une des parties, ou plus tardivement, en cours d’exécution du contrat, lorsqu’il apparaît que la solution logicielle proposée n’est pas compatible avec les autres applications du clients. Ils peuvent trouver leur origine dans des manquements du client et/ou du prestataire IT. Dans le chef du client, le prestataire pointera généralement le non-paiement du prix ou le manque de réactivité dans la vérification et l’acceptation des livrables.
A cet égards, trois remarques s’imposent : 2.1 La rupture des négociations. Contrat informatique. Absence de rupture brutale des relations commerciales dans le cadre d’un contrat d’intégration Un prestataire informatique avait débuté des travaux d’intégration d’un logiciel sur la base d’un contrat de cadrage signé avec son client.
En l’absence de signature du contrat définitif, le prestataire a suspendu ses travaux et demandé le paiement des factures. Par un arrêt du 22 novembre 2019, la Cour d’appel de Paris a rejeté les demandes d’indemnisation du client fondées sur la rupture brutale des relations commerciales, faute de démontrer l’existence "d’une relation stable, régulière et durable entre les parties". Contrat de prestation de services : les clauses et obligations. Le contrat de prestation de services est une convention conclue à titre onéreux entre deux parties : un prestataire et son client.
Ce contrat fait naître des droits et des obligations réciproques entre elles. Legalbiznext, droit des TIC (technologies de l'information et de la communication) et de la PI (propriété intellectuelle)