LES MYSTÈRES DE TCHERNOBYL. Beaucoup d’énigmes relatives à la catastrophe de Tchernobyl demeurent inexpliquées et inexplicables.
Le Professeur Georges Lochak président de la Fondation Louis de Broglie (Paris) en aborde certaines : Professeur Georges Lochak : « …Mon ami Urutskoïev m’a justement confié qu’il ne savait pas quelle force avait propulsé le couvercle du réacteur dénommé Elena - pesant près de 2 000 tonnes - et l’avait fait retomber sur le côté. Il n’y a aucune explication raisonnable à cela, et ceux qui prétendent en avoir une s’abusent. Certes, il y a eu des affirmations dans la presse scientifique selon lesquelles il s’agissait probablement d’une pression de vapeur. Mais cela est parfaitement stupide ! Professeur Georges Lochak : « Tout le monde est d’accord pour dire que l’explosion dans la salle des machines a précédé celle du réacteur. Beaucoup de théories circulent pour expliquer une telle chance. Journal de Tchernobyl - volume 5.
Fukushima Regardons les choses en face ; avec le manque d’informations de la part des autorités japonaises et tant de choses en coulisses, nous sommes comme ces prisonniers, dans la proverbiale caverne de Platon, qui ne voient que l’ombre des choses de la vie réelle en surface.
La rédaction de ce volume est comme un puzzle. Un puzzle avec beaucoup de pièces manquantes parce que le désastre est en cours. Ces notes sont peut-être chaotiques comme les jours où elles sont écrites. En regardant les vidéos des explosions de la centrale nucléaire au Japon, j’ai immédiatement su que c’était une grande catastrophe, et que les informations n’ont pas été divulguées, et cela à une échelle inimaginable. Il est difficile de faire une comparaison avec Tchernobyl, cet accident est un désastre à part entière.
Mars 2011 Regardez la photo du réacteur n° 3. Interview au journal "IT-TORCA" (Malte) Questions à Elena : A votre avis, peut-on comparer le désastre de Tchernobyl à celui de Fukushima ? Septembre 2013. Journal de Tchernobyl. Interview pour le magazine Start (Bosnie – Herzégovine) Questions à Elena : Elena, quand avez-vous, pour la première fois, visité la zone morte après l'explosion et quand avez-vous décidé d'y voyager ?
J'ai voyagé la première fois à Tchernobyl en 1992. Nous étions allés rendre visite à de la famille en Biélorussie, avec mon père. J'ai vu le côté biélorusse de la zone morte. Plus tard, en achetant une moto, nous parlions avec un vendeur du magasin de motos, qui me disait que le rêve de tout motocycliste est de conduire sur des routes vides, sans police et sans voitures. Qu'est-ce qui vous motive pour faire de si dangereux trajets avec votre moto ?
Si j'avais à exprimer en peu de mots ce que je fais à Tchernobyl, je dirais que j'observe seulement, d'années en années, comment le monde matériel se dissout dans le néant. Que pensez-vous alors que vous êtes dans la zone morte et comment vous sentez-vous ? J'ai placé ce que je ressens dans mes photoreportages, articles, livres, vidéos. Tchernobyl 10 ans après : nuages sur l'Europe Traduction de l'article sur le Dr Siedentopf (1ère partie) Paru sur le blog d'Ultraman.
Un lecteur de son blog (Viola) a traduit cette partie de l'allemand en anglais et je l'ai traduit en français pour le BBB. Ville fantôme de Pripyat en Ukraine : les habitants ont été évacués pour toujours après la catastrophe Par Gabriele Goettle Dörte Siedentopf, docteur en médecine, est née en 1942 à Oldenburg, a fait sa scolarité dans cette ville et a étudié la médecine à Würzbourg, Berlin, Göttingen, a passé ses examens en 1966, promotion 1968, mariage en 1967, deux enfants, a pratiqué en libéral la médecine générale et la psychothérapie de groupe à partir de 1970 à Dietzenbach en Hesse. A la retraite depuis 2003. Traduction de l'article sur le Dr Siedentopf (2ème partie)