La e-démocratie du Premier ministre Julia Gillard se porte bien
Publié le : 07/09/2010 - 14:25Modifié le : 07/09/2010 - 15:01 Alors que le Premier ministre, Julia Gillard, traverse une période délicate, son grand projet d’e-démocratie fonctionne plutôt bien permettant à l’Australie d’être l’un des États les plus en pointe dans ce domaine. Si Julia Gillard a pu se maintenir de justesse, ce mardi, à son poste de Premier ministre, l'un de ses grands projets, le "gouvernement 2.0" n’a, lui, jamais été en danger. Mis en place en juillet dernier, ce programme d’e-démocratie est l’un des plus avancés au monde. Il permet, le plus souvent, un dialogue direct à travers une myriade de sites officiels entre la population et les responsables. Surtout, il parie sur une plus grande accessibilité de l’information à une époque où les gouvernements ont tendance à contrôler de plus en plus ce qui se trame sur la Toile. Le 16 juillet, le gouvernement australien faisait une "déclaration pour un gouvernement ouvert". "Début d'une révolution"
Critiques du Web² (1/4) : Quelles données libère-t-on ? « Intern
Oui, les données valent de l’or. C’est aussi comme cela qu’on peut lire le Web à la puissance deux (Web²) de Tim O’Reilly et John Battelle. Mais si c’est effectivement le cas, si nous sommes tous assis sur un capital dont on mesure mal l’exploitation qui peut en être faite, pourquoi faudrait-il les libérer ? Que gagne-t-on à les partager ? Image : Illustration de Boris Müller pour le festival de littérature allemand de 2006 montrant les relations entre les lettres dans un poème, mis en avant par l’australien Andrew Vande Moere, l’auteur du cultissime blog infosthetics sur l’esthétisme de la visualisation de données, pour un article de PingMag sur la beauté de cette nouvelle discipline de représentation de l’information. Or l’ouverture des données ne va pas de soi pour les organisations. Indéniablement, la question de leur ouverture deviendra à l’évidence un sujet conflictuel. Il y a au moins deux limites intrinsèques à la vision de Battelle et O’Reilly : Hubert Guillaud
La monétisation des réseaux sociaux | Larmet
Les réseaux sociaux drainent une forte audience, notamment Facebook qui compte plus de 350 millions d’utilisateurs (décembre 2009), et qui est le deuxième site le plus visité après Google.com. (source Alexa). Cependant, comparativement à son audience, Facebook réalise beaucoup moins de revenus par internaute, que ne le fait Google! En effet, Facebook a dégagé des bénéfices pour la première fois au 1er semestre 2009 ; et bon nombre de sites de réseaux sociaux n’ont pas trouvé leur business model, et sont critiqués pour cela (notamment Twitter). L’enjeu pour les sites de réseaux sociaux, est de monétiser leurs plateformes, sans faire fuir ni les internautes, ni les entreprises. Les Stratégies de monétisation Compte Freemium L’inscription au site de réseau social est gratuite, mais l’internaute ne dispose que d’un nombre limité de fonctionnalités. L’E-marketer a publié une étude sur l’origine des revenus des sites de réseaux sociaux.
★ Mieux que gratuit : le business model réinventé
Voici une traduction d'un texte pointé par Karl intitulé Better than free et écrit par Kevin Kelly. Je trouve la réflexion très intéressante et arrivant à point nommé dans ma réflexion sur le financement des applications web libres. Je vous laisse lire et on en parle ensuite. L'Internet est une machine à copier. À son niveau le plus bas, il copie chaque action, chaque caractère, chaque pensée que nous faisons lorsque nous surfons dessus. Lorsque vous envoyez un message d'un bout à l'autre de l'internet, les protocoles de communication exigent la copie complète du message en de nombreux points. Notre réseau de communication numérique a été conçu de façon à ce que le flux de copies circule avec le moins de frictions possibles. Ce système de super-distribution est devenu le fondement de notre économie et de la richesse. J'ai une réponse. Lorsque les copies sont très nombreuses, elles perdent leur valeur. Soit, qu'est-ce qui ne peut être copié ? Huit génératrices meilleures que gratuit
Où en est la consommation média sur mobile et tablettes ? : 27% de la consommation média réalisée sur mobile
Les français utilisateurs d'Internet mobile consomment plus de 7 heures de médias par jour. Après avoir détrôné la TV, le PC ne représente finalement que le second poste de consommation média avec 113 minutes par jour : c'est en effet le mobile qui arrive en tête puisqu'il représente 27% de la consommation média quotidienne des français, avec 116 minutes. A noter que 51% des français pratiquent le multi-tasking devant leur poste de télévision. La France se situe ainsi dans la moyenne de consommation quotidienne de médias sur mobile avec ses 116 minutes, contre 117 dans le monde.
La troisième frontière du Web « Cratyle.net
Chacun sent que le Web entre aujourd’hui dans une nouvelle phase de son développement. Les tentatives de synthèse fleurissent, mais ne semblent pas suffire à rendre compte des évolutions en cours. Peut-être sont-elles encore trop vagues? ou déjà trop précises? Peut-être trouvera-t-on d’ailleurs inutile de vouloir décrire les évolutions d’ensemble du Web? Je crois pourtant que la nature décentralisée du Web offre un moyen de comprendre son orientation. C’est cette piste que je voudrais explorer ici. Les principes fondateurs du Web Ces principes sont simplement les objectifs initiaux que Tim Berners-Lee et Robert Caillau ont donnés à leur projet. 1- Permettre à chacun d’accéder à tout type de document 2- Permettre à chacun de diffuser ses propres documents 3- Permettre à chacun d’organiser l’ensemble des documents Le Web initial, micro-démocratie où chacun disposait de tous les attributs d’un média, assura son propre développement et fixa durablement ses orientations. La troisième frontière
About the Journal | www.semantic-web-journal.net
La presse sur Internet peut-elle être rentable ? Thèse de Matthieu de Vivie
Il y a des thèses professionnelles plus professionnelles que d’autres… Je connais bien la thèse de Matthieu de Vivie car j’ai eu la chance d’être son tuteur pendant la rédaction de sa thèse en sortie du mastère MNT (HEC Paris – Télécom Paristech) dans lequel j’interviens. J’ai cherché à l’aider et le challenger autant que j’ai pu pour qu’il pousse sa réflexion au-delà des habituels lieux communs qu’on peut trouver sur le Net. Grâce à Florence Terray, il a pu rencontrer un grand nombre d’acteurs de la presse et son travail final est un must read pour qui aujourd’hui s’intéresse à l’avenir de ce secteur en pleine crise. N’hésitez pas à lui faire un retour sur son travail et participer à la réflexion Bonne lecture En complément, je vous invite à découvrir deux news récentes qui témoignent de la crise de la presse et de ses errements concernant son avenir : La presse sur Internet peut-elle être rentable?
D’un site mobile à une véritable application Web
La navigation mobile (smartphone ou tablette) s’est sans conteste accaparée une partie non négligeable du trafic Internet, et son augmentation ne fait pas de doute. Pour répondre à l’arrivée de ce nouveau support de consultation, nombres de sites ont commencé par adapter leur présentation pour une lecture agréable. Aujourd’hui, le mobile fait l’objet d’une véritable stratégie d’entreprise et ce sur de nombreux fronts : organisationnel, marketing et technologique notamment. Ce dernier point amorce aujourd’hui un virage naturel mais peu évident à négocier, tiré par la démocratisation des usages et donc d’attentes plus élevées de l’utilisateur : il ne cherche plus seulement une déclinaison mobile d’un site web, mais une véritable expérience comme attendue dans une application native. Aujourd’hui, on consultera dans la majeure partie des cas d’une version mobile qui n’est finalement qu’un affichage dégradé du site principal. Mais ce JavaScript n’est plus. Frameworks Web Nos petits préférés