Axe2 paix diapo. Le Programme alimentaire mondial prix Nobel de la paix. Kofi Annan, une vie au service de la paix. Kofi Annan, une vie au service de l’ONU. Kofi Annan est le premier Secrétaire général de l’ONU à sortir des rangs du personnel de l’organisation : lorsqu’il est élu, il a déjà travaillé 35 ans comme fonctionnaire international à l’ONU, dont il a gravi tous les échelons.
Il connaît donc bien l’organisation de l’intérieur. Une formation internationale et une carrière précoce aux Nations unies Né en 1938 au Ghana, il apprend très tôt plusieurs langues : l’anglais, le français et de nombreuses langues africaines. Durant son enfance, son père travaille pour une filiale d’Unilever et la famille déménage souvent à travers le pays, ce qui lui permet de découvrir différents groupes de population du Ghana.
Le jeune Kofi grandit à l’époque de N’Krumah, période enthousiasmante des indépendances. 1648 : La paix de Westphalie - ARTE. Raymond Aron. Raymond Aron en 1966. signature Raymond Claude Ferdinand Aron[1], dit Raymond Aron, né le 14 mars 1905 à Paris 6e et mort le 17 octobre 1983 (à 78 ans) dans la même ville, est un philosophe, sociologue, politologue, historien et journaliste français.
Il enseigne pendant trente ans, notamment à l'Institut d'études politiques de Paris et à l'École des hautes études en sciences sociales, et devient titulaire de la chaire de « Sociologie de la civilisation moderne » au Collège de France en 1970. Il est un commentateur reconnu de Marx, Clausewitz, Kojève et Sartre. Grâce à des compétences et des centres d'intérêt multiples — en économie, sociologie, philosophie, géopolitique — il se distingue et acquiert une grande réputation auprès des intellectuels. Il est élu en 1963 à l'Académie des sciences morales et politiques.
Famille[modifier | modifier le code] Raymond Claude Ferdinand Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu aisé des deux côtés. Études[modifier | modifier le code] Carl von Clausewitz. Biographie[modifier | modifier le code] De 1816 à 1818, il est membre de l'état-major du général August Neidhardt von Gneisenau à Coblence.
Henry Kissinger. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Henry Kissinger, né Heinz Alfred Kissinger ([haɪnts ˈalfʁɛt ˈkɪsɪŋɐ]) le à Fürth en Allemagne, est un politologue et diplomate américain. Juif et allemand de naissance, il émigre aux États-Unis en 1938 pour fuir les persécutions nazies et est naturalisé en 1943. Interprète pour les services secrets durant la Seconde Guerre mondiale en Europe, il devient pour une courte période administrateur de la ville de Crevelt. Henry Kissinger est avec le milliardaire David Rockfeller et Zbigniew Brzezinski, un des membres importants de la commission trilatérale, un groupe regroupant les hommes d'affaires et les politiciens les plus influents au monde, et visant à favoriser la doctrine mondialiste [1],[2],[3],[4]. Il est actuellement président de Kissinger Associates dont il est également le fondateur.
Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et éducation[modifier | modifier le code] L’ONU, un mécanisme imparfait mais indispensable. L’ONU a fêté l’année dernière son 70e anniversaire.
Au terme de 70 ans d’existence de l’ONU, quel bilan tirer de cette institution dont beaucoup critiquent l’inaction ou l’impuissance et que le général de Gaulle surnommait avec mépris « le machin » ? Certes, un tour d’horizon des enjeux actuels et passés peut donner l’impression que l’ONU a incontestablement échoué : elle a échoué à assurer la paix dans le monde. La guerre civile en Syrie aujourd’hui, qui dure depuis cinq ans et a causé un quart de millions de morts, mais aussi la guerre des Etats-Unis en Irak à partir de 2003, que l’ONU a dû avaliser pour ne pas perdre la face, ou encore le génocide du Rwanda en 1994-95 et le massacre de Srebrenica en ex-Yougoslavie en 1995, que l’ONU est restée incapable de prévenir et d’arrêter, l’illustrent.
Pourtant, l’ONU reste un mécanisme indispensable car il s’agit de l’instance mondiale la plus démocratique. Garantir la paix par la « sécurité collective » au XXe siècle. Le rôle pionnier de la SDN Désireux de rompre avec le système des alliances et de la diplomatie secrète que l’on accusait d’avoir provoqué le cataclysme de 1914-1918, le président américain, Woodrow Wilson, a placé la création de la SDN au premier rang des objectifs de la Conférence de la Paix de 1919 afin de faire désormais reposer le maintien de la paix sur des pratiques nouvelles. Le Pacte de la SDN, adopté le 28 avril 1919, dispose ainsi que « les membres de la Société s’engagent à respecter et à maintenir contre toute agression extérieure l’intégrité territoriale et l’indépendance politique présente de tous les Membres de la Société » (art. 10) et si l’un d’entre eux « recourt à la guerre, […] il est ipso facto considéré comme ayant commis un acte de guerre contre tous les autres membres de la Société » (art. 16).
Les moyens dont dispose la SDN pour faire respecter cet engagement sont toutefois assez minces. La faillite des années 1930.