Antivaccin, à l’origine du doute. Antibiorésistance, la résistance s’organise. En France, chaque année, l’antibiorésistance est responsable de 125 000 infections, et de 5 500 décès et ces chiffres sont amenés à augmenter, à mesure que sont découvertes de nouvelles souches bactériennes pluri-résistantes contre lesquelles même les antibiotiques de dernier recours ne fonctionnent plus. En novembre dernier, le gouvernement a débloqué un fonds de 40 millions d’euros d’investissements, pour tâcher de découvrir de nouvelles pistes thérapeutiques, la phagothérapie, très prometteuse, prenant plus de temps à se développer entre autres pour des raisons d’imbrevetabilité, et de manque de rentabilité pour les laboratoires pharmaceutiques.
Antibiorésistance : la résistance s’organise : c’est le programme combatif qui est le nôtre pour l’heure qui vient. Bienvenue dans La Méthode scientifique. Glyphosate, un débat empoisonné. La diffusion, le 17 janvier dernier, d’un numéro d’Envoyé Spécial consacré au glyphosate a relancé le débat, particulièrement vif, sur la dangerosité réelle de cet herbicide. Malgré une littérature scientifique abondante, les pratiques condamnables de la firme Monsanto, révélées dans les Monsanto papers, empêchent d’avoir une approche raisonnée et d’examiner méthodiquement ce que la science peut dire, dans l’état actuel de ses connaissances, sur cette molécule et ses adjuvants, débat rendu d’autant plus complexe par le fait que n’importe quel utilisateur des réseaux sociaux est convaincu de détenir une certitude que des cohortes de scientifiques ont tant de mal à établir…
Dernières nouvelles du cancer. Il ne se passe pas une semaine sans sa pléthore de publications scientifiques liées à la recherche contre le cancer. Guère de temps non plus entre chaque flopée de grands titres type : « nouvelle percée thérapeutique » ou « une piste vers un nouveau traitement révolutionnaire » voire « bientôt la fin du cancer ». Que faut-il penser de l’objectif de 3 cancers guéris sur 4, et de 9 enfants sur 10 à l’horizon 2030 ? En cette journée internationale de lutte contre le cancer, nous faisons le point complet sur l’état de la recherche en oncologie, des nouveaux traitements prometteurs aux pistes de dépistage précoce.
Dernières nouvelles du cancer : c’est le programme exhaustif qui est le nôtre pour l’heure qui vient. Bienvenue dans La Méthode scientifique. Nanomédecine : un médecin dans ma cellule. « There’s plenty of room at the bottom », prophétisait le physicien Richard Feynman à la toute fin des années 50, il y a plein de place en bas tout en bas, dans l’infiniment petit à l’échelle nanométrique soit un milliardième de mètre et notamment dans le domaine médical.
La nanomédecine, rendue possible par les progrès technologiques, promet depuis le début de ce nouveau siècle des traitements ciblés, personnalisés, notamment en cancérologie, qui vont livrer le médicament directement au cœur de la cellule concernée. Thérapies in utero : une nouvelle médecine en gestation ? DMLA, un problème central. Ce qu'on sait, ce qu'on ne sait pas (4/5) : Le cerveau en deux ou trois questions. Le 2 avril 2013, Barack Obama lançait l'initiative BRAIN , un programme de recherche visant à révolutionner la compréhension du cerveau humain :
Immunothérapie : vers un traitement universel du cancer. En quoi consiste l’immunothérapie ?
D’où vient cette technique ? Pourquoi dit-on que cette méthode est “révolutionnaire”, qu’elle propose un changement radical de point de vue dans la manière de considérer le cancer ? Scientists Are Reversing the Symptoms of Alzheimer's. In Brief The testing of injecting RNA into Alzheimer's patients to reduce the levels of tau proteins is a possible new treatment for the more than 5.1 million people living with Alzheimer's.The treatment has shown some limitation in the testing done on chimps, more testing will be done on primates to discern the safety and efficacy on humans.
The Reality of Alzheimer’s Disease In the U.S. alone, approximately 5.1 million people may have Alzheimer’s disease. Although not associated directly with the aging process, older age groups are at higher risk of developing it. The illness doesn’t seem to be slowing down either. Unfortunately, these are the harsh facts behind Alzheimer’s. L'immunothérapie oui, mais pour qui ? - Sciencesetavenir.fr. Un premier facteur génétique permettra de prédire la réponse à l'immunothérapie.
Car nous ne sommes pas égaux face au traitement. Chez certains, cela marche, chez d'autres moins, voire pas du tout. Vent en poupe pour l'immunothérapie, la nouvelle arme anti-cancer - Sciencesetavenir.fr. BOOSTER.
Encore confidentielle il y a quelques années, l’immunothérapie, cette approche qui cherche à booster le système immunitaire pour lutter contre les tumeurs, occupe désormais une place d’honneur dans la lutte contre le cancer. Pour preuve, l’intérêt grandissant que lui portent les spécialistes réunis au 50e congrès de l'ASCO (Société américaine d'oncologie clinique), la plus grande conférence internationale consacrée au cancer qui se déroule actuellement à Chicago.
Mais à peine entrée dans la pratique quotidienne des cancérologues, cette approche pose déjà de nombreuses questions quant à son usage et son évaluation. Un système immunitaire actif est associé à une moindre risque de récidive tumorale. L'immunothérapie pour les cancers : espoirs et limites - Sciencesetavenir.fr. Et pourquoi ne pas programmer à l’avance la mort des cellules cancéreuses ?
Tel est le but aujourd’hui recherché par les scientifiques qui sont de plus en plus nombreux à croire à cette voie dite de l’immunothérapie anti-cancer. Doper les cellules immunitaires pour combattre la tumeur en formation Cette stratégie astucieuse consiste, chez une personne présentant un cancer, à doper ses propres cellules immunitaires, les lymphocytes, pour que ceux-ci, normalement mobilisés pour lutter contre les agents infectieux et étrangers, détruisent aussi les cellules qui prolifèrent afin de combattre la tumeur en formation. Leucémie : le traitement génétique fait ses preuves - Sciencesetavenir.fr. NUMÉRIQUE.
Cancer : l'immunothérapie prouve son efficacité face à des tumeurs "solides" - Sciencesetavenir.fr. L’immunothérapie gagne encore du terrain, avec de nouvelles études présentées dès les premières minutes de l’ouverture officielle de l’Asco, le congrès de la Société américaine d'oncologie clinique, le 29 mai 2015.
Cette fois, son intérêt est pour la première fois démontré face à d’autres organes que la peau, soit pour certaines tumeurs dites solides, localisées au niveau du foie, de la tête et du cou, ou du poumon. Une avancée d’autant plus intéressante qu’il s’agit là de tumeurs difficiles à traiter. Exemple avec le cancer du foie à un stade avancé. Traiter le cancer : la petite révolution de l’immunothérapie. Traiter le cancer en utilisant notre propre système de défense : c’est le principe de l’immunothérapie.
Donner les moyens à notre corps de se défendre lui-même contre le cancer, ne serait-ce pas la solution ? Car si les cellules de notre défense immunitaire sont effectivement capables de réagir face aux tumeurs, leur réaction est trop faible pour être efficace. Ensuite, comme l’explique Christine Chomienne, directrice de la recherche et de l’innovation à l’Institut national du cancer (INCA) « la cellule cancéreuse est assez intelligente pour bloquer l’action de notre système immunitaire » ce qui lui permet de proliférer en toute impunité. Les chercheurs ont donc orienté leurs recherches sur un traitement qui pourrait provoquer une stimulation des défenses immunitaires face au cancer. Les promesses de l’immunologie.
Auteur d’un récent ouvrage sur l’immunologie, Philippe Kourilsky, professeur émérite au Collège de France et ancien directeur de l’Institut Pasteur, évoque les succès, les échecs et les espoirs de cette discipline dont il est l’un des grands spécialistes mondiaux. L’immunologie existe au moins depuis le XIXe siècle. Pourtant, dans votre livre Le Jeu du hasard et de la complexité, vous parlez de la « nouvelle science de l’immunologie ». Pourquoi ? 50 ans de l'INSERM - L'Immunothérapie : arme fatale contre le cancer du troisième millénaire - 2014-04-03 (Webcast CC-IN2P3/CNRS ) Cancer du cerveau : un traitement expérimental par immunothérapie. Un patient en phase terminale d’un cancer du cerveau était encore vivant un an après son traitement par immunothérapie. Un homme de 50 ans a bénéficié d’un traitement expérimental à Los Angeles fondé sur l’immunothérapie pour traiter son cancer du cerveau, selon une étude publiée par le New England Journal of Medicine.
Cette approche consiste à utiliser les défenses immunitaires du patient pour les transformer en cellules «armées» (dites CAR) afin de vaincre la maladie. L’immunothérapie en passe de révolutionner le traitement du mélanome et du cancer du poumon - Le Temps. Immunothérapie : et si la clé contre le cancer résidait dans notre intestin ? - Sciencesetavenir.fr. Immunothérapie anticancer : feu vert au premier essai clinique utilisant CRISPR - Sciencesetavenir.fr. Deux immunothérapies combinées plus efficaces contre le mélanome mais plus d'effets secondaires - Sciencesetavenir.fr. Les dernières méthodes de traitement contre le cancer : analyse. Par Sascha Karberg, journaliste scientifique. L'immunothérapie freine la maladie d'Alzheimer - Sciencesetavenir.fr. Premiers essais réussis pour un anticorps contre la maladie d'Alzheimer - Sciencesetavenir.fr.
Alzheimer: des souris recouvrent la mémoire grâce à l'immunothérapie. Papillomavirus, à cause des garçons. Cancer : de nouveaux espoirs thérapeutiques ? VIH en France, une épidémie à 2 vitesses. Que sait-on de ce que fait un cerveau ?