«Il faut urgemment mettre fin au port du masque pour les enfants» Le Grand Oral – La Première: « Ce confinement, c’est l’aveu d’un échec collectif » – Isabelle Ferreras. La sélection poursuit son train-train… L’image des trains bondés vers la côte suscite le débat et les réactions politiques.
Écouter les enfants et les jeunes ? Oui mais non. Une situation alarmante Détresse psychologique.
Décrochage scolaire. "Douche froide", "décalage important", "presque sans aucune décence": une experte se livre sur son expérience au sein du GEES. Céline Nieuwenhuys, secrétaire générale de la Fédération des services sociaux, est revenue sur son expérience au sein du GEES, le groupe d'experts chargés d'élaborer une stratégie de sortie au printemps dernier.
Dans le cadre d'un projet de l’Ecole de la Transformation Sociale, elle réagit face caméra, durant 27 minutes, à diverses thématiques qui lui sont présentées, sans débat contradictoire avec un journaliste. Si elle a tout d'abord été transcendée par l'ampleur de l'enjeu, Céline Nieuwenhuys confie aussi avoir déchanté face aux "décalages" et à la "difficulté de faire entendre ses idées".
"Je me suis rendu compte que l'argent était maître, parfois au détriment de la santé", explique-t-elle. Se connecter à Facebook. L’interview qui ne sera pas publiée: On a utilisé le canon pour tuer une mouche. Et on n’a même pas réussi à tuer la mouche – Démystifier la finance. Dans le courant du mois de janvier, une journaliste belge m’a interrogé sur l’analyse de la maniere dont les autorites ont géré la crise sanitaire en Belgique.
Ce numéro 0 d’un nouveau media ne sera pas publié . Je le confie à mon blog du Monde: il est actuel et dépasse largement les frontières du pays. Quelle est votre analyse de la manière dont la Belgique, ce pays compliqué, gère la crise ? Je reconnais une chose à notre [Premier Ministre] Sophie Wilmès : elle a réussi l’impossible en mettant les régions et le fédéral autour de la table pour gérer la crise. Pour moi, s’il y a eu une spécificité de la Belgique, cela a été quelque chose de particulièrement cruel : à l’époque de Noël vous ne pouviez inviter qu’une personne. Pour la première fois de ma vie je vais me rebeller. Je n’accepte plus que mes enfants soient privés de tout contact. Le gouffre ?
C’est celui dans lequel mes enfants sont noyés. À l’âge où le monde devrait leur ouvrir ses portes, à l’âge des découvertes, à cet âge où j’ai choisi de devenir architecte pour apporter ma pierre à notre société, eux sont paralysés par des principes de précaution qui leur sont totalement étrangers. Laurent de Sutter : " Chers vivants, la vie n'est pas dans l'essentiel, mais bien dans l'accessoire. "
LA CULTURE N'EST PAS UNE VARIABLE D'AJUSTEMENT ! - Gang des Vieux en ColèreGang des Vieux en Colère. Le mouvement citoyen GANG DES VIEUX EN COLÈRE est solidaire du monde culturel qui nous apporte à tous, chaleur et nourriture de l’âme, aux Vieilles comme aux plus jeunes, aux Vieux comme aux moins vieux.
Laisser mourir la culture c’est abandonner nos enfants à la barbarie… PARU DANS LA PRESSE ce samedi 17/12/2020 : Fabien Heuze. Je suis le spectateur de Hold-up. C’est un exercice périlleux que de chercher à dire encore « quelque chose d’intelligent » sur Hold-up, après la somme de « discours critiques » produits depuis la sortie de ce film.
Si mon propos assumera la fonction d’une « déconstruction », il s’agira moins d’une déconstruction de la mécanique du film à partir d’une position extérieure immunisée, que d’une déconstruction de cette position extérieure immunisée, au profit d’une autre posture de commentaire. L’un des gestes quasi automatiques des postures critiques qui se sont appliquées à Hold-up a consisté à coller l’étiquette « conspirationniste » sur ce film. À partir d’une position de savoir assurée sur ce qu’est le conspirationnisme, sur ce que sont ses « procédés fallacieux », sur les normes auxquelles doit répondre un « discours de vérité », il s’agit de recouvrir toutes les lectures possibles du film d’un même label qui les discrédite d’emblée. des citoyens parlent aux citoyens.
«Une école en bonne santé se construit dès à présent tous ensemble!» Le « retour à l’anormal » n’est plus envisageable !
Dans un monde en crises multiples, beaucoup de jeunes ont du mal à se projeter positivement dans l’avenir et subissent plutôt les pressions et l’anxiété ambiante. L’école ne permet pas aujourd’hui d’inverser cette tendance. Les jeunes, à l’instar des adultes, ont besoin de projets porteurs de sens, en lien avec leurs préoccupations dans une société mouvante, mais aussi d’interactions, d’autonomie, de confiance.
Or, l’école est en réalité trop cloisonnée et, il faut bien l’avouer, dépassée : l’accent est mis de manière excessive sur les matières et les programmes au détriment d’une dynamique tout aussi fondamentale pour former des jeunes citoyens critiques, responsables, impliqués… Sondage sur les impacts des mesures contre la pandémie - Amnesty International Belgique. Ce mercredi, Amnesty International rend publics les résultats d’un sondage réalisé en Wallonie et à Bruxelles entre le 20 août et le 3 septembre 2020 par l’institut Dedicated sur les perceptions et les préoccupations de la population en Fédération Wallonie-Bruxelles en ce qui concerne ses libertés et ses droits fondamentaux suite aux mesures prises pour lutter contre la pandémie de COVID-19.
Ce sondage révèle notamment que plus d’un Belge francophone sur deux (57 %) pense que la crise sanitaire va avoir des répercussions assez négatives/très négatives sur les droits humains. Parallèlement, 44 % des personnes sondées estiment que les mesures destinées à lutter contre la pandémie de COVID-19 vont nuire aux droits humains et aux libertés individuelles. Adhésion relative aux mesures anti-covid mais une vigilance aux droits et libertés Les domaines d’inquiétudes des Belges francophones face à la crise sanitaire Les chiffres importants du sondage Amnesty-dedicated. Le grand Oral : Maître de recherche au FNRS et professeure de sociologie à l'UCLouvain sur Auvio. Comment le masque modifie la communication entre les personnes. La communication humaine s'étend bien au-delà des mots.
Une mâchoire qui se contracte, un nez qui plisse ou une bouche pincée sont autant d'indices qui nous permettent de comprendre le message de notre interlocuteur. Mais, derrière un masque, ces signes sont bien plus difficiles à déchiffrer. Comment communiquer lorsque, partout, les visages sont à demi cachés ? Il n'est certainement pas question de remettre en cause le port nécessaire du masque en période d'épidémie, mais simplement de mesurer son impact sur les échanges humains. Comment le masque modifie la communication entre les personnes. Quels sont les risques de contamination au covid-19 chez les enfants ? Démêlez le vrai du faux en répondant à notre quiz.
C'est la rentrée ce mardi pour la plupart des élèves de primaire et de secondaire. Une rentrée en code "jaune" et placée sous le signe de la pandémie de covid-19, qui soulève bien des questions et des angoisses chez les parents, mais aussi les enseignants. Newsletter info Recevez chaque matin l’essentiel de l'actualité. OKNe plus afficher × Certains parents craignent que leur enfant soit contaminé, ou ne comprennent pas pourquoi les élèves de primaire peuvent entrer à l'école sans masque, contrairement à ceux du secondaire.
"Pas de sorties culturelles en secondaire": l'Eden fait de la résistance et mettra de la musique dans une vingtaine d'écoles à Charleroi - DH Les Sports+ L'annonce était tombée comme un coup de massue : les écoliers de secondaire ne feront plus de sorties culturelles jusqu'à nouvel ordre. Pile au moment où le secteur culturel est dans un gouffre abyssal creusé par la Covid - et par les règles sanitaires qui ont suivi, où les centres culturels et les salles se demandent comment ils vont réussir à survivre sur leurs maigres budgets, et où les artistes eux-mêmes continuent à se trouver dans une situation alarmante financièrement. C'en était trop pour l'Eden, le centre culturel de Charleroi. Carte blanche: «La lecture des impacts du Covid-19 varie selon selon les tranches d’âge» Pour nombre d’entre nous, il s’agit d’une véritable effraction psychologique associant au véritable deuil d’une vie sociale habituelle, une effraction économique, génératrice d’une angoisse majeure.
Les jeunes, enfants et adolescents, vivent la situation différemment ; vu leur âge, la modification de leur mode de vie est d’une autre nature. Carte blanche: «Il est nécessaire et urgent de revoir totalement la gestion de la crise Covid-19» Ces groupes de travail devront évaluer objectivement les bénéfices et les conséquences néfastes du système de confinement imposé par le gouvernement afin de les mettre en balance.
L’efficacité des mesures prises pour limiter la propagation du virus doit être évaluée. Enseignement : le remède, à savoir le masque, est-il pire que le mal ? Une opinion de Virginie Maingain, Julie Baivier, Charlotte Bellière, Julie Dock, Nathalie Leroy, Marie Poncin, Sandrine Rousseaux, enseignantes en Daspa – Dispositif d’accueil et de scolarisation des élèves primo-arrivants et assimilés. Jeudi 20 août, aux alentours de 13 h. La Première ministre prend la parole à son pupitre pour s’adresser à la nation. À ses côtés, les représentants des entités fédérées. Face à elle, un parterre de journalistes de tout le pays.
Elle ne porte pas de masque. Un peu plus tard dans la journée, les plateaux de télévision du pays commentent les récentes décisions du Conseil national de sécurité. Le rôle du "body langage" Thomas Gunzig, écrivain : "Rien ne justifie rationnellement et économiquement qu’on n’aide pas les artistes et la culture" La culture, un besoin vital en temps de crise. De nombreux pays ont fermé leurs musées, salles de spectacle et autres lieux culturels en vue de stopper la pandémie de COVID-19. La culture se déplace en partie sur l'internet, les réseaux sociaux et aux balcons des habitations des grandes villes. Aujourd'hui, nous sommes confrontés à une crise mondiale sans précédent, jamais connue au cours de ce siècle. Facebook. «Comment pourra-t-on donner du sens à l’enseignement sans sorties culturelles?»
Respect du port du masque et des gestes barrières : et si on arrêtait les bêtises ? Chloroquine Wars. Je ne pense rien de la chloroquine, de… Didier Raoult « Plus on s'affole, moins on soigne bien les gens » - Vidéo Dailymotion. L’état de droit est totalement oublié dans cette crise sanitaire. En mars dernier, la crise du coronavirus a été considérée comme un danger qui menaçait la vie de la nation. Il n’est pas critiquable que des mesures exceptionnelles soient prises lorsque les gouvernants estiment que pareil danger existe.
Par contre, porter atteinte de manière massive aux droits humains et aux libertés fondamentales exige au minimum le respect de l’état de droit. Des dérogations massives (2) aux droits humains et aux libertés fondamentales ont été décidées et ordonnées (3) : Pareil régime d’exception est-il légal en Belgique ? Libertés, « anti-masques » et extrêmes droites – Front Antifasciste Liege 2.0. Nous partageons avec plaisir cette contribution qui nous a été envoyée par deux sympathisant·es. Aux États-Unis, en Espagne, en Italie, en Allemagne, mais aussi en Belgique et ailleurs, les extrêmes droites tentent de récupérer la confusion et la colère légitime d’une partie de la population. Crise de la Covid-19: la tyrannie du risque zéro. Coronavirus : dans quelle mesure peut-on relativiser le nombre de morts du Covid-19 en Belgique et dans le monde ?
Ouvertures immédiates / Immediate openings. Faut-il s’inquiéter de l’augmentation des “nouveaux cas” de COVID-19 en Belgique ? Article-opinion-1315021. Les faits sur le Coronavirus – Swiss Policy Research. Les faits sur le Coronavirus – Swiss Policy Research. Drôle de rentrée: et si on en profitait pour réinventer l’école? Sudinfo. Reprise des cours: le 2 juin pour les écoles maternelles, le 5 ou le 8 pour les primaires (Bruxelles) Finalement, tous les élèves pourraient rentrer à l'école avant la fin de l'année: pourquoi ce revirement de situation ?
Cartaacademica. Persistance et efficacité des anticorps neutralisants contre le SARS-CoV-2 : état des connaissances et leçons des autres coronavirus humains. L'appel d'une maman : "À qui de droit et de responsabilité" - LeVif Weekend.be. Carte blanche: «Ouvrir les écoles pour libérer la société» Un appel de Vincent Lindon : « Comment ce pays si riche… » Le monde de l’enseignement à l’épreuve de l’Après. “Seconde vague” : une bonne leçon de la philosophe Hannah Arendt. Lettre à Sophie Wilmès: bien plus qu’un «besoin» de s’exprimer. «Madame Wilmès, pour le secteur culturel, cette crise est déjà une catastrophe!» Mon élève, j’aurais aimé te dire au revoir autrement. Pour un retour à l'école... mais pas n'importe lequel. Facebook. Facebook. Les adolescents face au confinement. Sinistrée par la crise liée au coronavirus, la culture a besoin de projets. FWB Circulaire 7550 (7803 20200425 153614) “Cet inconfort que l’on ressent, c’est le deuil” – missphilomene.
Les mesures strictes de confinement ont un impact très faible sur la propagation du coronavirus, selon une étude belge. Les adolescents face au confinement. Covid-19 : Quatre scénarios pour l’après-crise - Iweps. Ce que le confinement nous apprend de l’économie. Les laboratoires de biologie clinique agréés en colère contre le gouvernement. Le monde d'après (2) : impréparation, les leçons à tirer. «L’enjeu du confinement : réduire les inégalités scolaires ou les augmenter?» La Relève et La Peste. Grossophobie : "Je suis grosse et je refuse d'être votre enfer de confinement" (16) Alain Damasio : «La police n’a pas à être le bras armé d’une incompétence sanitaire massive»