Qui s'est aventuré sur ce volcan il y a 385 000 ans ? Des empreintes retrouvées en Italie suggèrent que d’anciens hominidés se sont souvent aventurés sur les pentes abruptes d’un volcan en activité, au lendemain d’une éruption majeure il y a 385 000 ans.
Au 18e siècle, plusieurs empreintes de pas ont été retrouvées sur l’une des pistes menant au sommet du volcan Roccamonfina, dans le sud de l’Italie. Elles ont été laissées alors que ce dernier venait d’entrer en éruption (lave encore fraîche, sinon elles n’auraient pas été conservées). Mais qui en était à l’origine ? Pour les locaux, seul le diable était capable de venir s’aventurer sur ces terres encore brûlantes. Cette idée du “démon quittant les enfers par le volcan pour atteindre l’humanité” est restée pendant plus de deux siècles et demi dans les esprits. 81 empreintes laissées par 5 individus En analysant le sol, ces deux chercheurs sont finalement tombés sur 56 empreintes laissées par deux individus il y a environ 385 000 ans.
Homo heidelbergensis ? Source Articles liés : L'humanité issue d'un goulot d'étranglement génétique. L'homme moderne, Homo sapiens, a deux proches cousins disparus : l’homme de Neandertal et celui de Denisova.
Selon Xiaoxia Wang, de l’Université de Californie à San Diego, et des collègues, l’inactivation de deux gènes chez ces trois cousins témoigne vraisemblablement d'un « goulot d’étranglement génétique » dû aux maladies infectieuses, par lequel serait passée l'humanité il y a plus de 200 000 ans, avant la divergence entre l'homme anatomiquement moderne, l'homme de Neandertal et l'homme de Denisova. Les réductions brutales de diversité génétique au sein de l'espèce humaine se succèdent dans l’histoire. Le choc viral et bactérien dû à l’arrivée des Européens en Amérique aurait entraîné la disparition de la moitié des quelque 50 millions d’Amérindiens précolombiens ; la peste noire de 1347 aurait pour sa part décimé 30 à 50 pour cent de la population européenne en cinq ans, etc.
Les épisodes de ce genre sont nombreux. La sélection naturelle est-elle encore active de nos jours ? L’Homme continue d’évoluer sous l’effet du hasard des mutations, de la reproduction et de son environnement.
La sélection naturelle est toujours active, mais c’est maintenant l’Homme lui-même, en modifiant son environnement de vie, qui créé de nouvelles pressions de sélection. Essai sur la notion d'intelligence artificielle. Intelligence artificielle et pensée humaine,Marie Mayans-Lycée beaussier-La seyne Sur Mer,exemple d'IA faible : la voiture autonome,Time line,Marie Mayans-Lycée beaussier-La seyne Sur Mer,les origines,Dans le cas de l’IA "forte", le cerveau d’une machine serait le même que celui d’un humain.
Cela n’existe pas. On ne peut imiter le cerveau humain sans tout savoir de lui. Pour le moment on ne comprend pas encore très bien comment il fonctionne donc impossible de l’imiter. ,VS,L'IA« faible » peut identifier un vélo devant une voiture, comprendre une question posée à un téléphone, reconnaître un visage sur une photo et peut même devenir une championne d’échecs. ,+info,+info,l'intelligence artificielle,vers la terminale ES,Marie Mayans-Lycée beaussier-La seyne Sur Mer,l'intellicence artificielle c'est quoi ?
Ateliers : l'Homme augmenté. Atelier « Surmonter les handicaps neuro-moteurs en développant des méthodes novatrices » par Vance BERGERON, chercheur CNRS au laboratoire de physique, ENS de Lyon Comment faire travailler ses muscles lorsqu’on est tétraplégique ?
Comment rester en bonne santé et réduire les lésions secondaires (circulation sanguine, densité des os…) dues au mode de vie sédentaire ? Vance Bergeron présentera les travaux en cours dans le domaine de l’électrostimulation musculaire et le développement de solutions et de matériels pour donner aux personnes handicapés moteur une indépendance maximale. Vance Bergeron a notamment lancé l’association ANTS (Advanced Neurorehabilitation Thérapies), on peut le retrouver dans le documentaire « Toujours debout ». Atelier « Spécificité de la méthodologie de la recherche sur le dopage » par Vincent PIALOUX, enseignant-chercheur au laboratoire interuniversitaire de biologie de la motricité, Université Lyon 1. Zoufris Maracas - Dis Papa. Le mythe de l’humain augmenté.
Ce troisième TopTen de l'été nous emmène du côté des groupes transhumanistes.
Alors que ce mouvement prône le dépassement de notre condition biologique, le chercheur Nathanaël Jarrassé nous engage à revenir aux réalités des personnes appareillées qui ne sont pas des hommes machines. « Rendre une sensation de toucher à un sujet amputé appareillé », « dévier des nerfs pour améliorer la commande de prothèses robotiques », « fixer directement une prothèse de bras sur l’os » : autant d’innovations de laboratoires porteuses d’espoir pour les patients.
Pourtant, cela semble peu face au spectacle technologique qu’offrent les films de science-fiction. Une perception biaisée de la réalité technique Ce décalage entre l’attrait fantasmé de notre société pour les technosciences et nos travaux se trouve amplifié par la vulgarisation parfois simpliste des avancées technologiques.