Maurice Denis, peintre et/ou théoricien – Amateur d'art. De Maurice Denis, je connais d’abord la phrase fameuse : « se rappeler qu’un tableau – avant d´être un cheval de bataille, une femme nue, ou une quelconque anecdote – est essentiellement une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées », qu’il écrivit à 20 ans, en 1890 dans un manifeste du ‘néo-traditionalisme’, déjà un oxymore (une assertion que Taine, vingt ans avant, Spencer, 45 ans plus tôt, et même Vassari, 420 ans auparavant, avaient déjà formulée, mais qui reste associée à Denis), qui m’a toujours paru être une prémonition de l’abstraction, du dédain du sujet pour la forme.
Et, bien que ne connaissant pas très bien ses tableaux (je crois n’être allé qu’une seule fois au Musée de Saint-Germain-en-Laye), j’ai toujours eu du mal à réconcilier cette vision radicale de la peinture avec son oeuvre elle-même, symboliste, Nabi, figurative, et aussi très religieuse. Reçu en service de presse. Archivé là. Auguste Galimard. Top View Auguste Galimard, est un peintre, lithographe, créateur de vitraux et critique d'art français, né à Paris le 25 mars 1813, mort à Montigny-lès-Cormeilles le 16 janvier 1880.
Biographie Auguste Galimard a d'abord été l'élève de ses oncles, le peintre d'histoire Nicolas-Auguste Hesse et le portraitiste Henri-Joseph Hesse. Il est ensuite admis à l'atelier de Jean-Auguste-Dominique Ingres. Il est aussi l'élève du sculpteur Denis Foyatier. Il débute au Salon de Paris en 1835 et y connaît le succès avec ses deux tableaux : Les trois Maries au sépulcre et Une Châtelaine du XV Siècle. Il fut également directeur de l'école de peinture réservée aux femmes ouverte par Louise Marie-Jeanne Hersent au 22 rue Cassette à Paris. Œuvres religieuses et collections publiques Saint-Dizier, Haute-Marne (Musée), portrait de Louis-Philippe, copie d'après Gerard.
Peintures et esquisses d'Eugène Delacroix d'après le poème "Le Giaour" de Lord Byron. L'Automne de Jean-François Millet : focus sur un chef-d’œuvre. Commencez votre journée en découvrant une œuvre d'art !
Aujourd'hui, petite escapade poétique à la campagne avec L’Automne : les meules de Jean-François Millet et le cycle inachevé que le peintre de l'Angélus a consacré aux quatre saisons. Dès le milieu des années 1860, le paysage prend une place plus importante dans la peinture de Jean-François Millet (1814-1875), stimulé par ses séjours en Auvergne et dans l’Allier entre 1866 et 1868. Si la nature a toujours figuré en arrière-plan de ses scènes paysannes, elle devient un sujet en soi. Le Rêve du Douanier Rousseau : focus sur un chef-d’œuvre. Commencez votre journée en découvrant une œuvre d'art !
Aujourd'hui, avec le Rêve, une icône du Surréalisme, partez en exploration dans les jungles imaginaires du Douanier Rousseau, mort le 2 septembre 1910. Outre sa végétation luxuriante, baignée des lueurs à la fois douces et froides de la pleine lune et habitée de présences plus ou moins visibles, outre la disjonction apparente entre cette Vénus couchée et le décor tropical qui l’accueille, ce tableau est exceptionnel à bien des égards. Avec Le Lion, ayant faim…, il s’agit de la plus grande toile jamais peinte par Henri Rousseau. C’est aussi la dernière qu’il a exposée de son vivant, au Salon des indépendants.
Elle est passée entre les mains d’Ambroise Vollard et des marchands américains Arthur Knoedler puis Sidney Janis, avant d’appartenir brièvement à Nelson Rockefeller qui en a fait don au Museum of Modern Art de New York en 1954. Gustav Klimt : Toutes les oeuvres. Réunion de famille de Frédéric Bazille : focus sur un chef-d'oeuvre. Commencez votre journée en découvrant une oeuvre d'art !
Aujourd'hui, le peintre impressionniste Frédéric Bazille, ami de Monet et de Renoir, vous convie à une spectaculaire réunion de famille à l'ombre des marronniers. La Réunion de famille est considérée à juste titre comme le chef-d’œuvre de Frédéric Bazille (1841-1870) et comme un jalon essentiel de la peinture pré-impressionniste. Le tableau a pour cadre la propriété familiale de Méric, près de Montpellier, où l’artiste se rend chaque été. Recensement des œuvres d’Eugène Le Poittevin (1806–1870) à Étretat.
Eugène Le Poittevin (1806-1870)Retour de pêche aux pieds des falaises Huile sur panneau - 38,5 x 47 cm Fécamp, Musée des Pêcheries Photo : Musée des Pêcheries Voir l´image dans sa page.
Giovanni Boldini : Toutes les oeuvres. Le peintre italien Giovanni Boldini fut l'un des principaux réformateurs du genre du portrait en Europe à la fin du XIXe siècle.
Il était l’ami des célébrités dont le baron de Rothschild, le dandy Robert de Montesquiou, le musicien Giuseppe Verdi, la romancière Colette et les peintres Degas et Sargent. La technique virtuose de Boldini lui valut richesse et renommée de son vivant, mais de nombreux critiques le cataloguèrent plus tard simplement comme un portraitiste brillant et superficiel des classes supérieures. Son développement pictural se fait au contact de la réalité picturale foisonnante de Florence dans les années 1860.
Sa formation artistique se déroule dans l’entreprise de restauration d’oeuvres d’art de son père. Le jeune artiste part ensuite à Florence où il peint ses premières oeuvres comme “Portrait de Gaetano Gioia et son épouse” en 1863. La seconde moitie des années 1860 est placée sous le signe de l’ouverture. Gustave Courbet. Cliché des Ateliers Nadar, 1861 (BNF)[1],[2]. signature Auteur d'un important corpus de peintures — plus d'un millier d'œuvres —, Courbet est l'un des artistes les plus puissants et les plus complexes du XIXe siècle.
William Turner (1775 - 1851) - « Mon style, c'est l'atmosphère ! » Inclassable, William Turner ?
On le dit en effet à la fois fidèle aux grands maîtres de la peinture et à l'origine du mouvement impressionniste. Adulé comme l'un des plus grands maîtres de la peinture anglaise, cet esprit orgueilleux et bougon n'a cessé de cultiver le mystère autour de sa personne et de son œuvre. Levons ce mystère pour découvrir celui qui influença durablement l'art européen. Isabelle Grégor Le talent n'attend pas L'histoire commence le 23 avril 1775, avec la naissance de Joseph Mallord William Turner au milieu des perruques, dans le magasin que son barbier de père tient du côté de Covent Garden, à Londres. Tandis que sa mère s'enfonce bientôt dans la folie, le jeune garçon se réfugie dans le dessin en s'inspirant le plus souvent de gravures entrevues dans les livres.