7 raisons pour lesquelles tant d’hommes ne comprennent pas le consentement sexuel – Vous n'êtes pas ici. Je vous propose aujourd’hui la traduction d’un article écrit par David Wong le 3 novembre 2016 sur Cracked.com. L’article original est ici. Il détaille des mécanismes qui incitent les hommes à ne pas prendre en compte le consentement des femmes en matière de sexualité (ce qu’on appelle la culture du viol). Je le trouve clair et bien illustré par des exemples de culture populaire très connus.
Comme toujours, n’hésitez pas à commenter si vous avez des remarques à faire sur le fond ou la forme (la traduction, la grammaire et l’orthographe…). Eh bien, il y a une chose que vous devez savoir : depuis ma naissance, on m’apprend que c’est exactement ce comportement que les femmes désirent. Nous continuons à enseigner cela aux garçons, tous les jours. 7 — « Imposer son désir aux femmes les fait tomber amoureuses » Donc nous sommes bien d’accord que les héros de culture pop influencent les jeunes, n’est-ce pas ? Très bien, voici la première leçon que j’ai reçue sur le consentement sexuel. Sexy. Le consentement masculin. La question du consentement des hommes au sexe se pose assez peu puisqu'il est admis par tous et toutes qu'un homme est toujours partant pour du sexe.
Et si par hasard, il ne l'était pas, il aurait un sacré problème. Si l'on comprend à peu près - sans vraiment le respecter d'ailleurs - qu'il faut avoir le consentement d'une femme dans un acte sexuel, la question ne se pose pas pour un homme. Aucune fille ou femme n'aura jamais entendu "mais assure toi qu'il veut bien et ne va pas insister" parce qu'il est bien clair qu'il veut toujours.
La question de la sexualité masculine est souvent naturalisée, ramenée à une basse histoire d'hormones : l'homme est tout entier mu par la testostérone qui le pousserait à avoir des besoins vitaux en matière de sexe. Un homme qui ne serait pas très intéressé par le sexe, ou aurait une baisse, passagère ou non, d'envie sexuelle, serait perçu avec méfiance. Dire non – notes et observations sur un petit problème de communication. Crédit Photo Erik Johansson L’importance du contexte Il y a peu d’unités de communication plus simples que les mots oui et non.
Aussi limpides dans leur signification que le jour et la nuit, oui et non sont à la base des échanges interindividuels, comme le 0 et le 1 sont à la base du langage informatique. Seulement voilà, les hommes ne sont pas des ordinateurs et ils ont le talent de rendre complexes les choses les plus simples. Se prononcer par oui ou non sur une question suppose d’avoir évacué toutes les nuances du oui mais, du non, mais peut-être, du je ne sais pas trop, du j’ai compris ta question mais je n’en dirai pas plus, du oui pour ne pas dire non, du non par appréhension de dire oui, et même du silence poli ou embarrassé. De façon très générale, les questions appelant une réponse par oui ou par non renvoient soit à la réalité extérieure (du type : Est-ce qu’il fait beau dehors ?) La différence essentielle entre Occident et Asie Tu es d’accord avec moi ? Intercourse: Occupation/Collaboration (1 of 2) Chapter 7 by Andrea Dworkin Copyright © 1987 by Andrea Dworkin.
All rights reserved. Oh, God, who does not exist, you hate women, otherwise you'd have made them different. And Jesus, who snubbed your mother, you hate them more. This is nihilism; or this is truth. A human being has a body that is inviolate; and when it is violated, it is abused. There is a deep recognition in culture and in experience that intercourse is both the normal use of a woman, her human potentiality affirmed by it, and a violative abuse, her privacy irredeemably compromised, her selfhood changed in a way that is irrevocable, unrecoverable. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Nicole-Claude Mathieu : L’anatomie politique. Catégorisations et idéologies du sexe - 057681ar.pdf. Le date rape aux États-Unis. [Chiennes de garde] Andrea Dworkin ne croit pas que tout rapport sexuel hétéro est un viol.