Qu'est-ce que les GAFAM, et comment dominent-ils le monde grâce au Big Data. Les GAFAM : Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft.
Aussi appelés » Big Five « , ces cinq géants de la technologie dominent aujourd’hui le monde grâce au Big Data. Comment ces entreprises sont-elles devenues plus puissantes que les gouvernements, que font-elles de vos données, et comment l’Union européenne se débat-elle contre ce nouvel impérialisme ? Découvrez tout ce que vous devez savoir à travers notre dossier complet… Durant des siècles, des millénaires, le monde était dirigé par les gouvernements.
Où en sont les enquêtes sur les Gafam en France et dans l'Union européenne ? Google En France : actuellement, aucune enquête n'est diligentée par les autorités françaises.
A noter qu'en une année, Google a été condamné à 720 millions d'euros par l'Autorité de la concurrence dans deux litiges distincts, l'un sur le marché de la publicité en ligne et l'autre pour le non-respect de plusieurs injonctions concernant la rémunération des droits voisins des éditeurs et agences de presse. Dans l'Union européenne : - La Commission européenne a ouvert une enquête le 22 juin 2021 sur un possible comportement anticoncurrentiel dans le secteur de la publicité en ligne. GAFA, GAFAM ou NATU : les nouveaux maîtres du monde.
Ces start-ups parfois créées dans un garage sont ainsi devenues les plus grandes capitalisations boursières mondiales, et leurs patrons, des références iconiques de l’entrepreneur à succès.
Pourtant elles sont de plus en plus décriées pour leur mainmise tentaculaire sur l’économie mondiale et leur pratique de corsaire fiscal. Elles menaceraient même la souveraineté des États. Le poids des GAFAM Ces entreprises ont parfois à peine 20 ans (Facebook a été créé en 2004 et Google en 1998) et pourtant la capitalisation de chacune d’elles, à l’exception de Facebook dépasse les 1 000 milliards de dollars.
Pour donner un ordre de grandeur – bien que pas directement comparable – c’est l’équivalent du PIB d’un pays comme les Pays-Bas, qui émarge tout de même à la 17e place du classement des pays les plus riches du monde. Souveraineté numérique : Gaïa-X, le futur cloud européen bientôt lancé. Des hubs nationaux vont être mis en place non seulement en France et en Allemagne mais également en Suède, Luxembourg, Italie, Belgique, Pays-Bas, Slovénie et Finlande.
Le ministre français de l'économie a insisté sur le fait que le projet n’était pas seulement une collaboration entre la France et l’Allemagne mais un projet européen. Il incite les États de l’Union à poursuivre la coopération et invite les autres pays de l'UE à s’associer au projet pour protéger la souveraineté des données de leurs entreprises. Son homologue allemand a précisé que le projet Gaïa-X "n'a pas l'ambition de résoudre tous les problèmes mais de fédérer les forces européennes". Ainsi, il faudra s’appuyer sur les infrastructures existantes pour développer le projet. Gafam : quelle régulation possible pour les géants du numérique. L’acronyme Gafam emprunte ses initiales aux entreprises Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft.
Mais, par ce terme au sens élargi, on désigne à présent les entreprises innovantes et structurantes, à la tête de l’industrie numérique. En deux décennies, elles sont devenues des acteurs économiques mais aussi politiques majeurs. Le rapport met en avant l’importance de leur modèle de développement particulier et nouveau qui repose "de façon plus ou moins marquée sur la collecte de données personnelles", selon les auteurs.
Le rapport détaille la tendance très forte à la concentration sur le marché des plateformes numériques depuis le début des années 2000. Face aux Gafa, l'Inde veut reprendre le contrôle de ses données. L'Inde sort ses griffes.
Le gouvernement plancherait sur un projet de loi afin de compliquer l'expansion des géants américains de la tech sur son territoire. L'objectif : reprendre le contrôle des données de ses citoyens et favoriser l'écosystème local pour faire émerger ses propres mastodontes du numérique. Le projet de loi propose notamment de rendre obligatoire, pour les sociétés étrangères, le stockage des données personnelles des utilisateurs indiens - issues des réseaux sociaux, des moteurs de recherche ou encore des plateformes de e-commerce - sur son sol. Les données devront également être rendues accessibles aux autorités locales en cas d'enquête.
Ce projet "est sans précédent et doit être pris très au sérieux", a déclaré auprès du Wall Street Journal Vinay Kesari, avocat basé à Bangalore, et spécialisé dans les questions de réglementation, ayant travaillé avec des entreprises technologiques américaines. Désinformation sur Facebook : AOC a fait passer à Mark Zuckerberg un sale quart d'heure. Les sanctions de l'UE.
Les géants du numérique cherchent à se soustraire à l'impôt. La Chine construit ses géants du numérique. GAFAM vs BATX. Le Monde du 7 juin 2019 : GAFA toi même ! Qu'est-ce que la taxe Gafa ? - Economie & euro - Toute l'Europe. Alors que les géants du numérique sont en moyenne deux fois moins imposés que les entreprises traditionnelles en Europe, la France et l'UE plaident pour plus de justice fiscale sur le sujet.
Si Paris a voté sa propre "taxe" Gafa en juillet 2019, le texte est toujours à l'état de projet du côté de Bruxelles. Un projet ralenti par les désaccords entre les Vingt-Sept, mais aussi par l'hostilité américaine à une réforme au niveau mondial. Comment Facebook peut influencer le résultat d'une élection. YouTube. Les GAFAM. VIDEO. Taxe Gafa : "En tout état de cause, il y aura une taxation" des géants du numérique en 2020, "la France a tenu bon", affirme Bruno Le Maire. La France a proposé à Davos de suspendre pour 2020 le paiement des acomptes dus au titre de la taxe Gafa (pour Google, Apple, Facebook, Amazon), en échange de la négociation d'un accord plus global sur la taxation du numérique entre tous les pays développés.
"En tout état de cause, il y aura une taxation" des géants du numérique en 2020, "la France a tenu bon", a affirmé Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et des Finances, lundi 27 janvier sur franceinfo. L'idée d'un impôt sur les "Gafa" divise les États-Unis et les pays européens, notamment la France qui s'est dotée de sa propre taxe en juillet dernier, s'attirant les foudres de Washington qui menace de riposter par des droits de douane.
"Les plus grandes entreprises du numérique paieront une taxe en 2020, comme elles l'ont fait en 2019", a insisté le ministre. Quitte à déclencher une guerre commerciale avec les États-Unis ? Alternatives Economiques On va enfin pouvoir taxer les multinationales .pdf. Attac installe un "hôpital" dans un Apple Store. Le Huffpost et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires.
Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu.
Le PDG de Facebook s’excuse devant le Parlement européen. Publié le : 22/05/2018 - 11:12Modifié le : 22/05/2018 - 22:48 Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg a été auditionné par les chefs des groupes politiques au Parlement européen mardi.
Il a présenté ses excuses et a reconnu que le réseau social n’avait pas fait tout ce qu’il fallait pour empêcher les abus. Le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, s'est rendu mardi 22 mai au Parlement européen à Bruxelles pour s'expliquer sur les lacunes du réseau social dans la protection des données de ses utilisateurs, illustrées par le scandale Cambridge Analytica. Devant les députés européens, le PDG de Facebook a présenté ses excuses et a reconnu que le réseau social n'avait pas fait tout ce qu'il fallait pour empêcher les abus. Il a également déclaré être disposé à réaliser d'importants investissements pour protéger les données des utilisateurs de Facebook, des améliorations qui devraient avoir un impact significatif sur sa rentabilité.