Affaire Ghosn : Rachida Dati se désiste de ses procédures en diffamation. « L’alliance Renault-Nissan est tout sauf morte ! », insistent les deux constructeurs. « Avec les sujets que nous avons sur la table, ça va bien.
Cette alliance est bien solide et bien robuste. Elle est tout sauf morte ! » Le président de Renault et du conseil de l’alliance avec les constructeurs japonais Nissan et Mitsubishi Motors, Jean-Dominique Senard, s’est voulu rassurant dans un entretien au quotidien belge Le Soir, de mardi 14 janvier. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Renault-Nissan : « Donner un second souffle à un mariage, qui fut autrefois de raison » Le directeur général de Nissan démissionnera le 16 septembre. Le président du Conseil d'administration du constructeur automobile japonais l'a annoncé lundi.
Hiroto Saikawa a reconnu avoir perçu une prime indue il y a plusieurs années. Rattrapé par un scandale de prime indûment perçue, le directeur général exécutif de Nissan, Hiroto Saikawa, va démissionner le 16 septembre. En plein marasme, Nissan annonce la suppression de 12 500 emplois. Rencontre avec Carlos Ghosn - Arts et Métiers. Eclairages : l'affaire Carlos Ghosn. EXCLUSIF. Affaire Ghosn : des e-mails qui en disent longs. Dans l'entourage de Carlos Ghosn, on continue de crier au complot.
L'ex-président de Renault et Nissan aurait été éliminé parce qu'il voulait effectuer une fusion entre les deux entreprises, en complet désaccord avec la partie japonaise. De nouveaux éléments en possession du JDD permettent d'affirmer que le projet a bien été discuté dans de nombreuses réunions formelles et informelles au printemps 2018.
Ils révèlent notamment que les représentants des deux pays, l'agence pour les participations de l'État (APE), côté français, et le Meti (ministère de l'Économie, du Commerce et de l'Industrie), côté japonais, ont été directement impliqués. Il en ressort que Hiroshige Sekou, le ministre de l'Économie, un pilier du gouvernement Abe, réputé plus nationaliste que son Premier ministre, a suivi personnellement le dossier. Chez Renault-Nissan, les têtes commencent à tomber. Thierry Bolloré, nouveau directeur général de Renault, a annoncé le renouvellement du comité exécutif, que trois directeurs vont quitter.
Il y a du mouvement dans les hautes sphères chez Renault. Comme l’expliquent Les Echos, Thierry Bolloré a dévoilé la nouvelle composition du comité exécutif du constructeur automobile. Le directeur général, nommé le 24 janvier dernier, a décidé de s’entourer d’un comité élargi : de sept membres, il passera à douze. Trois directeurs exécutifs ont néanmoins perdu leur poste. Bruno Ancelin, jusqu’alors directeur des produits et programmes, va être remplacé par Ali Kassai suite à son départ à la retraite. Sept nouveaux membres Enfin Mouna Sepehri va quitter son rôle de directrice déléguée à la présidence et de secrétaire du conseil d’administration pour devenir "conseillère spéciale" de Thierry Bolloré.
Jean-Dominique Senard prend la tête de l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi. Affaire Ghosn. Comment Carlos Ghosn avait construit son empire. Au-delà de sa mégalomanie, de son besoin de reconnaissance et de sa capacité hors du commun à transformer les entreprises, Carlos Ghosn est doté d'une personnalité qui reste énigmatique.
On lui connaît peu de passions, à une exception : l'Empire romain. Il dévorait les ouvrages sur son histoire et son livre de chevet a longtemps été S.P.Q.R. – Histoire de l'ancienne Rome, la somme de Mary Beard (Perrin). Il expliquait que les leçons à tirer de la grandeur du monde romain étaient toujours pertinentes au XXIe siècle, notamment pour construire un empire industriel. Rachida Dati aurait touché 600 000 euros de Renault-Nissan. L'audit indépendant mené conjointement depuis quelques jours par Renault et Nissan sur le fonctionnement et l'utilisation des fonds de sa filiale RNBV, censée chapeauter l'Alliance et basée aux Pays-Bas, pourrait réserver bien des surprises.
Ainsi, l'eurodéputée Rachida Dati a été rémunérée par cette "boîte noire" entre novembre 2009, soit quatre mois après son départ du gouvernement de François Fillon, premier ministre de Nicolas Sarkozy, et février 2013, d'après les informations révélées par Bloomberg. Un travail non pas de consultante mais d'avocate, a précisé Olivier Pardo, l'avocat de l'ancienne ministre.
Tenue au secret professionnel de l'avocat, cette dernière n'est pas obligée de rendre public le nom de ses clients. En tant qu'avocate, Dati n'a pas à justifier la matérialité de ses conseils prodigués à ses clients. Selon les informations recueillies par L'Express, Dati aurait perçu la somme de 600 000 euros, payés en quatre fois. Des frais de consultants et d'avocats énormes. Renault-Nissan: la nébuleuse des filiales aux Pays-Bas. C'est là, à Amsterdam, aux Pays-Bas, en ces terres nordiques froides et discrètes, que l'affaire qui a provoqué la chute du patron emblématique Carlos Ghosn a pris racine.
Là, dans des bâtiments sans âme entourés d'eau, dans une zone industrielle ou au bord d'une autoroute. Le puissant patron à la tête du premier constructeur mondial d'automobiles s'est pris de passion pour les Pays-Bas pour deux raisons bien précises : sa douceur fiscale et la discrétion sur laquelle peuvent compter les sociétés locales. Nissan propose la nomination du président de Renault comme administrateur. Carlos Ghosn a démissionné de la présidence de Renault.
Renault : l’Etat français lâche Carlos Ghosn et cherche son successeur. Carlos Ghosn et Renault : la fin est proche. Mardi, une nouvelle demande de libération sous caution de Carlos Ghosn a été rejetée par la justice japonaise.
Pour rappel, Ghosn est soupçonné d'avoir minoré ses revenus et d'abus de confiance. Sauf revirement de situation, celui qui est encore officiellement patron du Losange devrait rester en prison au moins jusqu'au 10 mars. Et la détention pourrait être prolongée jusqu'à la tenue d'un procès, ce qui n'est pas prévu avant plusieurs mois. Visiblement, ce dernier rebondissement dans un feuilleton commencé le 19 novembre 2018 a fait changer d'attitude l'État français, principal actionnaire de la marque. Untitled. Nissan sanctionné en Corée du Sud pour des voitures diesels plus polluantes qu’annoncé. Le constructeur japonais Nissan est rattrapé à son tour par le « scandale Volkswagen ».
Le gouvernement sud-coréen a annoncé, lundi 16 mai, qu’il allait infliger au constructeur une amende de 330 millions de wons (247 000 euros). Séoul l’accuse d’avoir manipulé les données d’émissions polluantes des moteurs diesels d’un de ses modèles phares de SUV (Sport Utility Vehicle), le Qashqai. Carlos Ghosn lâche le volant opérationnel de Nissan. L’industriel, qui conservera la présidence du conseil de surveillance du constructeur japonais, va se concentrer sur Renault et Mitsubishi LE MONDE ECONOMIE | | Par Philippe Mesmer (Tokyo, correspondance) La succession de Carlos Ghosn est en marche.
Après seize ans à la tête du constructeur automobile japonais, qu’il a contribué à redresser et à développer, le dirigeant franco-libano-brésilien quittera la direction exécutive de Nissan à compter du 1er avril, tout en conservant le poste de président du conseil d’administration pour « continuer de superviser et guider l’entreprise ». Hiroto Saikawa, co-PDG depuis avril 2016, va lui succéder.« Je suis persuadé que l’équipe formée ces dix-huit dernières années a le talent et l’expérience pour réaliser les objectifs opérationnels et stratégiques de la compagnie », estime Carlos Ghosn dans un communiqué de Nissan publié le 23 février.
Selon Nissan, M. . « Cost killer » Nissan : Carlos Ghosn révoqué par le conseil d’administration. Renault-Nissan: qui sont les trois fossoyeurs ou sauveurs de l'Alliance. Affaire Ghosn: Nissan veut-il racheter Renault ? Nissan met la main sur son rival Mitsubishi. Carlos Ghosn régnait déjà sur Renault en France et sur Nissan au Japon. Le PDG s’apprête à étendre encore son empire, en prenant le contrôle partiel d’un autre des vingt premiers constructeurs automobiles mondiaux, le japonais Mitsubishi Motors. Les bases d’un accord en ce sens ont été posées jeudi 12 mai. « Une alliance stratégique de grande portée », a affirmé M. Nissan va donner du travail à 1.000 personnes à Flins. La production de la Nissan Micra dans l'usine Renault de Flins donnera du travail à un millier de personnes environ et permettre des embauches sur le site, a déclaré mardi le PDG du groupe automobile français Carlos Ghosn. Le partenaire japonais de Renault a choisi le mois dernier l'usine des Yvelines pour assembler en 2016 une partie de la nouvelle génération de sa petite voiture, actuellement produite intégralement en Inde.
"82.000 voitures en plus sur l'usine, cette charge de travail représente à peu près mille emplois", a déclaré Carlos Ghosn aux journalistes à l'occasion d'une visite du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg à Flins. "Dans le cadre d'un déroulement normal (...) il est très probable qu'il y aura des embauches. Combien ? Nissan relance la marque Datsun.