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Related: Vidéos / Documentaires Economie • GaucheVandana Shiva : « Le libre-échange, c’est la dictature des entreprises » Basta ! : Les combats que vous menez sont liés à la souveraineté – alimentaire, sur les terres, l’eau, les semences. Qu’est-ce que la souveraineté ? En quoi est-ce un enjeu majeur du 21e siècle ? Vandana Shiva : La redéfinition de la notion de « souveraineté » sera le grand défi de l’ère post-globalisation. Reconstruire une gauche en France Combien faudra-t-il d’échecs électoraux cuisants et de désaffection populaire pour se mettre au travail, sérieusement, et faire du neuf à gauche ? Je le dis avec une bonne dose de colère car la responsabilité collective est engagée pour ne pas laisser la sidération, le cynisme ou la routine l’emporter. Oui, nous sommes au pied du mur.
L’économie décolle sur ARTE › Temps forts Du 7 octobre au 4 novembre, ARTE explore toutes les facettes de l’économie moderne : mainmise du capitalisme financier sur la production, évolution des modèles économiques, blanchiment d’argent, alternatives à la croissance… Des patrons et des hommes « Fortunes et bijoux de famille » - Mardi 7 octobre à 20h50.Les belles années du capitalisme productiviste et glorieux. Sans impôts, le service public serait hors de prix "j'aime bien les gens qui parle sans savoirdeja un fonctionnaire peut etre licencier pour faute grave , il peux etre muter d'office aussi pour faute , ils ont aussi des objectifs qui leur sont donnés."... Mais combien sont réèllements virés, ou s'ils sont mutés c'est dans des postes bien dorés..! "les fonctionnaires cotisent pour le chomage alors qu'ils n'en beneficient pas meme en cas de licenciment pour faute."Combien se sont retrouvés aux chômage ?
TSCG - Une playlist sur Dailymotion Dailymotion Sign in Playlist created by Mediapart | 11 videos Le débat TSCG: Pierre Laurent - Karine Berger (Bonus finances publiques) La gauche ne peut pas mourir, par Frédéric Lordon (Le Monde diplomatique, septembre 2014) Dans le débat public ne circulent pas que des sottises : également des poisons. De toutes les navrances complaisamment relayées par la cohorte des experts et éditorialistes, la plus toxique est sans doute celle qui annonce avec une gravité prophétique la fin des catégories « droite » et « gauche », et le dépassement définitif de leur antinomie politique. On n’a pas assez remarqué la troublante proximité formelle, et la collusion objective, du « ni droite ni gauche » de l’extrême droite et du « dépassement de la droite et de la gauche » (« qui ne veulent plus rien dire ») de l’extrême centre. Passe alors un premier ministre qui vaticine que « oui, la gauche peut mourir (1) », trahissant visiblement sous la forme d’une sombre prédiction son propre sombre projet, et la cause semble entendue.
Pourquoi la fondation Gates finance Total, Coca et McDo Où les bons samaritains placent-ils leur argent ? Chez McDo, BP, Coca-Cola, Exxon Mobil et même dans une société de prisons privées. C’est ce qu’ont découvert les journalistes du magazine américain Mother Jones en épluchant la déclaration fiscale 2012 (en pdf) de la fondation Bill et Melinda Gates. Mélenchon : « Il est venu le temps des hologrammes » par Malika Butzbach O ù je suis ? À Lyon et maintenant… à Paris ! » Dans une lumière bleue, l’hologramme de Jean-Luc Mélenchon apparaît sur scène. « On dirait Obiwan Kenobi dans Star Wars », rigole Taddéo. Entretien avec Olivier Berruyer : La fin d'un monde
Des écologistes d’EELV choisissent La France insoumise et Mélenchon Les signataires de cet appel sont adhérents ou anciens adhérents à EELV. La liste des noms est à la fin de la tribune. Le score sans appel de la consultation des électrices et électeurs de « la primaire des écologistes » pour un rassemblement des candidats Mélenchon, Jadot, Hamon a montré leur aspiration majoritaire à l’union de toutes les forces de gauche opposées à l’extrême droite, à la droite et au libéralisme. Il marque aussi la sortie l’une conception boutiquière de l’autonomie politique dont le fétiche était une candidature à l’élection présidentielle, dans une soumission à la logique de la Ve République. Aujourd’hui, les idées écologistes pollinisent le champ politique et le projet écologiste et social dépasse les limites de l’écologie politique organisée. Pour la majorité des électrices et des électeurs de « la primaire de la Belle Alliance populaire », le bulletin Hamon a été l’occasion de tourner la page du quinquennat Hollande.
Le balai comme la moindre des choses Seuls ceux qui portent sur la politique le regard scolastique des logiciens auront du mal à comprendre qu’on puisse dire d’un même événement — comme l’affaire Cahuzac — qu’il est à la fois secondaire et principal. Péripétie fait-diversière et crapoteuse, bien faite pour attraper le regard et le détourner des choses importantes (accord sur l’emploi « ANI » [1], austérité, chômage, etc.), la bouse soudainement posée n’en a pas moins le mauvais goût de tomber au plus mauvais moment — il est bien vrai que le spectacle de la cupidité déboutonnée, lors même que le corps social en bave comme jamais, donne quelques envies de coups de fourche. Lire aussi Martine Bulard, « Social-défaitisme à la française », avril 2013. 1983, 2012 : d’un basculement l’autre (de la « politique de terrain » à la « politique de service ») Les contresens du « socialisme de l’offre »
Venezuela : la pensée mi-figue mi-raisin de la gauche intellectuelle Ce n’est évidemment pas un hasard : il s’agissait de créer un climat favorable dans l’opinion publique pour justifier un changement de régime par la force. Celui ci n’ayant pas eu lieu, et le Peuple vénézuélien ayant donné une légitimité par les urnes à l’Assemblée constituante, en dépit du boycott de l’opposition et des menaces qui pesaient sur les électeurs, le Venezuela disparaît progressivement de nos médias, laissant la place à l’arrivée de Neymar au PSG et à celle d’un bébé panda au zoo de Beauval. Comme les nuages se sont désormais retirés (attention tout de même à la queue du cyclone), nous pouvons désormais constater l’ampleur des dégâts laissé par le typhon médiatique au sein de l’opinion publique, et particulièrement parmi les sympathisants et militants de la transformation sociale.