(548) SONITA Bande annonce VOST - trailer France. (548) LE PROCES DE VIVIANE AMSALEM - film annonce VOSTF. Les Femmes du Bus 678 - film 2011 - AlloCiné. Les débats sur les menus de cantine scolaire - La laïcité dans tous ses états (Extrait) La laïcité un concept à géométrie variable ? Laïcité : un principe, plusieurs interprétations « Liberté, Égalité, Fraternité et… Laïcité » ?
Les mots sonnent bien ! Pourtant, en France, le principe de laïcité fait l’objet de débats passionnés bien qu’il soit gravé dans le marbre depuis la loi de 1905 qui consacre la séparation des Églises et de l’État. Plusieurs visions de la laïcité s’opposent aujourd’hui, et chacun a tendance à l’interpréter un peu comme ça l’arrange. Mais essayons d’y voir plus clair. La laïcité repose sur trois principes : - la liberté de conscience et de culte, - la séparation des institutions publiques et des organisations religieuses, - l’égalité de tous devant la loi, quelles que soient leurs croyances ou leurs convictions. La laïcité dans le monde : l'exception plutôt que la règle Dans le monde, la laïcité est plutôt l’exception que la règle. Beaucoup d’États sont séculiers, c'est-à-dire que, le temps passant, la religion s’est peu à peu effacée des identités, des comportements et des discours publics.
Affaire Mila : on vous raconte l'histoire de cette lycéenne déscolarisée après avoir reçu des menaces de mort pour ses propos sur l'islam. Seize ans, inconnue il y a trois semaines et déjà sous protection policière.
Tel est le sort peu enviable de Mila, dont le visage a été révélé au grand public lors de son passage à l'émission "Quotidien", sur TMC, lundi 3 février. Comment et pourquoi cette adolescente s'est-elle retrouvée menacée et déscolarisée ? Retour sur une histoire qui a débuté le 18 janvier. Ce jour-là, la lycéenne de l'Isère discute "en live" sur le réseau Instagram avec ses abonnés. Elle raconte la scène dans une vidéo qu'elle poste le samedi 18 janvier sur les réseaux sociaux, et qui va devenir virale. "Avec une meuf de mon live, je discutais, expose Mila, face à la caméra de son téléphone. Elle poursuit : "Je déteste la religion. La vidéo plus complète de Mila pour bien comprendre d'où c'est parti. La vidéo se propage rapidement sur plusieurs réseaux sociaux, dont Twitter.
Affaire Mila : « l’insulte à la religion » fait débat - C à Vous - 29/01/2020. Italie : retour en arrière sur l'IVG. Le doigt d'honneur des femmes croates aux anti-avortement. Pologne : le droit à l’IVG menacé. États-Unis : la déferlante anti-avortement. "Mon corps, mon choix ", "Plus jamais ça !
", tels sont les slogans scandés par les femmes qui manifestaient ce jeudi 30 mai dans les rues de Saint-Louis. Elles sont venues par centaines pour sauver la seule clinique habilitée à pratiquer l'avortement dans l'État du Missouri. Une tentative de la dernière chance : le centre de soins, est menacé de fermeture, l'État n'ayant pas renouvelé sa licence d'exploitation. Initialement prévue samedi 1er juin, la clinique du Missouri devait cesser ses activités ce samedi 1er juin, mais la justice de cet Etat du centre des Etats-Unis a prolongé sa licence. Le dossier sera réexaminé lors d'une nouvelle audience le 4 juin. Une "vraie crise de santé publique" La clinique est accusée de ne pas vouloir coopérer avec les autorités locales, qui lui imposent de nouvelles réglementations. Sur Twitter, Leana Wen, présidente de Planned parenthood, évoque une "vraie crise de santé publique".
Loi Veil : un droit pour toutes. Pour la nouvelle génération, l’héritage de Simone Veil, c’est surtout un droit fondamental : le droit à l’avortement.
En mai 1974, Simone Veil est nommée ministre de la Santé, dans le gouvernement de Jacques Chirac, et est chargée de rédiger un projet de loi sur l’avortement. Depuis plusieurs années, les femmes réclament de pouvoir interrompre leur grossesse en toute légalité. Le 26 novembre, Simone Veil monte à la tribune de l’Assemblée nationale, face à 9 députés femmes et 481 députés hommes : "Aucune femme ne recourt de gaité de cœur à l’avortement.
C’est pour mettre fin aux avortements clandestins, qui sont le plus souvent le fait de celles qui, pour des raisons sociales, économiques ou psychologiques, se sentent dans une telle situation de détresse qu’elles sont décidées à mettre fin à leur grossesse dans n’importe quelle condition". La gauche applaudit, mais pas son propre camp.