BD tu mourras moins bête : pourquoi est-on inégaux face à la COVID ? - Voici le dernier volet sur le Covid.
Après on revient à des trucs essentiels comme les dreadlocks des chiens ou la gravité artificielle. En attendant, si vous ne l'avez pas déjà fait, lisez les deux premières parties sur le SARS-CoV-2 : partie 1 (qu'est-ce qu'un virus ?) Et la partie 2 (d'où qu'il vient celui-là ?). - Merci encore à Nicolas Vabret, Assistant Professor at the Mount Sinai School of Medicine, NY, pour son expertise, ses explications, ses relectures et sa patience. A suivre via son compte twitter @neoviral parce que c’est lui l’expert. - L’image de la carte postale un tantinet modifiée est tirée de ce site, qui lui-même l’a tiré du livre médical : “Manuel de l’infirmière hospitalière de Croix-Rouge Française”, publié en 1920 par la Croix-Rouge et l’Union française des femmes de France.
En vérité donc, sur la gravure, ce monsieur utilise le pulvérisateur de Richardson. Mais outre l’aide de M. Si vous êtes abonnés à Mediapart, j’avais trouvé cet article intéressant (en FR). VIDEO : Comment sait-on que l’on a ou que l’on a eu le SARS-CoV-2 ? VIDEO : Comment fonctionne le test de dépistage du Coronavirus Covid-19 ? INFOGRAPHIE 1 : SARS-CoV-2 et notion de virus. INFOGRAPHIE 2 : plus d'info sur le SARS-CoV-2. Info 3 complément : plus d'infos sur les anticorps. Facultatif : plus d'info sur la maladie. INFOGRAPHIE 3 : Différents tests de détection – KezaCovid19. Covid-19 : pas besoin de laver les masques en tissu à 60 °C, précise l’Académie de médecine. Un nouveau changement de pratique.
Alors que la communication des autorités politiques et sanitaires a parfois été confuse autour de l'utilisation du masque, l'Académie nationale de médecine a décidé ce mardi d'en préciser quelques usages. Et notamment concernant leur entretien. Ainsi, elle explique que le lavage des masques en tissu réutilisables à 60 °C n'est « pas justifié », alors qu'il s'agissait jusque-là de la recommandation officielle. L'Académie en profite aussi pour appeler à « des règles faciles à comprendre » concernant cet élément de protection contre la transmission du coronavirus. « Les indicateurs épidémiologiques actuels laissant prévoir une situation épidémique prolongée, il devient nécessaire d'intégrer le port du masque dans les gestes quotidiens en le rendant compréhensible, acceptable et routinier », estime la société savante dans un communiqué.
Lavage à main possible VIDÉO. . « Pléthore d'affirmations souvent contradictoires » Newsletter - L'essentiel de l'actu VIDÉO. Tuto: comment bien mettre son masque ? Covid: 4 mythes sur le masque. Porter un masque diminue le taux d’oxygène dans le sang ?
Faux. Le masque laisse aisément passer les molécules d’oxygène. La preuve : le cœur d’une personne qui le porte n’a pas à battre plus rapidement pour combler ses besoins en oxygène, d’après une étude publiée dans le Journal of Biological Engineering en 2016. Le Dr Alain Vadeboncoeur, de l’Institut de cardiologie de Montréal, a d’ailleurs fait le test au mois de juillet. Il a porté successivement une visière, un masque chirurgical et un masque N95 pendant quelques minutes. Le masque sert avant tout à se protéger soi-même ? Le masque protège avant tout l’entourage de celui qui le porte. Le masque nuit au système immunitaire de la personne qui le porte ? Les adeptes de cette théorie avancent qu’en portant le masque, une personne respire le gaz carbonique qu’elle émet.
Le masque inefficace et dangereux, vraiment ? Adobe stock Le masque est devenu en quelques mois l’un des symboles de la pandémie de Covid-19.
Alors que de nombreux pays l’imposent désormais dans l’espace public, principalement dans les lieux clos, un mouvement anti-masques, alimenté par de fausses informations circulant sur les réseaux sociaux, a pris de l’ampleur ces dernières semaines. Canal Détox fait le point pour couper court aux idées reçues et apporter un éclairage sur les questionnements scientifiques en cours. Craintes et désinformation Parmi les rumeurs infondées qui circulent en ligne, l’idée que les masques empêchent une bonne respiration reste tenace. Les masques, notamment chirurgicaux, sont conçus pour être portés pendant une durée de plusieurs heures par les professionnels de santé, sans entraver leurs capacités à travailler, ni altérer leurs capacités respiratoires.
Certaines publications évoquent en outre une « suppression » du système immunitaire liée au port du masque. Ralentir les épidémies.