Arrêté par le FBI pour l’assaut du Capitole, un policier dit qu'il n'était là que pour voir les œuvres d'art. Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Vice, Washington Post Les services fédéraux des États-Unis continuent d'enquêter pour identifier les protagonistes de l'assaut violent du Capitole, le 6 janvier dernier.
Le FBI vient d'ailleurs d'arrêter un policier de Houston, Tam Dinh Pham, raconte Vice, selon des documents judiciaires. Lors d'un entretien avec les agents fédéraux quelques jours plus tard, ce Texan leur a dit qu'il s'était rendu à Washington du 5 au 7 janvier «pour des raisons commerciales». Il a déclaré qu'il avait brièvement assisté au rassemblement trumpiste mais nié être allé au bâtiment du Capitole. Les agents du FBI ont ensuite demandé à voir son téléphone. Il a admis s'être rendu au rassemblement de Donald Trump pour «voir l'Histoire». Pour cela, le policier texan est allé jusqu'à escalader «plusieurs clôtures renversées», «contourner des barricades» avant de se frayer un chemin dans la rotonde du Capitole, note Vice.
As the final day of the Trump presidency passes, rehearsals and preparations are underway for the upcoming inaugural ceremony of President-elect Joe Biden and Vice President–elect Kamala Harris, set to take place on January 20.
Amid unprecedented security concerns and an ongoing pandemic, the visual landscape of Washington is different from any previous inaugural ceremony. Roads have been closed, concrete barriers and security fencing have been placed, and more than 20,000 armed National Guard troops have been deployed to the nation’s capital. My message to my fellow Americans and friends around the world following this week's attack on the Capitol. Les États-Unis peuvent-ils encore se permettre de donner des leçons de démocratie? Temps de lecture: 11 min.
Donald Trump nie toute responsabilité dans les violences au Capitole. Les enquêtes pourraient prendre « des mois », « des centaines d’inculpations » pourraient être prononcées et les coupables seront poursuivis, quelle que soit la gravité des cas.
Par la voix du procureur des Etats-Unis pour le district de Columbia, Michael Sherwin, le ministère américain de la justice a promis, mardi 12 janvier, la plus grande fermeté à l’égard des militants qui ont assailli et envahi le Capitole, mercredi 6 janvier. La nature des charges retenues couvrira un champ d’une « ampleur inégalée », a précisé le procureur : simple vol de document, intrusion dans un bâtiment fédéral, port d’armes, assaut sur les forces de l’ordre, mais aussi meurtre, « sédition et conspiration », passibles de vingt ans de prison. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Les émeutiers du Capitole, reflet de la galaxie trumpiste Plus de 170 enquêtes criminelles ont déjà été ouvertes et près de soixante-dix personnes ont été inculpées. Il vous reste 51.2% de cet article à lire. Trump Can’t Be Allowed to Escape Justice Yet Again. With Nancy Pelosi and her House colleagues planning an impeachment vote in the next few days if Trump’s Cabinet colleagues don’t act under the Twenty-fifth Amendment, it is tempting to dismiss stories like this one as mere bluster from Trump.
Unfortunately, that could be wishful thinking. Despite all the outrage sparked by last week’s riot, Trump still has grounds for believing that he won’t receive any immediate sanctions for openly inciting an insurrection. It’s conceivable that he could be punished further down the road, but even that is far from certain. Watch Video: How Mob Dragged and Beat Police at Capitol. The Jan. 6 assault on the Capitol building by a pro-Trump mob left a police officer and a rioter dead.
More than 50 members of the U.S. Capitol Police were injured, including 15 who required hospitalization, most of them with head wounds, according to Representative Tim Ryan, Democrat of Ohio. Agnès Bun 黃瑩燕 (@AgnesBun) / Twitter. Les manifestants pro-Trump détruisent des caméras et du matériel qu’ils ont confisqué à des journalistes #AFP. Quand la démocratie vacille. Washington - Mercredi au petit matin, un grand jour de couverture se préparait au bureau de l'AFP à Washington: pas moins de 17 reporters texte, vidéo et photo sur le terrain pour couvrir un des rites les plus importants de la démocratie américaine: la proclamation par le Congrès des résultats de l'élection présidentielle américaine.
(AFP / Olivier Douliery) Vers 9H00, les photographes Saul Loeb et Olivier Douliery passaient les contrôles d’accès du Congrès. “Ma mission était de couvrir la procédure de validation des résultats”, explique Saul, photographe de 37 ans spécialisé dans la couverture politique maintes fois primé, qui a déjà vu passer trois présidents américains. “Je me souviens des deux gardes à l’entrée, qui soulignaient à quel point tout était calme. Je n’ai dû passer que les contrôles habituels, pas de check points supplémentaires… alors que normalement, quand tous les leaders des deux chambres sont là, la sécurité est renforcée”.
(AFP / Mandel Ngan) «Coup», «sédition», «occupation»: comment dire l’affaissement de la démocratie américaine - Page 2. Bannir Trump pour réduire les discours de haine sur les réseaux sociaux. Temps de lecture: 5 min — Repéré sur Vice La décision prise par Twitter, vendredi 8 janvier, de suspendre «de façon permanente» le compte du président Donald Trump, dans la foulée de la tentative d'insurrection au Capitole, a suscité de nombreuses controverses.
Trump, qui a par ailleurs été suspendu pour une durée indéterminée d'autres plateformes comme Facebook, Snapchat ou Twitch, a d'abord lui-même protesté contre cette décision via son compte présidentiel @POTUS, en publiant une série de tweets dénonçant une «suppression de la liberté d'expression» qui s'exercerait au profit «des démocrates et de la gauche radicale», série de tweets rapidement retirée de la plateforme. Cette dernière justifie sa décision par une volonté de prévenir le risque de «nouvelles incitations à la violence», après que le président des États-Unis a encouragé ses supporters à marcher sur le Capitole, au mépris de la démocratie. Donald Trump se dit "scandalisé par la violence" au Capitole. Donald Trump se dit "scandalisé par la violence" au Capitole. QAnon Supporters Think Capitol Shooting Victim Ashli Babbitt is Still Alive.
Le lâche Donald Trump a envoyé Ashli Babbitt à la mort, puis l'a reniée pour sauver sa peau. QAnon, « Stop the steal »… d’où viennent les symboles et slogans brandis par les émeutiers du Capitole ? Tatouages, drapeaux, tee-shirts… Les émeutiers favorables à Donald Trump ayant envahi le Capitole à Washington, DC, mercredi 6 janvier, ont accompagné leur action d’une iconographie bien précise.
Après un meeting, ces supporteurs de l’actuel président américain – qui doit céder la place au vainqueur du scrutin présidentiel de novembre 2020, Joe Biden, dont la victoire vient d’être certifiée – ont pris d’assaut le siège du Congrès américain, à Washington. Les symboles arborés par nombre d’entres eux sont largement utilisés depuis plusieurs années sur les réseaux sociaux, dont certains favoris des partisans de Donald Trump, comme 8chan, Parler, Facebook, etc. Certains faisaient référence à la théorie du complot QAnon, d’autres à des symboles repris par des groupes d’extrême droite. Nos explications. Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Tout cela, c’est de la fraude, on va se faire baiser » : le jour où des partisans de Donald Trump ont semé le chaos au Capitole Le drapeau confédéré. Des partisans de donald trump lors d affrontements avec les forces de l ordre devant la capitole a washington d c le 6 janvier 2021 6288874.
20210106 capitol riot 02. 20210106 capitol riot 01. Remove Trump Tonight. This Is a Coup. Republicans Created the Chaos Outside the U.S. Capitol. The insurrectionists started their march to the Capitol before Trump had even finished his midday address at the Ellipse.
Members of Congress had just begun to debate the certification of Arizona’s electors. “Move in—let them hear your voice!” A man shouted from the West Lawn, urging people across the barricades that other members of the mob had crushed earlier. As the area around the Capitol filled up, insurrectionists began climbing the scaffolding set up for Joe Biden’s imminent inauguration. Capitol Police fired pepper balls. David A. Among the Insurrectionists. From the June 2020 issue: The prophecies of Q “What’s your plan?” I asked her. People in the street, dozens at first, then hundreds, were moving past us, toward Pennsylvania Avenue, and then presumably on to the Capitol. ErHZECMXYAAQ0wq. ErHZAt XIAEm4aT. ErHqQQQXMAAQZxC. ErHpwTFW4AEULum.
ErHp2oVXcAA ePt. ErHoSYzXEAEZ2V. ErHomIHXcAYsxgV. ErHoexRXUAIeKEB. ErHnioJXYAAcoRF. ErEsMSaXMAUkVur. ErEof0AXYAkTU w. ErEl5XEXEAAlfyG. ErEk9WdXcAoHmNI. Ae29ce2225e11ea8f9b3065e55988dcc. 07transition briefing dc protest photo jumbo. Trump’s Georgia Phone Call Shows That His Authoritarian Moment Is Here. US Capitol protest: Police took selfie with rioters in DC chaos. Vision has emerged of police at the US Capitol appearing to remove barricades to allow pro-Trump protesters to gain access to the building, and another officer posing for a selfie.
Washington DC is in the grips of utter chaos after a large number of Donald Trump supporters descended on Capitol Hill to stage a fiery demonstration. Media described law enforcement at the scene as having been “overwhelmed” as rioters stormed the building. CNN reported that police at the Capitol building were caught off guard and didn’t expect people to breach a series of fences leading up to the building. But questions are being raised on social media about how seriously some police officers took the incident, given vision that has emerged. Here’s the scary moment when protesters initially got into the building from the first floor and made their way outside Senate chamber. The Rioters in the Senate Chamber. I don’t know why that particular image, of the idiot infiltrator in the chamber where business of an often ceremonial kind is customarily done, strikes me so vividly.
If I ever sensed something sacred about the goings on at the Capitol, that sense has been all but entirely snuffed out by the seditious cowardice on display there during the past four years. In a hastily arranged speech, President-elect Joe Biden called the Capitol a “citadel of liberty,” but these days I’m not so sure. In another mood, I’d call the picture darkly funny, a final Trumpian absurdity—someday maybe I’ll get there—but my response today isn’t comedic. It isn’t, either, that I’m surprised by white mobs ready for violence, assembled with tacit approval from the President. Heather Heyer’s blood, spilled in Charlottesville, still cries out from the ground. Donald Trump has survived impeachment, twenty-six sexual-misconduct accusations, and thousands of lawsuits.
The Rioters in the Senate Chamber. This Violent Insurrection Is What Trump Wanted. Earlier in the day, there were alarming clashes. At the doors of the House chamber, armed Trump supporters engaged in a standoff with Capitol Police. “Police have guns drawn. We are hiding behind chairs and tables on House gallery,” a reporter on the scene, Politico’s Olivia Beavers, tweeted, at 2:45 p.m. A Test for Congress’s Commitment to Democracy. On January 20th, the Justice Department’s stance that a President cannot be federally indicted while in office will no longer apply to Trump, so the question of whether he committed a crime is not merely theoretical. Federal election law makes it a crime to “knowingly and willfully” attempt to “deprive or defraud the residents of a State of a fair and impartially conducted election process” by the “tabulation of ballots that are known by the person to be materially false, fictitious, or fraudulent.”
Trump appears to have done just that, by asking Raffensperger to announce a fictitious finding of just enough ballots for Trump to win the state, and backing up this demand with a veiled threat of penalty if Raffensperger doesn’t comply. Prosecutors frequently indict criminal defendants based on far less direct evidence.
At that point, the electoral votes that have been officially counted for Biden might not yet have reached the threshold of two hundred and seventy votes. Mob Rule in the Capitol. She wore a plaid scarf and gray wool hat, studded with sequins. I asked if the violence in front of us was going too far. “Whose house is this? Here Is Where the Law Runs Out. But there is one thing law cannot do, and that is command obedience to itself. Someone who does not recognize the law’s authority in the first place would not be moved by its demand that it be obeyed.
And this, I think, is the correct light in which to view the newest, zaniest “legal theory” Trump and his partisans have come up with. They say the Electoral Count Act violates the Twelfth Amendment. They claim that when the amendment says that the “President of the Senate [i.e., the vice president] shall … open all the certificates and the [electoral] votes shall then be counted,” it means that the vice president has sole power and responsibility not only to count the votes but to decide which electors to include. Quinta Jurecic: Nihilism is destroying our democracy. Washington DC : la police affronte les partisans de Trump @BGOnTheScene.