Fouilles archéologiques dans le Gard : le propriétaire romain du mas des Tourelles enfin identifié. Ça fait presque 40 ans que des fouilles reconstituent l'histoire romaine du mas des Tourelles, près de Beaucaire.
Le chantier 2020 commence bien : les archéologues découvrent une amphore gravée au nom du propriétaire, jusque là inconnu et espèrent trouver un chai vieux de 2000 ans. Des initiales sur la poignée d'une amphore vieille de plus de 2000 ans. Ce serait le nom du propriétaire du mas des Tourelles, près de Beaucaire, à l'époque romaine. Titus Marsalis, d'après les archéologues qui viennent de commencer la saison de fouilles 2020, viendrait d'une famille nîmoise.
C'est un nom bien connu de l'épigraphie nîmoise. Un mas viticole témoin de l'histoire romaine Il y a 2000 ans, le mas des Tourelles avait une situation idéale : dans la plaine entre la Via Domitia qui permettait le commerce et Beaucaire, ce très ancien domaine viticole a déjà connu plusieurs campagnes de fouilles, qui ont mis au jour notamment un atelier de fabrication d'amphores.
Marseille et ses territoires durant l’Antiquité. Tesson de céramique grecque découvert à Marseille T.
Maziers © Inrap Marseille est une entité à part sur notre territoire national : notre plus ancienne cité, érigée à la fin du VIIe siècle avant notre ère. Tout le monde connaît son mythe fondateur, celui d’un grec et d’une celte qui, dans l’union, donneront naissance à un nouveau territoire. Argelès-sur-Mer : l'histoire des Grecs et Romains sur les rivages des Albères. Il y a 2 000 ans, l'activité commerciale et maritime était forte sur le littoral.
De nombreux vestiges l'attestent. Une conférence de G. Castellvi va évoquer cette periode. La maison du patrimoine, la Casa de l'Albera, propose jusqu'en fin d'année une exposition qui passionnera les amateurs d'histoire antique. On peut en effet découvrir près de 200 pièces archéologiques issues des fouilles réalisées à Port-Vendres, dans le port même et ses environs. Sur les traces des Gaulois et Romains en Bourgogne : Alésia, Autun, Bibracte, Vix – Gaulois, Romains. Musée gallo-romain de Fourvière - Site Officiel de la Ville de Lyon. Le musée gallo-romain de Lyon-Fourvière et le site archéologique occupent les pentes de la colline de Fourvière, jadis situé au centre de la ville romaine de Lugdunum, fondée en 43 avant Jésus-Christ.
Le musée conçu par Bernard H. Lattes en Languedoc, les Gaulois du sud. Villa, villae en Gaule romaine. Villa-Loupian en Languedoc. Le théâtre antique d'Arles. Archéologie de la ville de Marseille, carte des sites de fouilles. Le Theatre Gallo-Romain de Fourvière. Musées gallo-romains. Musées gallo-romains. Lyon Fourvière antique - philo-lettres. Quartier antique et Fourvière - Site Officiel de la Ville de Lyon.
Départ : Panorama (1) sur le site historique.
Au premier plan, les toits du Vieux-Lyon, puis les pentes de la Croix-Rousse et la Presqu'île... Inaugurée en 1896, la Basilique(2), est l'œuvre de Bossan. Visite virtuelle : Saint-Romain-en-Gal. Musées gallo-romains. ▶ VIDÉO. Un habitat de l'époque de César dévoilé à Fréjus. Villa, villae en Gaule romaine. Villa-Loupian en Languedoc. Narbonne : ce site archéologique sera bientôt détruit. C’est une révélation fracassante pour Narbonne : une partie de la Coupe, au lieu-dit Saint-Hippolyte, était habitée à l’époque gallo-romaine et carolingienne.
Le chantier de fouille doit s'arrêter vendredi avant de laisser place aux pelles mécaniques. C’est exceptionnel, et pourtant, à Narbonne, l’extraordinaire se banalise, tant les découvertes sont nombreuses. Mais au-delà de l’aspect superbe de ce site, l’intérêt scientifique est majeur, car il renseigne sur un fait nouveau : le lien entre Narbonne et sa campagne. On sait, aujourd’hui, que Saint-Hippolyte, à la Coupe, a vécu de riches heures. Deux périodes se sont mises à parler sous les mains expertes des archéologues d’Eveha : une partie gallo-romaine, et une partie médiévale. Au nord, une bâtisse en ruine et un puits, toujours visibles montrent que Saint-Hippolyte était habité au siècle dernier. Deux bassins (dans un état exceptionnel), étaient destinés à la conservation des eaux. Villa, villae en Gaule romaine. Villa-Loupian en Languedoc.
Arles : des vestiges rares mis au jour. L'histoire C'est une découverte rare qu'ont faite les archéologues dans le quartier de Trinquetaille, à Arles.
Des enduits peints du 1er siècle avant JC pourraient, une fois reconstitués, représenter l'un des plus beaux ensembles de fresques de cette époque en France. Par Ghislaine Milliet Publié le 05/05/2014 | 18:21, mis à jour le 05/05/2014 | 18:30 Des fragments de mortiers, des couleurs vives d'enduits... Les dernières fouilles archéologiques dans le quartier de Trinquetaille à Arles ne cessent de révéler des trésors. Voir la vidéo Des enduits peints d'exception. Narbonne, reliée à la Méditerranée par une voie romaine marine. LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Viviane Thivent En trois foulées rapides, une touriste quitte l'Antiquité et les pierres patinées de l'ancienne voie romaine pour rejoindre quelques marches plus haut le présent, l'extravagante mairie de Narbonne - et son compagnon.
"On a vu tous les monuments romains ? ", demande-t-elle. L'homme jette un coup d'oeil au plan de la petite ville, située entre Perpignan et Montpellier. "Les caves antiques, et maintenant la Via Domitia... Archéologie à Arles : ce mystérieux coffre plein de secrets. L’objet a été minutieusement fermé.
L’enquête des chercheurs passe par le service de radiographie de l’IUT de Nîmes. Trente centimètres de large, quarante de long, vingt de haut pour 40 kilos : c’est un coffre antique remonté discrètement des eaux du Rhône, à Arles, en octobre dernier. Il reposait par dix mètres de fond, au milieu de fragments funéraires. Mais que contient ce mystérieux coffre ? Il a été repéré à l’occasion d’une campagne de fouilles du département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (Drassm). Le coffre antique du Rhône va-t-il révéler ses secrets ?
À Arles, les archéologues exhument les vestiges d'une cité gallo-romaine. Arles, fin 2011.
Après deux millénaires d’oubli, une barge gallo-romaine a émergé des eaux du Rhône. Exhumés avec elle, plus de 4 000 objets, souvent intacts et parfois inédits, esquissent le quotidien de la cité. Le chaland avait chargé sa cargaison de pierres 15 km plus au nord, puis rallié la cité romaine d’Arelate, l’actuelle Arles. On ignore encore précisément comment ce bateau fluvial long de 31 m a coulé, dans la seconde moitié du Ier siècle de notre ère. Sur le Rhône, la vie a repris son cours : quelques mois après avoir sombré, l’embarcation était sans doute déjà oubliée. Au fil des années, des centaines d’autres ont continué à s’amarrer au quai pour y apporter des marchandises. D’autres fois, c’est sciemment qu’on déversait des déchets dans le fleuve. Au printemps 2011, une équipe d’archéologues et de scaphandriers professionnels entreprend la fouille du site.
Mais la récolte ne s’arrête pas là. L'épopée d'une épave antique, du Ier siècle après Jésus-Christ à nos jours. Ils sont six. Six hommes vêtus d’une combinaison blanche, les mains gantées, le visage dissimulé sous un masque à gaz. D’une voix étouffée, l’un d’eux annonce : « On va le sortir verticalement et le coucher sur la tranche. Prêts ? Documents pédagogiques.