Neural correlates of maintaining oneâs political beliefs in the face of counterevidence. Ahluwalia, R.
Examination of psychological processes underlying resistance to persuasion. J Consum Res 27, 217–232, doi: 10.1086/314321 (2000).Article Google Scholar Jacks, J. Z. & Devine, P. G. Attitude importance, forewarning of message content, and resistance to persuasion. Biais cognitifs : comment notre cerveau nous manipule-t-il ? [Trad.] Les biais cognitifs expliquent la croyance religieuse, la croyance paranormale et celle dans le but de la vie. (Aiyana K. Willard, Ara Norenzayan, 2013) — Le blog d'Utopia. Les sources citées entre parenthèses sont présentées dans leur forme complète dans le document. 1.2.
Théories cognitives de la croyance religieuse. Notre cerveau archaïque nous rend vulnérables aux théories du complot. "La dérégulation du marché de l'information avec l'arrivée d'Internet, conjugué au fonctionnement archaïque de notre cerveau vis-à-vis des signaux de danger, font que les hommes préhistoriques sont de retour", estime le Pr Gérald Bronner, sociologue, à l'une des séances hebdomadaires publiques de l'Académie de Médecine de Paris, dont il est membre, le 13 février 2018.
Codex des Biais Cognitifs. Codex des Biais Cognitifs. L’effet Mandela, ou quand notre mémoire construit des réalités parallèles. Untitled. Une corrélation trouvée entre les ventes d’aliments bio et l’autisme (et ce que ça veut dire) En bref: Il existe une corrélation entre les ventes de nourriture bio et les cas d’autisme diagnostiqués.Bien sûr, les aliments bio ne causent pas l’autisme.C’est un bel exemple de qui illustre bien pourquoi il faut faire attention à ce genre de raisonnement.
Je me suis toujours méfié des aliments bio. Pourquoi cette industrie vient-elle chambouler notre système agroalimentaire? Spurious Correlations. Collectif de Recherche Transdisciplinaire Esprit Critique & Sciences. Il existe un biais cognitif qui nous conduit à croire que nous sommes justement moins victimes de biais que les autres personnes.
Ce biais se nomme en anglais bias blind spot, appelé régulièrement en français « illusion de l’unique invulnérabilité ». Il est une des variantes du biais du supériorité, qui conduit les individus à croire qu’ils ou elles ont de meilleures capacités que les autres. On peut par exemple très facilement croire ne pas être influençable par des liens d’intérêt financiers avec le monde industriel lorsqu’on est chercheuse ou chercheur, alors que le biais de financement montre que ces relations ont des conséquences sur les résultats des études. Illustration avec cet extrait d’Envoyé Spécial de décembre 2013 intitulé « Conflits d’intérêt : les liaisons dangereuses ». En général, les individus reconnaissent volontiers leurs liens d’intérêt, mais affirment cependant que ces liens n’influencent pas leur action, uniquement celles de leurs pairs. L’illusion de profondeur explicative – Esprit Critique.
Nous avons tendance à surestimer notre compréhension du fonctionnement de nombreux dispositifs.
C’est cette illusion de profondeur qui nous fait croire que nous savons, par exemple, comment fonctionne une arbalète, un microscope, ou… une chasse d’eau. Pourtant, lorsqu’on nous demande d’expliquer en détails ce que nous croyons savoir, nous sommes souvent pris au dépourvu. Un des articles ayant mis à jour cette illusion est celui de Rozenblit et Keil paru en 2002 dans la revue Cognitive Science. En 12 études, les chercheurs montraient la robustesse de cette illusion. Climat, vaccins, OGM… les Français acceptent la science quand ça leur plaît. Le récent décret du président Trump n’a fait que confirmer les craintes des scientifiques et de la société civile sur sa politique climatique.
Son investiture avait d’ailleurs suscité de vives réactions, qui ont notamment pris corps à travers l’organisation d’une Marche pour la science, prévue le 22 avril un peu partout dans le monde, y compris en France. Les Français sont souvent prompts à pointer du doigt les Américains au sujet de leur relation tumultueuse avec la science, en particulier en ce qui concerne le changement climatique et l’évolution des espèces.
Et pour cause, ils sont à peine plus d’une moitié à attribuer le changement climatique aux activités humaines et seulement un tiers à considérer que les êtres vivants ont évolué par sélection naturelle. D’où viennent de tels décalages entre la perception du public et l’opinion de la communauté scientifique ? Déni de science au pays de Descartes. Dans une publication récente, les chercheurs Lee et Oh concluent que le nombre de retweets est compris comme un indice de fiabilité de la part des Internautes.
Ainsi, plus une « information » est partagée, plus elle est considérée comme fiable et crédible. Ce phénomène pourrait expliquer comment certaines informations se répandent de manière incontrôlable à partir d’un nombre de retweets formant une « masse critique ». Voici une traduction du résumé de l’article : Cette étude vise à comprendre l’impact des normes sociales sur la crédibilité perçue et la transmission d’un message sur Twitter, ainsi que le mécanisme sous-jacent. En utilisant deux types d’informations (des nouvelles réelles et des rumeurs) présentées comme des tweets, nous avons analysé l’influence du nombre de retweets en tant qu’indice de fiabilité. Référence. Biais cognitif.