Troupes auxiliaires. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les troupes auxiliaires (du latin: auxilia) étaient des unités de l'armée romaine, à l'origine composée de soldats qui n'étaient pas des citoyens romains. Leur but principal était de soutenir les légions romaines dans la bataille, composées exclusivement, en principe - mais pas toujours[1]-, de citoyens romains. Ils se sont battus principalement au cours du Principat de 30 av.
Speculatores. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Speculatores est un terme dérivant du verbe latin speculare (« observer »), par lequel on désigne en général tous ceux qui jouent le rôle d'éclaireurs ou d'espions, mais plus particulièrement un petit nombre d'hommes attachés à chaque légion romaine, dont le devoir est de se procurer des renseignements sur le nombre et les mouvements de l'ennemi, et de transmettre les ordres aux différents corps de l'armée. Origine[modifier | modifier le code] Sous la République romaine, les termes de speculatores et exploratores sont indifféremment utilisés pour désigner les courriers, éclaireurs, guides, guetteurs, espions, agents clandestins et unités de reconnaissance de l'armée romaine. Il s'agit d'hommes ou d'unités régulières affectés à ces missions. Tite-Live y fait de nombreuses fois références[1]. Hommes de confiance, ils sont également utilisés comme messagers pour diffuser les renseignements obtenus.
Protectores. Hospitalitas. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L’Hospitalitas est un système de cantonnement destiné à caserner les troupes romaines puis germaniques sur le territoire de l'Empire romain durant les IVe et Xe siècles. Cette pratique romaine est issue du Code de Théodose. Quand une troupe arrive dans un lieu, elle réquisitionne une grande propriété, souvent une propriété impériale, qui est partagée en trois parties par un officier de l'armée appelé fourrier.
Le propriétaire du terrain choisit la première partie, l'officier la deuxième et la troisième revient de nouveau au propriétaire. Vexillation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Une vexillation (latin vexillatio plur. vexillationes), dans l'armée romaine, est un détachement de soldats tiré temporairement d'une unité permanente. Le terme vexillation vient du mot « vexillum » qui désignait l’étendard autour duquel étaient regroupés les soldats qui quittaient leur corps d’origine pour une tâche particulière : cela correspond au terme "détachement" dans le vocabulaire militaire moderne. Les vexillations sont très souvent formées à partir de soldats tirés d'une légion romaine, des détachements formés à partir d'unité des flottes ou d'auxiliaires existaient aussi. Le nom de la légion "vexillatoire" était précédé de l'abréviation "VEX" comme la Légion VIII Augusta abrégée en "VEX LEG VIII AUG" (vexillatio legionis VIII Augustae : vexillation de la huitième légion Augusta).
Le titre et le rang du commandant dirigeant la vexillation dépendaient de la taille du détachement et du statut des soldats qui le composaient. Tactiques de l'infanterie romaine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les tactiques de l'infanterie romaine font référence aux formations, aux déploiements et aux manœuvres de l'infanterie romaine depuis les débuts de la République romaine jusqu'à la fin de l'Empire. L'armée romaine fut un élément incontournable de la puissance de Rome. L'histoire militaire romaine ne fut pas une suite ininterrompue de victoires, Rome connut des défaites et parfois des désastres militaires. Néanmoins jusqu'au IIIe siècle, elle parvint à maîtriser ses adversaires. Face à de nouveaux adversaires et tiraillée par des tensions internes, l'armée romaine ne parvint pas à s'adapter et l'infanterie lourde, pilier du système militaire romain disparut. -=- Legion Romaine -=- Légion romaine. Equipement cavalerie. Le cavalier portait les sandales militaires (caligae), un pantalon de cuir (bracae), une tunique courte en laine rouge, une veste en cuir (subarmalis) qui protégeait sa tunica des frottements de la cuirasse, et enfin une cotte de mailles (lorica hamata) ou d'écailles (lorica squamata) en bronze ou en fer.
Le casque de cavalerie était d'un type tout à fait différent de celui du fantassin : le couvre-nuque était beaucoup plus petit et la protection du front était absente. En revanche, une protection spéciale couvrait les oreilles et la finition en fer repoussé ou en bronze était particulièrement soignée (elle représentait souvent la chevelure humaine. Certains casques portaient même une vraie chevelure en cheveux humains, en crins de cheval ou en poils d'ours, tressés en nattes. Les armes étaient employées de la main droite : la lance (hasta), qu'on tenait à bout de bras, ou l'épée longue (spatha). Maître de cavalerie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Sous la République[modifier | modifier le code] Nomination et pouvoirs[modifier | modifier le code] Une fois nommé, le dictateur doit lui-même choisir son maître de cavalerie qui lui sert d'auxiliaire[1], sauf si le nom du maître de cavalerie est fixé par le Sénat via un senatus consultum. Si en apparence, le principe de collégialité est conservé avec deux magistrats qui succèdent aux deux consuls, dans les faits le maître de cavalerie est le subordonné du dictateur et non son égal comme le sont les consuls l'un pour l'autre[4].
Cavalerie au temps de la Rome antique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dans la Rome antique, la cavalerie ne constituait pas, à l'origine, une arme indépendante au sein de l'armée romaine : chaque légion avait sa cavalerie organique (300 cavaliers, organisés en dix escadrons commandés chacun par un décurion). À l'instar des Grecs qui développèrent leur cavalerie au contact des Perses[note 1], c'est essentiellement au contact de ses adversaires — Carthaginois, Celtes, Germains, Parthes, Sassanides et Huns — que Rome entreprend progressivement la mise sur pied d'unités de cavalerie — souvent d'ailleurs par le biais de recrutement de mercenaires issus des peuples soumis (equites singulares) — qui ne resteront cependant que des « auxiliaires » de la légion d'infanterie, clé de voûte de la tactique militaire romaine[1]. Limitanei. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les limitanei, (« soldats de la frontière » du latin limes romanus, désignant les frontière de l'Empire romain), sont les troupes frontalières du Bas-Empire romain puis de l'empire byzantin. Liens internes[modifier | modifier le code] Legio I Germanica. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La Legio I Germanica ou légion germaine était une légion romaine[1] levée en 48 av. Legio II Adiutrix. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Fondation[modifier | modifier le code] Son action en Bretagne[modifier | modifier le code] Transfert sur le Danube[modifier | modifier le code] Une légion qui participe à de nombreuses campagnes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Legio II Augusta. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Legio II Augusta est une légion romaine. Histoire[modifier | modifier le code] L'origine de cette légion date de César. Elle participa à la guerre civile entre Marc Antoine et Auguste (bataille d'Actium).
Reconstituée par Auguste, la légion apparaît en Espagne en l’an 30 av. En 407, la légion est rapatriée en Gaule, elle était la dernière légion présente en Bretagne romaine. Legio II Parthica. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine[modifier | modifier le code] À la fin de la guerre, la Legio II Parthica fut transférée en Italie et basée à Albanum (Albano Laziale) près de Rome. Son camp, qui a été fouillé, est nettement plus petit qu'un camp légionnaire du IIe siècle : sans doute la Legio II Parthica n'avait-elle pas l'effectif classique de 5 000 à 6 000 hommes, mais était-elle plus petite. Histoire[modifier | modifier le code] LEGION VIII AUGUSTA: reconstitution de l'armée romaine et du monde romain du 1er siècle. Histoire succinte des légions romaines. Cohorte romaine. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir cohorte. Une cohorte romaine était une unité tactique constituée en général d'un seul type de soldat dans l'armée romaine. Son apparition a lieu au deuxième siècle avant notre ère et fut souvent attribuée à la réforme marianique, elle résultait en fait d'une évolution à plus long terme. Plus tard, avant même le principat, ce terme prit un sens plus large et définit un groupe. Hastati. Principes. Triarii. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les triarii sont la troisième (tri = trois) et dernière ligne disponible dans les légions républicaines, organisée en dix cohortes contenant chacune trois manipules de 160 hommes, chacune divisée en deux centuries de 80 soldats.
C'étaient les soldats les plus vieux et les plus expérimentés, disposant de plus de moyens financiers pour payer leur équipement. Ils formaient donc la dernière rangée de soldats, et restaient en retrait la plupart du temps pendant la bataille, se contentant parfois de garder le camp. Vélite (Rome antique) Legio I Adiutrix. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Par la suite, le cité de Mogontiacum (aujourd'hui Mayence) est connue comme garnison de la Legio I Adiutrix ; la Legio XIV Gemina y avait également ses quartiers, et elles se livraient principalement toutes les deux à des activités de construction. En 83, sous le commandement de l'empereur Domitien, elles combattent les Chatti, une tribu germanique qui vivait de part et d'autre du Rhin. Elles sont ensuite transférées en Pannonie, dans l'armée du Danube, pour y combattre les Daces. Pendant les décennies suivantes, la légion resta sur la frontière du Danube. Sous Marc Aurèle, elle combattit contre les Marcomans.
Par la suite, son camp de base fut à nouveau en Pannonie ; elle joua cependant un rôle dans plusieurs des campagnes contre les Parthes : celles de 195 et 197-198 sous Septime Sévère, celle de 215-217 dirigée par Caracalla, et celle de 244, sous Gordien III. Vigiles urbains. Cohortes urbaines. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les cohortes urbaines (Latin:Cohors urbana) assument un triple rôle : garde d’honneur pour la ville de Rome dans l'Antiquité romaine, police municipale et aussi, force militaire.
Elle sert principalement à maintenir l'ordre dans les grandes villes comme Rome si besoin et elle peuvent aussi combattre afin de défendre la ville ; elle est armée et entrainée comme les légionnaires. Garde prétorienne. Manipule romain. Centurie. Centurion. Celeres. Contubernium. Contubernales. Décurion. Les romains 1 : Organisation des légions romaines. Cuirasses et armures antiques antiques. Chefs de guerre Spartacus, un gladiateur rebelle. Campamento Romano 3D. Virtual Roman Camp.