Atelier 3. Du samedi 16 au jeudi 21 mars 2013 La synthèse en vidéo Présentation projetée dans le cadre du projet urbain jeudi 21 mars Un lieu dédié: portes ouvertes Dimanche 17 mars de 14h00 à 18h00Lundi 18 mars de 16h00 à 20h00Mardi 19 mars de 16h00 à 20h00Mercredi 20 mars de 17h00 à 20h00Café projet urbain : Jeudi 21 mars de 18h00- 20h00 Maison de la démocratie 16 rue de la République Montpellier En savoir plus sur le lieu et s'y rendre Promenade urbaine.
La prise en compte de l'agriculture dans les nouveaux projets de territoires urbains. Exemple d'une recherche en partenariat avec la Communauté d'Agglomération de Montpellier. Les niveaux locaux de gouvernance territoriale ont été renforcés via des compétences et des moyens accrus pour les collectivités locales suite aux récentes modifications du cadre légal sur l’intercommunalité (loi Chevènement de 1999), la solidarité et le renouvellement urbain (lois SRU, 2000 ; UH, 2002), ainsi que la poursuite de la décentralisation (loi sur les responsabilités locales, 2004).
Les processus de concertation doivent être généralisés dans l’élaboration des politiques publiques. La promotion du développement durable (notamment LOADDT, 1999) pointe le respect des équilibres entre développement urbain et rural, et vise la préservation des espaces naturels et agricoles ainsi que l’économie des ressources. John Libbey Eurotext : Éditions médicales et scientifiques France : revues, médicales, scientifiques, médecine, santé, livres. Agr.2013.0671 Auteur(s) : Coline Perrin1coline.perrin@supagro.inra.fr, Françoise Jarrige2 jarrige@supagro.inra.fr, Christophe-Toussaint Soulard1 soulard@supagro.inra.fr 1 Inra UMR 0951 Innovation 2, place Pierre Viala 34060 Montpellier cedex France 2 Montpellier Supagro UMR 0951 Innovation 2, place Pierre Viala 34060 Montpellier cedex France Tirés à part : C.
Perrin Ville du Bassin méditerranéen, Montpellier fut longtemps une ville viticole. Les jardins collectifs, entre nature et agriculture. Dossier : Nature(s) en ville Des premiers jardins ouvriers nés en France au XIXe siècle aux jardins familiaux et partagés d’aujourd’hui, les jardins collectifs, nommés ainsi par opposition aux jardins privés individuels, n’ont cessé d’évoluer, mobilisant autour d’eux un ensemble d’acteurs : État, entreprises publiques ou privées, associations...
On les divisera ici en deux grandes catégories, les jardins familiaux et les jardins partagés. Apparus en Allemagne, les jardins familiaux se développent véritablement en France à partir de 1896 sous l’impulsion de l’association « La ligue du coin de terre et du foyer » fondée par l’abbé Lemire, prêtre démocrate chrétien d’origine paysanne et homme politique influent (Dubost 1997). Dénommés également jardins ouvriers, leur objectif est de lutter contre l’alcoolisme et de donner aux ouvriers venus des campagnes une parcelle de terre à cultiver.
Faire son jardin revêt alors une dimension autant sociale qu’alimentaire. Figure 1. Figure 2. . © P. Nature(s) en ville. La nature, élément du bien-être des citadins La nature « sauvage », qui peut se définir comme l’ensemble des éléments (végétaux et animaux) qui n’ont pas été transformés par l’Homme et qui sont préexistants à lui, a été un espace hostile qu’il s’agissait de dompter.
Elle n’est jamais « parue si belle que lorsque la machine a fait son intrusion dans le paysage » (Baridon 1998). La nature symbolise alors dans l’imaginaire des hommes la liberté et la beauté. Elle s’oppose, à ce moment de l’histoire humaine, non seulement à l’industrialisation et à l’urbanisation (Stallybrass et White 1986) mais à la ville elle-même qui apparaît plus que jamais comme l’empreinte de la puissance de l’Homme et de son pouvoir de transformation de son milieu.
Un parc au cœur de Manhattan (New York, novembre 2007) Le projet de rénovation urbaine de Montpellier. Un projet qui s’inscrit dans la durée pour le mieux vivre ensemble de tous les Montpelliérains.
Depuis de nombreuses années, la Ville est présente dans tous les quartiers par un investissement important sur les équipements scolaires, les équipements de proximité, les équipements culturels et les équipements sportifs. Cela permet de créer un maillage complet d’équipements et de services publics support de la qualité de vie dans tous les quartiers. Le développement d’un réseau de transports en communs en sites propres et de pistes cyclables facilite et conforte les déplacements notamment les trajets domicile travail. Sur les quartiers qui cumulent les difficultés : habitat dégradé, taux de chômage important, échec scolaire, ….. c’est un investissement particulièrement volontariste qui a été engagé il y a plus de trente ans.