Translation of Proper Names. As translators we'll face the translation of proper names.
Some of them are can be easly translated, like countries' names, such as England [Inglaterra], Spain [España], etc. But when facing the translation of a person's name, it not might be that easy to do so. Names change according to culture, conveying different meanings. When translating names on literature, a translator can consider whether to translate the name keeping the conveyed meaning, or keeping the original name but explaining what it means on the Source Language. Concerning translation of proper names, Newmark (1988) said that they are translated in order to preserve nationality when they are not related to the text.
Lincoln Fernandes (2006) proposed the following set of procedures to follow when translating proper names: So when translating proper names, try to consider what the Source text wants to convey and choose what you think would be the best option. References: Traduire les noms propres. *Comment traduire les noms propres ?
Je ne vais pas pouvoir parler ici d’une théorie bien établie sur la traduction des noms propres, je vais juste évoquer divers questionnements autour du nom propre *Les noms propres, c’est en général ce qui demeure dans le texte traduit comme le seul témoin du lieu de départ, l’ombre partielle du texte original qui le hante. Ils peuvent se déplacer tels quels au cours de sa transplantation d’une langue à l’autre. *Je dis ça comme cela. Mais c’est une règle générale. *Bien évidemment, la proportion de ces mots qu’on fait voyager diffère en fonction des textes et selon la décision des traducteurs.
*L’absence de nom propre dans un texte fait du poème un véhicule de circulation plus aisée à travers les langues. *Il est possible aussi, dans diverses opérations poétiques, de modifier la valeur des noms propres. *On peut penser aussi à la chaîne de cafés extrêmement répandus aux Etats-Unis, « Starbucks ». Traduire le monde : Traduire les noms propres? - Racicot, André - Recherche par auteur - Chroniques de langue - TERMIUM Plus® - Bureau de la traduction. Connaissez-vous Albert Lapierre?
Georges Dubuisson? Pourtant, vous devriez. Le premier est un Prix Nobel de physique tandis que le second porte le même prénom que son père, dont il occupe actuellement les fonctions… Pas clair? Mais non! Il s’agit d’Albert Einstein et de George Bush! Cet exemple nous montre à quel point l’idée de traduire les noms étrangers apparaît aujourd’hui saugrenue. Et il n’était pas le seul, loin de là. Il est fort probable que les tribulations de tous ces personnages, dont certains offraient leurs services à des souverains étrangers – quand ils n’envahissaient pas leur pays – les amenaient à voyager d’une contrée à une autre. Ainsi en fut-il pendant de longs siècles, jusqu’à l’époque contemporaine où l’on cherche davantage à s’accommoder de la physionomie parfois rébarbative des noms étrangers; on tente de les prononcer sans trop les écorcher et de les écrire sans coquille. D’ailleurs, on observe aussi un certain purisme du côté des toponymes.
La traduction du nom propre. La traduction du nom propre Camélia SOBHY Quelle que soit la traduction effectuée et la langue d’origine, le problème de la traduction du nom propre se pose sans relâche.
Souvent, la remise d'une traduction traîne à cause de quelques noms propres qui restent à être traduits. Le problème se pose chaque fois différemment, attirant notre attention d'abord sur la diversité des catégories que nous pouvons classer sous cette nomination, ensuite sur la diversité des exigences que nécessite leur traduction. Dans les lignes qui vont suivre, nous exposerons les divers aspects de ce problème à partir de l'étude de quatre dimensions: I- sémantique, II- sociolinguistique, III- graphique et phonétique. 1 – Le sémantisme du nom propre et les problèmes de sa traduction: Un nom propre sert à désigner une entité qui le gardera "dans tous les mondes possibles", d'où la rigidité de ce nom propre qui sert à désigner cette entité en particulier et non pas une autre.
Dans les exemples: كرهت العمر إلا ليلة ( ليلى) De la traduction des prénoms. En bon français Par Martin Francoeur – Semaine du 27 mai au 2 juin 2008 Dans ma plus récente chronique, j’abordais la question des mots d’origine hongroise et tchèque.
Le prétexte pour un tel sujet ? Un voyage merveilleux que je venais de faire et qui m’avait inspiré un sujet pour notre rendez-vous dans ces pages. Évidemment, quand on pense à des mots provenant d’une langue étrangère, on fait tout de suite référence à des noms communs ou à des mots du vocabulaire courant. Tout a commencé à Prague. Pourtant, en tchèque, on ne trouve aucune trace du nom «Wenceslas» ou «Venceslas» sur les cartes touristiques ou les panneaux d’indications. Saint Wenceslas, en tchèque, c’est saint Vaclav. Les prénoms tels que nous les connaissons en français ne sont pas toujours semblables dans d’autres langues. Ce que l’on sait moins, c’est que «Guy» devient «Vito» en italien. En Hongrie, la basilique Saint-Étienne s’appelle «szent Istvan», dont la prononciation se rapproche de celle de «Stéphane».