Qu’est-ce qu’une piratebox? Bonjour et bienvenu à tous vous voici sur notre nouveau site pirateboxfr, ce site est consacré au phénomène qui commence à prendre pas mal d’ampleur en france: la piratebox. Pour ce ceux qui ne saurait pas ce que c’est je vous explique les grandes lignes: le but est de créer un espace de libre échange, une bulle hors de tout chemin battu et hors de la juridiction de autorités. C’est dans ce but qu’un américain, David Darts à décider de créer une boite permettant cela, il la baptisée piratebox. Influence Networks: mode d’emploi OWNI présente Influence Networks, un répertoire ouvert et sémantique des relations entre personnalités, institutions et entreprises. Chaque élément est noté selon sa crédibilité, si bien que le bruit reste distinct du signal. En octobre 2010, lors du Personal Democracy Forum de Barcelone, plusieurs journalistes d’investigation ont expliqué comment ils avaient débusqué des affaires de corruption en procédant à l’analyse de réseaux.
Le MIT invente un web anti-NSA 01net le 26/03/14 à 19h06 Les révélations d’Edward Snowden, tout comme les désormais innombrables vols de données le prouvent : les sites web ne sont pas suffisamment sécurisés pour héberger des informations sensibles. C’est pourquoi une équipe de chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) propose une nouvelle architecture web baptisée « Mylar », taillée sur mesure pour résister aux assauts des espions et des cybercriminels. L’idée principale est assez simple : comme il est difficile de sécuriser correctement les serveurs web, il faut que ces derniers ne manipulent que des données chiffrées. Pour y arriver, les serveurs web de Mylar ne génèrent pas des pages web finies, mais transmettent du code Javascript et les données chiffrées au navigateur web qui dispose en local d’une clé pour les déchiffrer.
Massoud Hassani, l'afghan qui rêve de déminer le monde L’invention Mine Kafon est un outil supplémentaire contre le déminage. La Mine Kafon qui progresse à la force du vent peut enclencher une mine antipersonnel pour explosion tout en poursuivant sa route. Cette grosse boule composé de 70 tiges de bambou et d’un GPS permet de tracer des chemins déminés. À chaque utilisation, et pour coût de 40 euros, 3 ou 4 mines peuvent être désamorcées.
Les men in grey poussent un gris Peut-être avez-vous croisé leur silhouette discrète au détour d’une rue de Berlin ou d’Helsinki, arpentant le trottoir, attaché-case à la main, impeccables dans leur complet gris comme un jour sans soleil. Les Men in Grey (MIG) opèrent dans cette zone grise, de plus en plus ambiguë, entre ce qui est considéré comme privé et ce qui relève de l’espace public à l’ère de l’informatique ubiquiste. Vous êtes dans la rue ou dans un café, en train de consulter un site web sur votre ordinateur portable ou votre smartphone, de poster des statuts sur Facebook, de partager une photo coquine ou de vous envoyer des mots doux par tchat, pensant être à l’abri des regards, et voilà que vous entendez une synthèse vocale claironnant à la face du monde ce que vous venez de chuchoter sur votre clavier.
MORPHING – 12 artistes vivent pendant six mois avec la même identité Le projet "Citizen K" fait l'objet d'une exposition du collectif Ztohoven à Londres. Pendant six mois, douze artistes du collectif tchèque Ztohoven ont vécu avec la même identité. Ils ont voyagé, voté, acheté des armes et se sont même mariés sans que personne ne s'en aperçoive. Cette histoire incroyable est racontée actuellement par le collectif dans l'exposition londonienne " Cultural Hijack " (détournement culturel). Elle a commencé en 2010, quand ces douze artistes ont adopté la même coupe de cheveux et fusionné leurs photos d'identité à l'aide d'un logiciel de morphing . Ils ont ensuite demandé de nouvelles cartes d'identité sous de faux noms.
Julius von Bismarck - Image Fulgurator Manipulation analogique à l’ère numérique : le Fulgurator de Julius von Bismarck sème le doute chez les photographes La multiplication des appareils photos numériques bon marché a fait entrer un nouveau geste dans les mœurs : dès qu’une photo est prise, l’auteur confronte le cliché à ce qu’il imaginait ou bien à la réalité. Si le résultat n’est pas à la hauteur de ses attentes, il recommence. Qaul.net, un Web bis de proche en proche Projet des artistes suisses Mathias Jud et Christoph Wachter, Qaul.net pose les bases d’un réseau de communication bis, totalement indépendant de l’Internet et des opérateurs téléphoniques. «Il n’y a plus de serveurs, de clients ou de routeur, chaque participant au projet Qaul.net est tout à la fois», expliquent les auteurs, actuellement en résidence à la Gaîté Lyrique à Paris, dont le projet s’appuie sur les réseaux «mesh» ou maillés. Le logiciel interconnecte les ordinateurs, smartphones et autres supports mobiles via le wi-fi pour former un réseau spontané, de proche en proche, permettant d’échanger des messages textuels, des fichiers ou des appels vocaux. Qaul.net est diffusé «comme un virus», d’usager à usager. Lorsqu’on s’y connecte via un signal wi-fi, on accède au logiciel, en open source, à installer.
Citizen K ou les siphonnés de Ztohoven Le 17 juin 2007, c'est une vision d'horreur qu'offrit l'émission matinale tchèque Panorama à tous ses téléspectateurs : au lieu de collines idylliques, c'est l'image d'un champignon atomique qui fût diffusée par une caméra météo placée dans le massif de Krkonoše, entrainant un bref moment de panique dans un pays régulièrement agité par le débat sur le nucléaire. Une panique injustifiée néanmoins rapidement dissipée par la découverte de la supercherie : pas de catastrophe nucléaire à déplorer mais en réalité, un piratage vidéo orchestré par le collectif d'artistes pragois Ztohoven. Difficile de trouver un Tchèque, surtout parmi les jeunes, qui n'ait pas entendu parler de leur « coup d'éclat atomique » du 17 juin 2007. Le groupe, constitué d'une vingtaine de membres, avait déjà eu l'occasion de faire parler de lui auprès du public avec d'autres projets artistiques originaux. Le Citoyen K sort au cinéma
L'Internet pour les riches, des JPG pour les pauvres Si vous n’aviez plus assez d’argent pour vous payer un abonnement Internet complet, à quel service minimum vous efforceriez-vous de garder accès ? Les e-mails et les démarches administratives en ligne ? Les sites d’actualité et la météo ? Wikipédia ? Facebook ? Apparemment, c’est le réseau social qui l’emporte dans l’esprit de Sprint, l’un des principaux opérateurs de téléphonie mobile aux Etats-Unis.