Les études de médecine
Envie de devenir médecin ? Compter 9 ans d’études à l’université pour les généralistes, et 10 à 11 ans pour les spécialistes, comme les chirurgiens ou les pédiatres. A la clé, le DE (diplôme d’État) de docteur en médecine, obligatoire pour exercer. © Phovoir Médecine, 9 à 11 ans d'études où l'on passe des amphis à l'hôpital. À lire aussi Le cursus de médecine débute avec la PACES (1re année commune aux études de santé). Les 2e et 3e années de médecine : l’entrée en matière En 2e et 3e années, les études se répartissent entre cours magistraux, TP (travaux pratiques), études dirigées et stages. Au programme : sémiologie, physiologie, anatomie et microbiologie... Depuis 2011, le diplôme de formation générale en sciences médicales sanctionne la 1re partie des études de médecine (DFGSM). Les 4e, 5e et 6e années de médecine : l’"externat" Le programme s’articule autour des pathologies, de leur thérapeutique et de leur prévention. L’internat de médecine L’internat dure de 3 à 5 ans.
Infirmier/ère
Pascal, infirmier indépendant. À l'hôpital, ce professionnel des soins est chargé d'appliquer les prescriptions du médecin. Distribution de médicaments, calcul des doses, piqûre, pose de perfusions, prise de sang, pansement... autant de tâches à haute technicité qui engagent la responsabilité de l'infirmier. Sa présence au chevet du patient lui permet de surveiller l'état de santé de ce dernier, l'évolution de la maladie, les effets du traitement, mais aussi son moral. Des renseignements indispensables qui seront consignés dans le cahier de soins. Qualités exigées : résistance physique et nerveuse, conscience professionnelle et sens de la psychologie. L'infirmier peut exercer à titre libéral et assurer des soins en cabinet ou au domicile des patients. Après quelques années, il peut se spécialiser comme infirmier anesthésiste ou infirmier de bloc opératoire, en reprenant des études. Après la 3ème
IADE en SMUR:
médecin généraliste
À son cabinet, à domicile, au sein d'un centre de santé, d'un centre de protection maternelle et infantile, d'une crèche, d'une maison de retraite, d'un service de médecine à l'hôpital... autant de lieux d'exercice où le médecin généraliste ausculte les patients et les interroge sur leurs troubles. Hygiène de vie, habitudes ou antécédents familiaux : il enquête. Le but : ne pas confondre des maux différents présentant les mêmes symptômes. Le bilan terminé, le médecin prescrit des traitements et, au besoin, des examens (prises de sang, radios). La plupart des généralistes exercent en cabinet libéral. Mais, pour débuter, les jeunes s'associent ou assurent les urgences médicales (la nuit, le week-end). Certains praticiens choisissent la médecine scolaire.
IFSI / IFAS - Quimper
Présentation du nouveau programme de formation des étudiants en soins infirmiers
La refonte de la formation des étudiants en soins infirmiers à la rentrée 2009 a permis la mise en place d'un programme très différent de celui de 1992. Vous trouverez dans cet article l'ensemble des informations relatives à ce nouveau référentiel de formation qui repose maintenant sur l'acquisition de "compétences" validées par l'obtention d'un Diplôme d'Etat (au grade Licence). Pour l'année 2015-2016, l’Arrêté du ministère des Affaires sociales et de la Santé publié au Journal Officiel de la République française du 3 juillet 2015, (JO du 8 juillet 2015) fixe à 30 844 le nombre d’étudiants à admettre en 1ère année d’études préparatoires au diplôme d’Etat d’Infirmier. Définition officielle du métier Évaluer l’état de santé d’une personne et analyser les situations de soins ; concevoir et définir des projets de soins personnalisés ; planifier des soins, les prodiguer et les évaluer ; mettre en œuvre des traitements. Les champs d'apprentissage du diplôme recouvrent dix compétences
médecin spécialiste
Troubles de l'audition, maladie des yeux, affection du système digestif, pathologie de l'enfant, composition du sang : dans certains cas, il est indispensable de faire appel à un médecin spécialiste. Ce praticien de haut niveau a suivi une formation complémentaire entièrement dédiée à une partie du corps ou à un type de pathologie. En fonction de sa discipline, le spécialiste sera confronté à diverses techniques médicales, à différents publics et lieux d'exercice (hôpital, clinique ou cabinet privés). La moitié des spécialistes travaille en libéral. Très souvent, ils effectuent en parallèle des consultations à l'hôpital. Par ailleurs, la disponibilité est de rigueur pour prêter une oreille attentive aux patients et établir le bon diagnostic. Avec les départs à la retraite et l'absence de médecins dans certaines régions, les perspectives d'emploi sont favorables aux futures générations.
IFSI de BREST: