Et si la France sortait de l'Union Européenne ? D'après un sondage OpinionWay du 24 juin 2016, 52 % des Français seraient favorable à la tenue d'un référendum sur le maintien de la France dans l'Union Européenne (1).
Le sujet pourrait même être au cœur du débat de la prochaine élection présidentielle. Depuis la victoire du « oui » au référendum britannique sur le Brexit, l'idée d'une sortie de la France de l'Union Européenne fait du chemin chez une partie de l'opinion publique et de la classe politique. Si l'idée d'un retour d'une souveraineté totale semble trouver ses adeptes, les conséquences politiques et économiques d'un « Frexit » n'en demeurent pas moins lourdes d'incertitudes. L'impact d'un retour du franc sur l'économie et le commerce extérieur… Contrairement au Royaume-Uni qui n'appartenait pas à la Zone euro, la France devrait aussi abandonner l’euro en cas de départ de l'UE pour reprendre le franc. Tout d'abord, il est fort à parier que ce dernier se déprécierait fortement par rapport à l'Euro.
Le coût économique de la crise : -1,5% de perte de PIB par quinzaine de confinement – Covid-19 et économie, les clés pour comprendre – Banque de France. En bref : l’économie française a tourné fin mars aux deux tiers de son rythme normal.
Chaque quinzaine de confinement « coûte » environ 1,5 % de perte de PIB annuel, et au moins 1 % de déficit public supplémentaire. L’enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France, réalisée du 27 mars au 3 avril auprès de 8 500 entreprises, détaille l’impact des mesures de confinement en vigueur depuis le 17 mars.
Coronavirus : la France devrait connaître en 2020 sa plus forte récession depuis 1945. Coronavirus et mondialisation: «Cette crise remet en cause les principes du libre-échange» Quel est le rôle de la mondialisation dans la propagation du coronavirus et la crise économique et financière que cette dernière a participé à déclencher?
Sputnik France a posé la question à l’économiste Henri Sterdyniak, auteur de nombreux ouvrages sur l’économie monétaire et internationale. «Il faut que nous tirions toutes les conséquences de cette épidémie sur l’organisation de la mondialisation, et notamment sur les chaînes de valeurs. Il faut réduire notre dépendance vis-à-vis d’un certain nombre de puissances, en particulier la Chine, et il faut renforcer notre souveraineté sur des chaînes de valeurs qui sont stratégiques», expliquait Bruno Le Maire au micro de France Inter, lundi 9 mars. Coronavirus: quand la Chine tousse c’est l’économie mondiale qui prend froid. L’épidémie de coronavirus (Covid-19) nous fournit un très bon exemple des conséquences de la globalisation.
D’un strict point de vue sanitaire, nous avons été en présence d’une épidémie d’un virus à la dangerosité assez faible mais fortement contagieux. C’est ce qui fait la différence avec les autres épidémies. Coronavirus : dix chiffres qui montrent l'arrêt brutal de l'économie française. Questions d'actualité Régulation.
Coronavirus : face à la ruée des clients, la grande distribution appelle au calme et au civisme. Virus l'Europe peine à réagir. Comment le coronavirus fait basculer l’économie mondiale dans l’inconnu. Carte : révisions de croissance 2019 et prévisions 2020 (Policy Brief) Revue à la baisse en avril 2019 par rapport à octobre 2018, la prévision de croissance mondiale pour 2019 a été une nouvelle fois abaissée par le Fonds Monétaire International (FMI), à l'occasion de la sortie du World Economic Outlook (WEO) d'octobre 2019.
En effet, 60 % des économies étudiées font l'objet d'une révision à la baisse par le FMI. La croissance mondiale passerait donc de 3,3 % (prévision d'avril 2019) à près de 3,0 %, soit son plus bas niveau depuis 2008-2009 ; les économies avancées (1,7 %) et les économies émergentes et en voie de développement (3,9 %) voyant leur prévision de croissance amputée en moyenne de respectivement 0,1 point et 0,5 point. Tableau de bord de la conjoncture. Chômage - Prévisions des taux de chômage ( Europe ) La dette publique des Etats de l'Union européenne - Economie - Toute l'Europe. Après plusieurs années de hausse dans tous les pays européens suite à la crise économique et financière de 2008, on observe désormais une légère baisse de la dette publique.
Au premier trimestre 2019, celle-ci atteignait 80,7 % du PIB européen. Les dernières données publiées par Eurostat font apparaitre deux phénomènes en 2019 : la baisse quasi générale des déficits publics, mais aussi de l’endettement public au sein de l’Union européenne. A la fin du 1er trimestre 2019, la dette des 28 Etats membres se porte à 80,7% du PIB. Celle de la zone euro équivaut quant à elle à 85,9% du PIB. Entre les 1er trimestres 2018 et 2019, l’endettement a ainsi diminué de 0,9 points dans toute l'UE, et de 1,2 points dans la zone euro.
La dette publique, qui représente la dette de l'Etat et des administrations publiques, c'est-à-dire l'ensemble de leurs emprunts en cours, ne doit pas être confondue avec le déficit public qui est le solde annuel entre leurs recettes et leurs dépenses. Indicateurs conjoncturels. Définition - Indicateur structurel. Un indicateur structurel est une statistique permettant de décrire une situation économique ou socio-démographique à moyen ou long terme, construite avec l'objectif de repérer les effets de transformations de structure.
Les indicateurs structurels sont souvent utilisés pour suivre la mise en oeuvre de politiques économiques sur longue période, par exemple sous forme d'objectifs à atteindre. Les indicateurs structurels les plus couramment utilisés sont les variables socio-démographiques (part des différentes tranches d'âge, part des diplômés, ...), la productivité du travail, le taux d'emploi, le coût du travail ou du capital .... Les indicateurs construits pour mesurer le développement durable sont par nature considérés comme des indicateurs structurels. La conjoncture économique Française en 10 graphiques. Les quatre faiblesses éternelles de la France. Attractivité: les forces et les faiblesses de la France. Business France publie ce jeudi le tableau de bord de l'attractivité, un document qui compile les différents classements internationaux sur des sujets aussi variés que l'environnement fiscal, la capacité à attirer des talents, le coût du travail, l'entrepreneuriat, le capital humain… L'occasion de faire le point sur les forces et les faiblesses du pays pour les investisseurs étrangers, alors que l'Hexagone a accueilli, en 2014, 8 % d'investissements créateurs d'emplois de plus que l'année précédente. • Les points forts traditionnels La France possède de traditionnels atouts structurels.
Sa position géographique et la taille de son marché (renforcé par une démographie dynamique) en font depuis toujours une plate-forme idéale pour les entreprises souhaitant investir en Europe. Elles ont ainsi une ouverture aussi bien vers le reste de l'Europe que vers l'Afrique. La qualité de ses infrastructures est, dans ce contexte, un véritable atout. • Les nouvelles encourageantes récentes. Les statistiques de l'economie - Datagora. Activité appréciez la situation economique .pdf. Pourquoi les libéraux parlent-ils si mal du libéralisme ? Parce qu’ils utilisent les mots de ses adversaires ! En ces temps de panique sanitaire, le libéralisme fait figure d’accusé.
C’est lui qui avec la mondialisation, la financiarisation de l’économie et la casse des services publics, serait responsable des morts que nous déplorons. De Mélenchon à Martinez, on n’entend qu’un cri pour vomir les vautours du CAC40 et les hyènes libérales du système capitaliste. On s’empresse d’annoncer la mort du libéralisme dont la catastrophe économique qui succédera à la pandémie sonnera le glas. De ce passé, il sera fait table rase.
Et de ses cendres renaîtra un phénix qui portera le nom d’Etat, un Etat protecteur et bienveillant avec le plus grand nombre alors que le libéralisme ne profiterait qu’à quelques privilégiés. Il n’est interdit à personne de prendre ses désirs pour des réalités. Avec ces libéraux c’est comme si seule « la main invisible du marché » était éternellement suspendue au-dessus de nos têtes. Coronavirus : face à une telle crise, il faut un revenu universel. Tribune.
La mise à l’arrêt de toute une partie de l’activité économique depuis le 17 mars, arrêt nécessaire pour mettre un terme à la propagation du virus, s’est traduite par une suspension nette des revenus pour un nombre très élevé de travailleurs et d’entreprises. Face à cela, le gouvernement a fait tout ce qui est en son pouvoir pour éviter au plus grand nombre de se retrouver sans revenu : près de 5 millions de salariés ont été mis au chômage partiel et de nombreux indépendants et petits entrepreneurs ayant vu leur activité suspendue ont pu solliciter une aide de 1 500 euros pour survivre à la crise. Si le gouvernement a fait ce qu’il pouvait faire, il reste encore des laissés-pour-compte : tous ceux dont les emplois ne sont pas protégés par les mesures de chômage partiel : les intérimaires, les personnes en fin de CDD, certains intermittents ou encore les pigistes. La mondialisation doit s’adapter aux exigences de l’État-providence et non l'inverse. Systèmes bismarckien et beveridgien d'État providence.
Lorsque l’on étudie les systèmes de protection sociale, leur mode de fonctionnement et de financement, on constate qu’ils sont structurés autour de deux archétypes : le modèle bismarckien (fondé sur la conception du chancelier Bismarck) et le modèle beveridgien (reposant sur les idées de l’économiste Beveridge).
Le premier renvoie à des modes de prise en charge privilégiant la logique assurantielle (les prestations sont versées aux individus qui se sont assurés contre tel risque), le second à une logique assistancielle (les prestations sont versées aux individus qui en ont besoin). Le système bismarckien ou assurantiel Les motivations qui sont à l’origine du système bismarckien sont éminemment politiques et résident dans le souci de juguler les mouvements syndicaux et socialistes en améliorant les conditions de vie du prolétariat ouvrier. Ce système se base sur des logiques que l’on retrouve aujourd'hui dans de nombreux systèmes de protection sociale. Le système beveridgien ou assistanciel. Covid-19 : quels sont les enjeux de la relance économique européenne ? - Economie & euro - Toute l'Europe. Le Conseil européen a chargé la Commission européenne d'élaborer un fonds de relance adossé au futur budget pluriannuel revu à la hausse. A la lumière des divisions politiques qui opposent les Etats membres sur le sujet, à quoi ce plan pourrait-il ressembler ?
INFOGRAPHIE - La politique budgétaire de l’Union européenne en chiffres. ► Des pays très endettés, mais un peu moins en déficit La zone euro a bien dû mal à respecter les critères budgétaires qu’elle se fixe. Alors que la dette ne doit normalement pas dépasser les 60 % du PIB, elle représentait 87 % en 2017. Certains pays s’en sortent bien, comme le Luxembourg ou les trois pays baltes nouvellement entrés dans l’euro. "En Europe, l’ampleur de la récession devrait être hors-norme" (Eric Dor, directeur des études de l'IESEG school of management) La TRIBUNE - Quelle est l'ampleur du choc économique dans l'Union européenne ? ERIC DOR - L'ampleur va dépendre de la durée du confinement et de l'intensité de la reprise. On est obligé de raisonner en termes de scénarios. La chute de la production est extrêmement forte. La fermeture d'usines, l'absentéisme des salariés vont provoquer des dégâts considérables.
Hors agroalimentaire, c'est environ la moitié de la production qui est paralysée. "Les déficits publics dans la zone euro risquent d’exploser de 15 à 20% du PIB" - Info éco. Publié le : 30/04/2020 - 13:23Modifié le : 30/04/2020 - 13:23 Particulièrement touchée par la pandémie de coronavirus, la zone euro en paie le prix fort sur le plan économique. Elle devrait connaître en 2020 la pire récession de son histoire. Dans ce contexte, la Banque centrale européenne s’apprête à renforcer ses mesures de soutien à l’économie.
1 PQ Développement des échanges. 2 Avantages du libre échange. Avantages du protectionnisme.