Différencier l'enseignement : deux exemples
Le péril éducatif L’enseignement que je prodigue essaie autant que faire se peut de s’éloigner d’une transmission qui s’appliquerait aveuglément et indifféremment à tous. Je désire plus que tout prendre le contre-pied d’un enseignement (et ce n’est vraiment pas toujours facile) qui ferait fi des besoins spécifiques de chaque élève.
Téléchargement et installation d'ENTBOX
ENTBox Le projet ENTBOX est une application gratuite qui a pour but de créer un environnement numérique de travail d'un nouveau genre qui permet de connecter tous les élèves ensemble sans besoin de connexion à Internet. ENTBox est développé par M.A Chardine, professeur de sciences physiques au lycée Pierre Corneille de Rouen.
Bruno Devauchelle : Se former à l'ère numérique
La formation, sous toutes ses formes, est une sorte de nébuleuse multiforme dont les principaux enjeux sont le plus souvent organisationnels et institutionnels. La loi de 1971 a montré un chemin essentiel : celui du développement personnel au sein d'un collectif. Le monde de l'enseignement, que l'on pourrait penser comme particulièrement intéressé par la formation est pourtant, en distance de cette question. Et pourtant le colloque d'Amiens organisé en 1968 avait posé les fondements de la formation continue des enseignants.
Jérôme Lagaillarde : Le smartphone en français pour apprendre ?
Quand le matériel informatique de l’établissement manque ou défaille, pourquoi ne pas faire appel à celui des élèves ? Au lieu d’interdire les smartphones, ne serait-il pas plus pertinent d’en inventer des usages pédagogiques ? C’est la question, cruciale, du BYOD (« Bring Your Own Device », « apportez votre propre matériel »). C’est le pari lancé et gagné par Jérôme Lagaillarde, professeur de lettres au collège Georges Méliès à Paris. Il éclaire ici les modalités, les possibilités et les enjeux d’une utilisation des smartphones en cours de français : un choix que certains jugeront risqué, et qui s’avère pourtant essentiel pour renforcer certains apprentissages tout en éduquant à la responsabilité.
Le smartphone au service de la réussite des élèves
Le projet est né d’un double constat : le smartphone est une possibilité pour suppléer les carences en équipement, tant des salles de classe d’un établissement qu’au domicile de l’élève ; le smartphone, pourtant interdit par le règlement du collège, est souvent utilisé de manière intempestive par les élèves dans de nombreux cours. L’idée qui découle de ce constat est de définir une place pédagogique pour cet outil à l’école et de permettre aux élèves d’en explorer ses possibilités, dans le cadre de leurs apprentissages, et d’en tirer le meilleur parti pour leur réussite. Le cadre de l’expérimentation Une classe de 3ème à option DP 3, effectif 23 élèves, profil hétérogène, niveau plutôt moyen voire faible. La majorité de la classe dispose d’un smartphone : 17 élèves sur 23.
Le mobile learning en pratique
"L'apprentissage mobile (aussi connu sous le nom de m-learning, d'apprentissage nomade ou d'apprentissage pervasif) est un concept éducatif. Ce système éducatif permet un accès continu au savoir à l'aide d'appareils mobiles : smartphone, tablette ou ordinateur portable. Il est possible d'apprendre où on veut, quand on le veut. L'émergence de l'apprentissage mobile fait bouger les systèmes éducatifs."Définition de EasyLMS.com
rallye internet cycle 3
inscrivez-vous ! Rallye “Tous égaux, tous différents” : consultez le recueil des productions des classes -> cliquez ici pour y accéder ! N’oubliez pas d’inscrire votre classe au Rallye ! TOUT savoir sur le Rallye 2019 documents à télécharger : guide-enseignant – fiche-élève (trace écrite)
FEI 2016 : Vive le BYOD au collège ?
L'élève qui travaille avec son smartphone personnel modifie-t-il son rapport aux savoirs, aux apprentissages, à l’établissement scolaire ? Comment concrètement mettre en place au collège un dispositif de BYOD (« Bring Your Own Device » : « apporte ton propre matériel ») ou PAP (« Prenez vos Appareils Personnels ») ? Comment même modifier l’espace-classe pour que l’élève y soit plus actif et plus autonome ? Autant de questions essentielles auxquelles se confrontent Brice Sicart et David Cohen, professeurs d’arts plastiques dans l’académie de Nice.