background preloader

Genre

Facebook Twitter

Le féminisme de genre, parasite de la cause de la liberté des femmes 3/3. Par Jabial Lire les deux premiers articles de la série : (1) Le féminisme de genre a abandonné le combat pour la liberté des femmes (2) pour fonder son action sur des peurs irrationnelles qui attisent la haine.

Le féminisme de genre, parasite de la cause de la liberté des femmes 3/3

Les prostituées : oubliées, bannies, infantilisées, exclues Les féministes de genre, comme tous ces gens qui portent sur leur cœur leur passeport de membre du Parti du Bien qui les autorise à prendre les autres de haut, à les haïr et à prendre comme une évidence qu’ils sont idiots ou mal intentionnés, n’hésitent pas une seule seconde à marcher sur les plus faibles lorsqu’ils sont sur le chemin du Paradis sur Terre promis par leur magnifique idéologie.

Je parle bien sûr de la pire abomination qu’a engendré le féminisme de genre dernièrement : le soi-disant « abolitionnisme ». Ces gens se rendent-ils donc compte exactement de ce qu’ils sont en train de défendre ? Imaginez donc. Le féminisme de genre, parasite de la cause de la liberté des femmes 2/3. Par Jabial Lire le premier article : du combat héroïque des proto-féministes à l’idéologie haineuse des « gender feminists », comment la juste cause du féminisme a été pervertie.

Le féminisme de genre, parasite de la cause de la liberté des femmes 2/3

Une tentative de désexualiser les êtres humains. Le féminisme de genre, parasite de la cause de la liberté des femmes 1/3. Par Jabial Il était une fois un monde terrifiant où les femmes étaient traitées au mieux comme des enfants à protéger et au pire comme du patrimoine, c’est-à-dire comme des choses dont l’existence n’avait d’autre but que d’agrémenter celle de leur propriétaire.

Le féminisme de genre, parasite de la cause de la liberté des femmes 1/3

Dans cette société ignoble où une tolérance polie, qui trop souvent dissimulait mal le regret d’être associé à une telle anomalie, était la meilleure chose qu’une femme exceptionnelle pouvait attendre des hommes qui auraient dû se battre pour elle, Dieu seul sait combien de talents ont été perdus. L’emmerdant, c’est la robe. Le gouvernement démontre une fois de plus, avec le genre, qu’il n’a pas grand chose à faire du réel.

L’emmerdant, c’est la robe

Najat Vallaud-Belkacem qui nie l’existence du genre pour y substituer des études de genre, Vincent Peillon qui fait une marche arrière encore plus longue en affirmant que le genre n’est qu’une rumeur fomentée par des négationnistes, pour que finalement Laura Slimani des Jeunes Socialistes affirme le genre, assume le genre. Qu’une jeune fille soit plus couillue qu’un ministre père de famille lui donne raison : le genre, ça existe. Cachez ce genre que je ne saurais voir Inspirés par l’extrême-droite ou pas, comme on aime à le dire aujourd’hui même des informations avérées sur les jobs décrochés par les enfants de nos ministres, les Français ne savent plus trop qui croire.

Nous avons reconstruit le site « LigneAzur.org » sur la théorie du genre que le ministère a précipitamment fermé. Quand le scandale sur la théorie du genre a éclaté – et que le gouvernement a immédiatement nié son existence, la première chose qu’il a fait a été de fermer l’accès aux preuves du délit : le site internet ligneAzur.org a été mis hors ligne, et pour cause… Grâce à nos informaticiens – merci Guillermo – nous avons pu reconstruire une partie du site du Ministère de l’Education nationale sur lequel les ados sont envoyés afin de « découvrir » une sexualité alternative et décomplexée.

Nous avons reconstruit le site « LigneAzur.org » sur la théorie du genre que le ministère a précipitamment fermé

Accrochez-vous, il s’agit de vos enfants. Le questionnaire proposé aux enfants : ce que je fais : masturbation, pénétration buccale, pénétration anale, pénétration vaginale, autre… Le débat interdit. La théorie du genre existe-t-elle ?

Le débat interdit

A partir de cette question si vivement discutée aujourd’hui, il me semble utile de tenter une réponse – et de formuler une remarque. Partons de ce qui est certain : le concept de genre existe bel et bien. La redécouverte de la nature humaine par la biologie évolutionniste (2) Par Damien Theillier.

La redécouverte de la nature humaine par la biologie évolutionniste (2)

Alors que cinq cents entreprises ont été mises en demeure ces derniers mois pour n’avoir pas respecté l’égalité professionnelle hommes-femmes (communiqué du ministre des droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem), nous publions la seconde partie de notre article sur la négation de la nature humaine. Cette partie est consacrée au féminisme et à l’égalitarisme. La « table rase », c’est l’idée que notre esprit serait vide de toute prédisposition, de toute organisation préétablie et qu’il n’y aurait pas de nature humaine. (Voir la première partie ici). Cette idée est contestée par les récentes recherches scientifiques en biologie et apparaît de plus en plus comme un mythe. Rhyzomes genrés : propos sur une théorie qui n'existe pas. Première partie.

Il n'y a pas de théorie du genre.

Rhyzomes genrés : propos sur une théorie qui n'existe pas. Première partie.

C'est du moins, depuis peu de temps, ce que les esprits très en phase avec les problématiques soulevées par le "gender", ou le "genre", ne cessent de proclamer. Il n'y a pas de théorie du genre, il n'y aurait que les "études sur le genre" - "gender studies" en anglais. Le message se veut clair : aucune idéologie théorique, que des hypothèses de travail scientifique qui concernent au premier chef, l'Université et tout ce que l'on peut compter de Hautes Ecoles. Ne cherchez pas, vous ne trouverez pas de théorie sur le genre, vous ne trouverez que des écrits, incompréhensibles, avec force notes en bas de pages ; autrement rien de rien, rien qui puisse troubler la fameuse ménagère de moins de cinquante ans - que devient-elle celle-là ?

Rhizomes genrés : propos sur une théorie qui n'existe pas. Deuxième partie. La dispute entre "nature" et "culture", qu'exploite à frais nouveaux la théorie du genre, se cristallise autour des présupposés philosophiques idéalistes.

Rhizomes genrés : propos sur une théorie qui n'existe pas. Deuxième partie.

Il est difficile d'admettre, et le faire serait réducteur, qu'une théorie toute entière repose uniquement sur une pathologie individuelle. Si la pathologie individuelle, ou plus simplement une problématique strictement personnelle, peut s'épanouir en théorie universelle, c'est en raison de son ancrage à des prémisses philosophiques. Si donc une pathologie individuelle prend une part à la construction d'une théorie, c'est que le système de représentations - puisque la théorie du genre n'est que cela : une représentation - induit par la pathologie se coulent dans les cadres conceptuels philosophiques de représentations justement (Schopenhauer, entre autres, fait son fond de commerce avec la "représentation" ou la "présentation"). L'idéalisme est un relativisme en béton armé. Wiki_Adminet: TheorieDuGenre. Deux lesbiennes transforment leur fils adoptif en fille (vidéo)

Couvrez ce zizi que je ne saurais voir Un enfant de 11 ans va subir une opération chirurgicale pour se faire enlever son pénis après avoir pris des hormones depuis l’age de 8 ans.

Deux lesbiennes transforment leur fils adoptif en fille (vidéo)

L’enfant, élevé par un couple de lesbiennes, se sentirait une fille depuis toujours, selon ses mamans, qui lui font subir tout cela pour sa santé… Quand le progressisme sociétal couplé à un consumérisme maladif utilisent la science pour mettre en place Le meilleur des mondes… Dans un avenir proche, nous serons enfin libérés de l’oppression homophobe de Dame nature et nous pourrons avoir fabriquer des enfants qui ressemblent à ce qu’on veut. Car enfin, vu ce que coutent les gamins, n’est-il pas normal qu’il correspondent exactement aux attentes de leurs parents consommateurs ? Heureusement, les Californiens « sont en avance » sur nous, ils sont plus « tolérants » et comprennent que chacun doit pouvoir vivre sa vie comme il l’entend.

Mais chut ! La Pédocriminalités. Etats-Unis : 40 ans de prison pour les "pères homosexuels". L'enfant conçu par GPA était sexuellement exploité par ses "parents" dans des réseaux pédophiles. [Mise à jour du 7 juillet] Journal télévisé du 2 juillet 2013, TV australienne ABC. [Mise à jour du 4 juillet] L’information parue le 29 juin selon laquelle : un couple d’hommes a planifié l’adoption d’un bébé l’a fait concevoir (avec les gamètes d’un des deux) par une mère porteuse en Russiel’a acheté 8000 dollars, dans le but délibéré d’utiliser l’enfant comme objet sexuel dès ses premières semaineset l’a ensuite utilisé dans des réseaux pédophiles et pour le tournages de films pornographiques cette information, donc, n’a eu strictement aucun écho dans la presse française (notre recherche s’est basée sur les articles disponibles sur internet).

Les sites français de quelque influence ayant évoqué cette affaire sont, outre Fdesouche : Boulevard Voltaire – Le Salon Beige - Egalité&Reconciliation. Rapport sur l’égalité entre filles et garçons de l’Inspection Générale des Affaires Sociales. "LEUR PASSIVITE LEUR SERA FATALE. NOTRE BUT EST DE RENDRE NOTRE ENNEMI PASSIF" (Mao Tsé-Tong) Le Rapport sur l’égalité entre les filles et les garçons dans les modes d’accueil de la petite enfance, rédigé en décembre 2012 par l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS) à la demande de Mme Najat Vallaud-Belkacem est truffé de références au genre. Encore une fois, les institutions publiques y affichent leur ambition de « déconstruire les préjugés liés au sexe » en agissant sur les enfants et les professionnels qui les encadrent et en partant du postulat que l’éducation se doit d’encourager la neutralité et l’indifférenciation des sexes. "Les préjugés liés au sexe sont datés dans le temps et situés dans l’espace et ils peuvent donc faire l’objet de déconstruction".

Bureau audiovisuel francophone » Gauche: L’imMonde relativisme ou quand la protection de l’enfance était « fasciste » LE MONDE FACE A SON PASSE PEDOPHILE Dans un post frais du jour, le succulent Vox Galliae rappelle à son public ébahi qu'avant d'en faire l'apanage des internats catholiques, la gauche française cultivait des droits de pleine exclusivité sur la marque "pédophilie". Légère amnésie soixante-huitarde, la gauche universelle a réclamé à corps et à cri la libéralisation de l'"érotique puérile" (Le Monde, 17 février 1978). Nous avons déjà réglé son compte à Libération, passons au Monde puisque c'est de lui qu'il s'agit aujourd'hui.

Contrairement à Libération, Le Monde ne s'est livré à la louange de l'abus sexuel envers mineurs que de façon raffinée, prudente, par le biais, essentiellement, de la critique littéraire. C’est souvent via la critique de livres que la pédophilie émerge de l’océan de silence et de réprobation où elle gisait avant que Le Monde ne décide d'en vanter les mérites libératoires: Le "sexe", produit culturel ou donnée naturelle ? Qu’est-ce que cette « théorie du genre » qui vient de faire irruption dans le débat public à l’occasion des remarques présentées par le Grand Rabbin de France pour dénoncer le « mariage homosexuel » ? Par Drieu Godefridi.Publié en collaboration avec l’Institut Turgot.

Judith Butler Quelle est la généalogie de cette Théorie du genre qui, via la loi française contre les violences psychologiques contre les femmes, la Convention du Conseil de l’Europe contre les violences économiques et psychologiques faites aux femmes, le mariage gay, l’adoption et l’insémination au bénéfice de couples homosexuels, et jusqu’à nos manuels scolaires, semble sourdre par tous les pores du corps politique européen ? Si les gender studies lui sont antérieures, la théorie du genre ne se donne un soubassement idéologique cohérent qu’avec Trouble dans le genre, l’ouvrage séminal que publiait, en 1990, l’universitaire américaine Judith Butler (éditions La Découverte, 2005). La redécouverte de la nature humaine par la biologie évolutionniste (1) Par Damien Theillier. Certains scientifiques aujourd’hui avancent que des comportements culturels complexes comme la famille, le langage ou les normes morales ne seraient pas des constructions sociales arbitraires mais des réponses biologiques adaptatives qui ont émergé lentement au cours du temps au point de constituer des invariants naturels et universels.

Une accumulation de preuves empiriques tous azimuts vient désormais à l’appui de cette idée que tout n’est pas acquis et que la part de l’inné serait bien plus grande qu’on ne pensait. Pour de nombreux philosophes et chercheurs, pourtant, tout comportement humain est compris comme « socialement construit », c’est-à-dire déterminé par des normes culturelles modelant le comportement après la naissance.

La théorie du genre : Symptôme d’une société narcissique, manipulée et fascisante ? (1/2) Tribune libre de Yann Carrière* La théorie du genre : Symptôme d’une société narcissique, manipulée et fascisante ? (2/2) Suite de la tribune libre de Yann Carrière* L’ensemble constitué par ces buts militants voire haineux et ces méthodes de destruction intellectuelle à sens unique offre aux tenants de cette idéologie la possibilité de flotter indéfiniment dans un nirvana de considérations plaisantes mais déconnectées de la vie, parfois brillantes mais toujours inconclusives et même stériles, qui caractérise les écrits de Judith Butler, souvent illisibles pour le commun des mortels, et pour les personnes attachées au sens concret des choses.

Reconnaissons et admirons cependant une certaine habileté intellectuelle dans ces exercices gratuits de destruction. Cette habileté permet à Butler de passer à volonté d’un conditionnel prudent lorsqu’elle s’exprime sous forme d’hypothèses honorables en elles-mêmes, à des affirmations gratuites ou pétitions de principes plus révolutionnaires sans aucun argument. Féminisme et Lumières : le genre contre le libéralisme. La théorie du Genre soutient que la famille est une cellule de domination et devient un enjeu politique majeur. Théorie du genre : l’insoutenable légèreté de la droite française. Norvège : le documentaire qui a sonné le glas de la théorie du genre ! MODE D’EMPLOI : Petite histoire du genre et des études féministes françaises. Les études féministes et les études de genre sont des recherches qui se signalent par l’étroite relation que leurs résultats entretiennent avec les conséquences politiques.

Pour un grand nombre d’entre elles, les chercheuses peuvent participer à l’élaboration de mesures en faveur des femmes. Les liens avec la politique sont donc une évidence : petite histoire de ces grandes influences. Judith Butler : défaire le genre. De la théorie du genre à la famille. Le genre: théorie de l’apparence.

On ne serait donc pas femme ou homme par la nature mais uniquement par une construction sociale, collective d’abord, puis individuelle. Bien que disposant de testicules et du chromosome X, un homme pourrait se ressentir et se déclarer femme. Vous reprendrez bien encore un peu de Gender ? Encore ? Encore ! Toute la vérité sur l'inventeur des Gender Studies. La théorie du genre à l'école, une réalité pour des centaines d'écoliers ! Document_telechargeable-2013-30-05.pdf. Snuipp-luttehomophobie-0513.pdf. 14Litterature_jeunesse_primaire_2012_juillet.pdf.

L'empire du genre. Les parents face à l'idéologie du gender à l'école. Document officiel de l’UNESCO : Guide International Sur l’Éducation Sexuelle. Théorie du Genre à l’école : le Conseil de l’Europe est saisi.