Nos 12 priorités pour la PAAC post 2020 - Pour une autre PAC. Forte de son budget annuel de plus de 50 milliards €, la Politique Agricole Commune (PAC) de l’Union européenne (UE) structure le système agro‐alimentaire européen.
Aujourd’hui, une majorité de son budget est dépensée au profit de l’agriculture intensive et de pratiques qui nuisent au développement durable des territoires ruraux, à la santé et à l’environnement, privant ainsi les citoyen·ne·s européen·ne·s d’une utilisation judicieuse de l’argent public. À partir de 2021, une nouvelle PAC doit entrer en vigueur. Les négociations pour en définir les contours ont déjà commencé.
Ce processus constitue une véritable opportunité pour la rendre plus juste, plus durable et plus cohérente. IPBES : Notre alimentation est la première cause de perte de biodiversité dans le monde, alertent les experts mondiaux. Trop de viande, trop de gras, trop de sucre, trop de produits transformés… Le régime alimentaire occidental, de plus en plus globalisé, est la première cause de perte de biodiversité dans le monde. C’est l’un des principaux enseignements du Résumé pour décideurs qui a été adopté dans la nuit du samedi 4 mai par les 132 États membres de l’IPBES, la Plateforme intergouvernementale pour la biodiversité, l’équivalent du Giec sur le climat.
Cette synthèse, négociée ligne par ligne par les délégations pendant une semaine, est issue d'un rapport de 1 800 pages sur lequel ont travaillé 450 experts pendant trois ans à partir de 15 000 références. Il s’agit de l’évaluation scientifique la plus aboutie sur l'état de la nature depuis l’analyse historique du millénaire publiée en 2005. Parmi les nombreuses données qui y figurent, les chercheurs estiment qu’un million d'espèces, sur les quelque huit millions estimées sur la planète, sont menacées d'extinction. Sauver le climat en sauvant la nature. EDS Journal No16. Étiquetage et gaspillage alimentaires : pour une convergence accrue des initiatives françaises et européennes. Allez au contenu, Allez à la navigation 29 décembre 2016 Recherche Recherche avancée Vous êtes ici : Travaux parlementaires > Rapports > Rapports d'information Étiquetage et gaspillage alimentaires : pour une convergence accrue des initiatives françaises et européennes Rapport d'information de Mmes Pascale GRUNY et Patricia SCHILLINGER, fait au nom de la commission des affaires européennes n° 243 (2016-2017) - 19 décembre 2016.
Sans titre. Un tiers des aliments produits dans le monde n’est jamais consommé.
Face à ce gâchis, une résolution de 2012 du Parlement européen vise une baisse de 50 % des quantités perdues d’ici à 2025. La France – où chacun jette en moyenne 20 kg d’aliments par an, dont 7 kg encore emballés – reprend cet objectif dans le Pacte national de lutte contre le gaspillage, signé en 2013 par tous les maillons de la chaîne alimentaire.
Les Français veulent "consommer autrement", selon une étude. 85% des Français privilégient les entreprises ayant préservé une implantation locale© AFP/Archives LIONEL BONAVENTURE Paris (AFP) – Les Français veulent consommer « responsable et plus durable », et une écrasante majorité d’entre eux (94%) souhaitent revenir à des produits simples et accessibles à tous, selon une étude publiée lundi. « Pour la première fois depuis 2004, consommer responsable, c’est avant tout +consommer autrement+ pour la majorité des Français (50,5%) », souligne Greenflex, une société de services en développement durable qui a mené cette étude avec le soutien de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe). « Consommer autrement » signifie privilégier les produits « éco-labellisés », certifiés éthiques, locaux, moins polluants.
Pour 32% des Français, il s’agit de « ne plus consommer de produits ou services superflus », et pour 16%, de « réduire sa consommation en général ». 2016, année charnière pour la consommation responsable. Consommer "autrement".
C’est ainsi que les Français envisagent la consommation "responsable", si l’on en croit la nouvelle édition de l’étude Ethicity/Greenflex qui fait référence sur le sujet. Changer sa façon de consommer Concrètement, cela veut dire que consommer de façon responsable, ce n'est pas forcément consommer moins (16%). C’est surtout consommer mieux. Pertes et gaspillages alimentaires 201605 rapport. Gaspillage alimentaire : les chiffres chocs. Il suffit de 3 chiffres pour comprendre toute la problématique, la démesure et l’absurdité du gaspillage alimentaire.
Ils viennent d’être publiés dans une nouvelle étude de l’Ademe, inédite sur le sujet. Et ils donnent le tournis. Chaque année en France, 10 millions de tonnes de nourriture (1) destinées à l’alimentation humaine sont perdues ou gaspillées (elles peuvent cependant être utilisées en tant que nourriture pour animaux, compost ou pour produire de l’énergie par méthanisation). De quoi nourrir 10 millions de personnes pendant un an ! Si l'on considère le prix de vente de ces produits perdus ou gaspillés (hors gains sur d’éventuelles valorisations comme vu plus haut), cela représente une valeur théorique de 16 milliards d’euros chaque année. L’impact carbone de ce gaspillage est évalué à 15,3 millions de tonnes équivalent CO2 (MTeq). Tous responsables. Mode de vie Les Français face au bio en 2016 : Etude alimentation-cosmétique. Les Français face au bio.
Vaste sujet ! Si le marché des produits bio est en croissance constante depuis une dizaine d’années, qui sont les acheteurs de produits alimentaires et cosmétiques ? Pourquoi choisissent-ils et pourquoi continuent-ils à consommer ces produits ? La Louve, une coopérative à la pointe. Sur le modèle d’une coopérative new-yorkaise, La Louve, coopérative participative alimentaire, va bientôt ouvrir à Paris.
La Louve, projet de coopérative alimentaire inédit en France, devrait très bientôt ouvrir ses portes à Paris, dans le XVIII° arrondissement, au 116 rue des poissonniers, entre les métros Simplon et Marcadet-Poissonniers. La Louve est bâti sur le modèle d’une coopérative participative américaine, Park Slope Food Coop qui existe à New-York depuis une quarantaine d’années et revendique 16 000 membres. Tempête à l’INRA autour d’un rapport sur l’agriculture biologique. Ils sont agronomes, géographes, économistes, sociologues, généticiens ou encore chercheurs en cancérologie.
Ils travaillent dans des écoles d’agronomie, des universités ou des instituts reconnus de la recherche française, tels que le CNRS (Centre national de la recherche scientifique), l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) et l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale). Ce matin, ils sont cent seize chercheurs à avoir signé en leur nom propre une longue lettre adressée au PDG de l’INRA.
Reporterre a pu se la procurer : elle demande le retrait de ce qui était présenté comme une grande synthèse scientifique de l’institut sur l’agriculture biologique. Une copie a même été adressée au ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll. Sondage alimentationclimat2015. Les circuits courts alimentaires. Rapport bva agro ecologie. Réduire l'impact carbone de notre alimentation. © Technosciene.net Réduire l'impact carbone de notre alimentation, oui, mais pas à n'importe quel prix !