Sans titre. Pas de « monde d'après » sans l'union de nos forces. « Il faut renoncer aux futurs déjà obsolètes » Ne leur parlez pas de développement durable, ni de RSE.
Enseignants-chercheurs à l'ESC Clermont et membres de l'Origens Media Lab, Emmanuel Bonnet, Diego Landivar et Alexandre Monnin sautent à pieds joints dans l'Anthropocène, et demandent aux entreprises de regarder les choses en face : des pans entiers de nos économies sont obsolètes au regard du monde qui vient, et nous n'avons pas les moyens écologiques de faire advenir une bonne partie des révolutions technologiques annoncées.Une entreprise peut-elle prendre ce constat au sérieux, et agir en conséquence - c'est à dire le plus souvent renoncer, démanteler, désinvestir… pour se rediriger ? Dominique Méda : "La crise du Covid-19 nous oblige à réevaluer l'utilité sociale des métiers". Pour l’Eco.
La crise sanitaire du Covid-19 semble redonner un statut à ceraines professions essentielles à notre vie de démocratie et de société : personnels soignants, agriculteurs… La pandémie peut-elle conduire à réinterroger la valeur travail ? Dominique Méda. Cette crise va nous donner l’occasion d’une double réflexion : sur le rôle social du travail, d’une part, et sur l’importance relative accordée aux différents métiers, d’autre part. Concernant le travail, le confinement va confirmer, comme l'ont fait de nombreux sociologues (1), le caractère très structurant de son rôle dans notre vie. Le travail, même à distance, va peut-être détourner notre esprit de ce moment angoissant. Mais il s’agit aussi d’un moment opportun pour prendre en considération l’importance sociale des différents métiers. L'agroécologie expliquée à ma mère.
Permaculture, agriculture raisonnée, agroforesterie… Dans l’agriculture, les concepts fleurissent chaque année avec le printemps.
Parmi les petits derniers, l’agroécologie. Voici idées et principes à retenir pour faire le tour d’un mouvement qui pourrait un jour dépasser la bio. Ivy League Online Courses. Professor says surveillance capitalism is undermining democracy. The continuing advances of the digital revolution can be dazzling.
But Shoshana Zuboff, professor emerita at Harvard Business School, warns that their lights, bells, and whistles have made us blind and deaf to the ways high-tech giants exploit our personal data for their own ends. In her new book, “The Age of Surveillance Capitalism,” Zuboff offers a disturbing picture of how Silicon Valley and other corporations are mining users’ information to predict and shape their behavior. The Gazette recently interviewed Zuboff about her belief that surveillance capitalism, a term she coined in 2014, is undermining personal autonomy and eroding democracy — and the ways she says society can fight back. GAZETTE: The digital revolution began with great promise. When did you start worrying that the tech giants driving it were becoming more interested in exploiting us than serving us?
GAZETTE: What are some of the ways we might not realize that we are losing our autonomy to Facebook, Google, and others? DARE Green : LVMH met ses intrapreneurs et l’open innovation au service des défis environnementaux. Après le succès de la première édition de DARE (Disrupt, Act, Risk to be an Entrepreneur) en juillet dernier, le groupe LVMH a renouvelé l’expérience avec un opus dédié à la thématique de l’environnement du 9 au 11 octobre.
Retour sur trois jours intenses où le développement durable a rimé avec entrepreneuriat, créativité et innovation. Situé au carrefour de l’open innovation et du développement professionnel, DARE est un programme qui permet aux managers du groupe LVMH de transformer leurs idées novatrices en vrais business plans. Suivant la célébration des 25 ans de la Direction de l’Environnement en septembre dernier, cette deuxième édition était l’occasion de mettre l’intelligence collective de ses talents au service des problématiques environnementales dans le secteur du luxe.
Climat : faut-il taxer ou boycotter l'avion ? L’urgence climatique impose de remettre sur la table ce sujet longtemps mis de côté.
Faut-il taxer le transport aérien, boycotter l'avion, ou les deux ? Les Suédois parlent de « flygskam ». Ils désignent ainsi la « honte de prendre l’avion », sentiment de culpabilité qui, là-bas se répand face à l’impact environnemental néfaste du transport aérien. Les autres langues n’ont pas inventé de néologisme semblable, mais partout en Europe, les questionnements autour de l’avion émergent à nouveau, depuis quelques mois, dans le débat public et médiatique. Les 1 500 jets privés affrétés pour le Forum économique mondial de Davos (Suisse), par exemple, ne passent plus aussi inaperçus qu’avant…
Formation : une parenthèse pour créer son blog personnel au service d'un projet professionnel - infullswing. La formation est un temps pour soi.
On demande souvent aux stagiaires de formation de s’investir sur les projets d’autres. Moi le premier. La plupart du temps j’essaie de le faire parce que l’opportunité est particulièrement intéressante. Impliquer ainsi les étudiants leur permet de prendre part à un projet motivant démontrant leur capacité et d’être vu de professionnels qu’ils pourront potentiellement plus tard recroiser. Cependant, et ce notamment en formation professionnelle, il me semble important que la formation soit un temps pour soi et pas un temps qu’on donne aux autres.