Avez-vous vraiment un cerveau reptilien. Je me suis mis en colère… C’était plus fort que moi, c’est mon cerveau reptilien qui a pris le dessus. » Il n’est pas rare d’entendre ce genre de réflexion.
L’image est efficace, on imagine des réflexes ancestraux qui ressurgiraient dans certaines situations émotionnelles, avec cette idée d’un animal qui sommeille en chacun de nous et libère occasionnellement des pulsions enfouies. Le concept de pulsion s’accommode d’ailleurs assez bien de cette idée de « cerveau reptilien ». Nos enfants sont-ils heureux à l’école. Paul, 10 ans, est en CM2, dans la même école depuis cinq ans.
Mais il ne s’y sent pas vraiment bien, et ses parents ont constaté que cela avait un impact sur sa vie extrascolaire et familiale. Rien à voir avec Théo, dans la même classe que Paul, qui est très heureux de se rendre à l’école tous les matins et semble par ailleurs très épanoui à la maison. Reflexions - La mémoire multiple. Approche neurocognitivede la mémoire. On a déjà souvent parlé du pouvoir des images en formation, mais aujourd’hui on vous explique, d’un point de vue scientifique, pourquoi les images c’est vraiment trop bien !
Pour Paivio, professeur de psychologie américain, le traitement d’une information par notre cerveau nécessite un double encodage : Une image, qui sera la représentation de cette information ;Un mot, qui sera le sens donné à cette information. Faisons une petite expérience ! Et la créativité ? - Le point sur la recherche en sciences cognitives sur la créativité : la fin d’un mythe. Le point sur la recherche en sciences cognitives sur la créativité : la fin d’un mythe Le Picador(premier tableau de Picasso - 8 ans) Il est un mythe extrêmement répandu dans l’opinion ; il consiste à croire que les méthodes d’enseignement par transmission directe et explicite n’ont d’autres résultats que de produire des élèves non motivés, passifs et surtout non créatifs.
En corollaire, les méthodes par découverte, elles, produiraient des élèves créatifs. La créativité est un mot à l’image extrêmement positive. Qui pourrait être hostile au développement de cette aptitude ? La méditation intense préserverait le cerveau des effets du vieillissement. CONCENTRATION.
La méditation, exercice mental puissant qui consiste à entraîner son esprit à focaliser son attention, retarderait le vieillissement du cerveau ! Pour démontrer cette hypothèse dans la population générale, l'Inserm lance une étude financée à hauteur de 6 millions d'euros par la Commission Européenne. Baptisée Silver santé Study, elle recrute 150 volontaires de plus de 65 ans non méditants, sur la ville de Caen (Normandie). Un groupe pratiquera la méditation, un autre l'anglais et le troisième rien (contrôle), pendant 18 mois. Puis des examens médicaux et études comportementales (stress, sommeil...) permettront de comparer l'effet des différentes interventions. «L'intention est la clé de la concentration» Rencontre avec Jean-Philippe Lachaux. Se concentrer nécessite de multiples activités cérébrales : définir un objectif, sélectionner les informations pertinentes pour y parvenir, mettre en place une série d’actions dans ce but et, surtout, savoir résister à la dispersion.
Attention, concentration… Quelle est la différence ? Faut-il croire les neurosciences ? Comment notre cerveau nous permet-il de penser ?
Telle est la question posée par les neurosciences cognitives. Leurs recherches sont ambitieuses, mais impliquent des méthodes d’analyse si complexes et si spécialisées que les chercheurs doivent souvent se croire sur parole… Les neurosciences cognitives n’ont jamais été aussi ambitieuses qu’aujourd’hui, comme en attestent le pharaonique Human Brain Project à un milliard d’euros en Europe et les projets de même ampleur engagés aux États-Unis, en Chine et au Japon. On oublierait aisément à quel point ce domaine de recherche est jeune, et que par exemple, le grand congrès annuel sur le fonctionnement cérébral de l’homme (« Human Brain Mapping ») n’a fêté en 2015 que ses 20 ans. Faire confiance aux maths Le domaine fut bouleversé par l’arrivée de machines capables de mesurer les variations métaboliques accompagnant dans chaque région du cerveau l’activité neuronale : TEP, IRMf, MEG.
Faire confiance aux collègues Faire confiance aux sujets. Stratégies pour soutenir le développement de la mémoire de travail. Ajouter aux Favoris Jeffrey MacCormack et Ian Matheson Cliquer ici afin d'accéder à l'infographie.
Bien que nous sachions depuis longtemps qu’il existe une relation entre la mémoire de travail et les troubles d’apprentissage (TA), nous n’arrivons pas encore à cerner précisément en quoi cette relation consiste. Grâce à la mémoire de travail, nous pouvons conserver temporairement de l’information pendant que notre cerveau est occupé à une autre tâche. Nous utilisons notre mémoire de travail pour apprendre une langue, résoudre des problèmes et exécuter d’innombrables autres tâches. Comment s'exercer à apprendre. Pdmqdc_levier_enseignement. Stratégies pour soutenir le développement de la mémoire de travail. EDU Learning fr 3. Neurosciences. Les cartes mémoire : une méthode de révision efficace (suggérée par les sciences cognitives)
La mémorisation en classe: un fâcheux oubli. La mémorisation est le parent pauvre des activités réalisées en classe. Les 3 étapes de l'apprentissage (selon les sciences cognitives) + comment rendre des exercices efficaces. Dans leur ouvrage Mets toi ça dans la tête !
, Brown, Roediger et McDaniel écrivent que l’apprentissage se fait en 3 étapes : le codage initialla consolidationle processus de récupération. 10 stratégies pour apprendre vite. Certains ont des facilités pour apprendre rapidement.
Si vous ne faites pas partie de cette catégorie, il est possible de travailler cette compétence. L'apprentissage est un processus que nous devons maîtriser. En effet, les outils que nous utilisons pour travailler changent régulièrement.