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Related: Les révolutions française et américaineLes révolutions américaine et française et l’avancement de la démocratie Texte intégral 1 Seymour Martin Lipset, The First New Nation, New York, 1979. Ce livre a paru en 1963. 1Bien que les révolutions américaine et française soient considérées comme l’avènement de la démocratie moderne, certains Américains soutiennent la prééminence de la démocratie américaine sur le modèle français. Dans les années 60, les Américains ont même insisté sur le fait que les États-Unis étaient la démocratie la plus avancée dans la décennie 1790. Décrivant les États-Unis comme « la première nation nouvelle » , les sociologues ont présenté la Révolution américaine comme un modèle pour les pays en voie de développement 1.
Révolution américaine : invasion au Canada Au début de la Révolution américaine, en 1775, des forces rebelles envahissent le Canada, occupant Montréal et attaquant Québec, et des corsaires américains prennent d’assaut certains ports de l’Atlantique. Proclamation royale (carte) Fort-Chambly Fort Chambly, au Québec, sur un timbre de 32 cents (Corel Professional Photos). Montgomery, mort de Le général américain Richard Montgomery et ses officiers ont été tués pendant l'attaque lancée par les Américains contre Québec, le 31 décembre 1775, (avec la permission des Bibliothèque et Archives Canada/C-46334). L'Histoire des femmes aux États-Unis : Une histoire des droits humains 1L’idée de cet article m’est venue il y a un ou deux ans, lorsque j’ai remarqué que dans mon université la fréquentation des cours sur l’histoire des femmes aux États-Unis déclinait, tandis que celle des cours consacrés aux droits humains augmentait. Lorsque de jeunes progressistes décrivaient les causes pour lesquelles ils s’engageaient, ils citaient moins souvent le féminisme et plus fréquemment les droits humains. Il m’a semblé que les jeunes femmes avaient conclu – sans pouvoir le formuler clairement – que le féminisme était égoïste, puisqu’il limitait ses combats aux intérêts particuliers d’un groupe unique, dont elles faisaient partie, alors qu’un engagement en faveur des droits humains semblait plus généreux et plus ouvert. 2Il est pourtant évident que presque toutes les causes embrassées par les féministes au cours des deux derniers siècles relèvent des droits humains. « J’ai souvent pensé qu’une grande partie des 10 000 dollars qu’il en avait tirés m’appartenait.
1775-1783 - La guerre d'Indépendance Tout vient d'une affaire de gros sous. L’Angleterre, lourdement endettée à l'issue de la guerre de Sept Ans (1756-1763), décide de taxer les habitants de ses Treize colonies d'Amérique qui ont été les principaux bénéficiaires de la victoire. Quoi de plus normal, après tout ? Mais lesdits habitants ne l’entendent pas de cette oreille. « No taxation without representation » (pas d’impôt sans représentants au Parlement), proclament-ils, ce qui ne manque pas non plus de logique… Il va s'ensuivre une guerre civile et l'indépendance des États-Unis d'Amérique.
Robert Darnton: «C’est l’élite qui lisait les livres qui a commencé la Révolu... C’est l’image du chercheur d’or qui vient à l’esprit quand on lit les livres de l’historien américain Robert Darnton et quand on a la chance de le rencontrer à l’occasion de la parution récente d’Un tour de France littéraire. Le monde du livre à la veille de la Révolution. D’ailleurs, il emploie lui-même le mot de «mine» pour décrire sa découverte, un beau jour de 1965, à Neuchâtel, du fonds d’archives de la Société typographique de cette même ville, nom d’une maison d’édition qui a connu de grandes heures entre 1769 et 1789. La Société typographique de Neuchâtel (STN) est la seule maison d’édition du XVIIIe siècle dont les archives soient parvenues quasi intactes et au complet jusqu’à nous.
Documentation relative à l'Independance américaine (site: Ministère de l'education de la Saskatchewan) Qui détient l'autorité suprême sur les treize colonies? D'après la loi, c'est le Parlement qui détient l'autorité suprême en Grande-Bretagne, y compris dans toutes ses colonies, dans quelque partie du monde qu'elles se trouvent. La Grande-Bretagne est disposée à donner à ses colonies une certaine marge de liberté et d'autonomie, mais elle n'entend pas leur accorder un pouvoir législatif égal à celui du Parlement. Celui-ci devra toujours détenir l'autorité suprême sur l'ensemble du peuple britannique. Toutes les colonies doivent rester dépendantes de la Grande-Bretagne et se soumettre aux politiques établies par le roi et le Parlement.
guerre de l'Indépendance américaine Conflit armé qui opposa les treize colonies anglaises d'Amérique du Nord à l'Angleterre, d'avril 1775 à novembre 1782 et qui aboutit à la formation d'États unis indépendants. 1. Les treize colonies À l'origine, la première entreprise anglaise en Amérique du Nord fut celle de Walter Raleigh, en Virginie (1585-1589) ; elle n'eut pas de résultat immédiat, et la mise en valeur de ce pays ne commença vraiment qu'à partir de 1607. Par la suite, douze autres colonies furent fondées, peuplées pour la plupart d'émigrants ayant quitté la métropole pour des raisons religieuses.
La révolution française Loin de croire qu’il serait nécessaire de « tout » balayer pour bâtir à neuf, Rousseau au contraire ne cesse de montrer que la vie des corps politiques et des institutions repose sur les mœurs, sur la « loi, gravée dans le cœur des citoyens ». Quand un penseur est persuadé comme il l’est, que les relations sont indissolubles entre politique et éducation, il ne saurait prêcher révolution et guerre civile. Il y a plus : aucune philosophie politique n’est programmatique. Penser la nature du politique ne consiste pas à élaborer des propositions de changements. Or, la notion de contrat social, comme celle de volonté générale, ne désignent aucun phénomène réel, passé ou à venir ; rappelons qu’aucun penseur du « pacte social » à l’âge classique ne songe à une situation primitive qui aurait existé, mais tous cherchent à cerner les principes sur lesquels se fonde toute société politique. Cela signifie que la volonté générale est la volonté de chacun et non une fictive volonté collective.