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Responsable de la sécurité des systèmes d'information. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Responsable de la sécurité des systèmes d'information

Responsable de la sécurité des systèmes d'information Le responsable de la sécurité des systèmes d'information (RSSI ; en anglais, Chief information security officer ou CISO) d'une organisation (entreprise, association ou institution) est l'expert qui garantit la sécurité, la disponibilité et l'intégrité du système d'information et des données. Rôles[modifier | modifier le code] Le RSSI est chargé notamment des choix et des actions concernant : Position[modifier | modifier le code] Si le RSSI est souvent rattaché à la Direction des systèmes d'information (DSI), il est parfois rattaché à la direction générale de l'entreprise dans les grands groupes, compte tenu des enjeux et des risques (notamment juridiques) portés par le système d'information. Le RSSI est tenu à une déontologie professionnelle stricte, et au respect du droit. Méthodes[modifier | modifier le code] Retour sur la conférence CIO Cybersécurité du 21 novembre. Le 21 novembre 2017, la conférence « Cybersécurité : nouvelles menaces, nouvelles solutions » a été organisée par CIO à Paris en partenariat avec Bitdefender, Datadome, HP, NTT Security, RSA et Zscaler et avec la participation du CESIN.

Retour sur la conférence CIO Cybersécurité du 21 novembre

Publicité« Les RSSI réagissent-ils aussi vite que les hackers ? » se sont interrogés les participants de la CIOnférence du 21 novembre 2017 consacrée à la cybersécurité. Organisée par CIO le 21 novembre 2017 au Centre d'Affaires Paris Trocadéro en partenariat avec Bitdefender, Datadome, HP, NTT Security, RSA et Zscaler, cette conférence a permis de débattre des nouvelles menaces et des nouvelles solutions.En ouverture, ont été présentés les principaux résultats de l'étude réalisée par CIO Quelle gestion des risques face aux défis de la cybersécurité ? (environ 300 répondants, chiffre variable selon les questions). Celle-ci a pu démontrer que les bonnes pratiques, même basiques, n'étaient pas appliquées.Témoins et experts se sont ensuite succédé.

Publicité. L'e-citoyenneté existe déjà en Estonie. Le 28/05/2019, par Tom Macaulay, Computerworld UK (adaptation Jean Elyan), Sécurité, 763 mots Imprimer Andrus Kaarelson, directeur des systèmes d'information de l'État estonien, explique comment les secteurs public et privé ont collaboré pour créer e-Estonia.

L'e-citoyenneté existe déjà en Estonie

Avec plus de 99 % de services publics disponibles en ligne, l'Estonie est devenue la société numérique la plus avancée du monde. Si les services publics de l'ancienne république soviétique sont alimentés par une vaste infrastructure informatique, Andrus Kaarelson, directeur des systèmes d'information de l'État, a expliqué que le rapide développement numérique de son pays n'est pas dû uniquement à sa technologie. « La technologie n'est qu'un catalyseur », a déclaré M.

Kaarelson lors de la conférence Digital Government 2019 organisée le 22 mai dernier à Londres. « Il faut une volonté politique pour que le changement se produise ». Démocratie numérique Un écosystème de start-ups Une carte électronique pour les résidents étrangers. La Californie interdit la reconnaissance faciale dans les caméras corporelles des policiers. La Californie continue de montrer l'exemple dans le domaine de la régulation technologique.

La Californie interdit la reconnaissance faciale dans les caméras corporelles des policiers

Après l'adoption de son RGPD en juin 2018, cet Etat a adopté la loi "AB 1215" pour abolir totalement l'utilisation des logiciels de reconnaissance faciale dans les caméras corporelles des forces de l'ordre directement intégrées dans leur uniforme. Le texte avait été voté par l'Assemblée californienne en mai 2019 et le vote du Sénat était attendu pour finaliser la procédure législative. Le "Body Camera Accountability Act" entrera donc en vigueur à partir du 1er janvier 2019 pour une durée de trois ans. "Une victoire pour les libertés civiles" Cette loi a été portée par Phil Ting, un élu de la ville de San Francisco, qui estimait que "l'utilisation de cette technologie transforme les caméras embarquées en outil de surveillance 24 heures sur 24".

La Cnil s'oppose fermement aux dispositifs de reconnaissance faciale dans les lycées. La Cnil a tranché dans une délibération publiée le 29 octobre 2019.

La Cnil s'oppose fermement aux dispositifs de reconnaissance faciale dans les lycées

Amazon s’apprête à tester le paiement biométrique par reconnaissance de la main chez Whole Foods. Amazon poursuit ses recherches (et ses investissements) dans les technologies destinées à supprimer la friction du paiement.

Amazon s’apprête à tester le paiement biométrique par reconnaissance de la main chez Whole Foods

Le New York Post a révélé le 3 septembre 2019 que l'e-marchand testerait actuellement le paiement biométrique par reconnaissance de la main. Ce dispositif, baptisé Orville, aurait selon le site américain vocation à être déployé dans les magasins Whole Foods dès le début de l’année prochaine. L’enseigne spécialisée dans les produits bio, rachetée par le géant de l’e-commerce en 2017, constituerait un excellent terrain de jeu pour un déploiement à grande échelle avec ses plus de 450 points de vente aux Etats-Unis. Pour le moment, ce système de paiement biométrique est expérimenté auprès de certains employés Amazon pour des produits vendus dans des distributeurs automatiques.

Les collaborateurs de New York peuvent ainsi procéder à des petits achats (snacks, boissons mais aussi chargeurs de smartphones). une durée de paiement réduite à 0,3 secondes. Pour Microsoft, la reconnaissance faciale manque cruellement d'encadrement. "Aujourd'hui, les technologies de reconnaissance faciale imprègnent tous les aspects de la vie.

Pour Microsoft, la reconnaissance faciale manque cruellement d'encadrement

On les utilise dans les applications bancaires, pour rentrer dans un bâtiment de travail, pour authentifier un chauffeur Uber…", résume John Frank, vice-président de Microsoft en charge des affaires gouvernementales pour l'Union Européenne, rencontré par L'Usine Digitale le 20 septembre 2019. Pourtant cette entreprise met elle-même au point des outils de reconnaissance faciale.