Le gouvernement va réintroduire les insecticides « tueurs d’abeilles » Les producteurs de betteraves ont eu gain de cause.
Le ministère de l’agriculture et de l’alimentation a annoncé, jeudi 6 août, la mise en place d’un plan d’aide à la filière, confrontée à la jaunisse de la betterave, une maladie virale transmise par un puceron (Myzus persicae). Cette maladie peut entraîner des baisses de rendement pouvant atteindre 30 % à 50 % – selon les estimations des professionnels, reprises par le communiqué ministériel. Ces derniers disent être face à une « crise inédite ».
Le souci écologique à la source d’une révolution intellectuelle française. Le désastre écologique a provoqué un bouleversement idéologique.
Peut-être même une révolution intellectuelle. Au cœur d’une vie des idées qui a parfois tendance à ronronner, le souci planétaire crée en tout cas un salutaire appel d’air. L’accroissement du bétail est un facteur pandémique mondial, selon une étude. « La croissance mondiale d’élevage de bétail menace la biodiversité et augmente les risques sanitaires pour les humains et les animaux domestiques. » Ces liens sont au cœur d’une étude de Serge Morand, chercheur au Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement) en Thaïlande, détaché du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), qui a été publiée le 22 juillet dans la revue Biological Conversation.
Au niveau mondial, les recherches montrent une augmentation de l’émergence de maladies infectieuses et d’épidémies, une perte accélérée de la biodiversité et une augmentation importante de la production d’animaux domestiques. Mais quel est le lien entre ces différentes manifestations ? Cette question résurgente à la suite de la crise du Covid-19 trouve une première vague de réponses grâce à cette nouvelle étude en écologie des parasites. Source : Cirad Photo : élevage bovin en Argentine, via Wikipedia. « Le gouvernement campe fermement sur une ligne anticlimat » Clément Sénéchal est porte-parole sur le climat à Greenpeace France.
Clément Sénéchal Reporterre — Le troisième plan de soutien à l’économie française, le PLFR3 (projet de loi de finance rectificatif), a été adopté en commission mixte paritaire le 21 juillet. Depuis le confinement, gouvernement et Parlement ont injecté des centaines de milliards d’euros dans l’économie, de quoi modeler le fameux « monde d’après ». À quoi va-t-il ressembler selon vous ? Quand le Covid-19 met en lumière la crise de responsabilité politique. Au premier tour des élections municipales le 15 mars dernier, le taux d’abstention a atteint un niveau historique, mais peu surprenant au regard de la crise sanitaire, de 55,3 %.
Au second tour, le 28 juin, seuls 41,6 % de ceux appelés à voter se sont déplacés aux urnes. Mi-mars, nous soulignions déjà le déficit de légitimité qui risquait de marquer ce scrutin s’il était maintenu dans un tel contexte épidémique. Aujourd’hui, la question de l’interprétation de cette faible participation, inédite pour un scrutin local, se pose. En effet, ce nouveau record s’inscrit dans la lignée de la progression de l’abstentionnisme sous la Ve République. Mais il s’en distingue aussi, puisqu’il a fallu compter avec l’effet dissuasif du nouveau coronavirus. Faut-il alors voir les seuls effets du Covid-19 dans la progression de presque 19 points qui sépare le taux d’abstention au premier tour des municipales de 2014 (37,5 %) et de 2020 ? Énergie et climat : quatre scénarios pour le monde de l’après-Covid.
Il est impossible de dire aujourd’hui quel sera le futur de l’économie mondiale.
D’abord parce que la crise sanitaire n’est pas terminée et que, si la situation s’améliore dans certains pays dont la France, on ne peut éliminer l’hypothèse selon laquelle il faudrait vivre, en l’attente d’un vaccin, une série de répliques et de vagues de diffusion de la maladie (chacune entraînant de nouveaux épisodes de confinement et de ralentissement de l’activité). Ensuite, parce que le futur sera d’abord ce qu’en feront les gouvernements et les citoyens, dans un contexte d’incertitudes radicales et de grandes difficultés économiques et sociales. Lignes de fractures et trajectoires Les points de vue exprimés dans les médias, qu’ils le soient en termes de constat ou de recommandations, sont innombrables et il est difficile d’en tirer une vision claire.
On peut cependant tenter d’identifier, à partir des différents points de vue exprimés, les principales lignes de fracture. Les technologies permettront-elles de surmonter les crises à venir ? Les crises économiques, sanitaires, sociales, les conflits armés, les pandémies, les catastrophes naturelles mettent souvent en lumière le manque de préparation et d’anticipation des communautés humaines qui doivent faire face à des chocs aussi violents qu’imprévus.
La recherche de plus de résilience (plus de capacités à absorber des perturbations) pour les systèmes et les sociétés impactées devient prioritaire une fois passé le pic de la crise. Si la technologie dans son ensemble peut apporter des réponses sectorisées et contribuer au développement de la résilience, la robotique et l’intelligence artificielle (IA) fournissent des solutions clé en main qui éloignent l’homme du risque par la détection précoce des menaces. Leur déploiement permet de sauver des vies. Des exemples pour lesquels la robotique et l’IA auraient sauvé des vies. Débat : Quelles leçons de démocratie tirer de la pandémie ?
Dans de nombreux pays du monde, y compris le nôtre, le coronavirus SARS-CoV-2 responsable de la pandémie de Covid-19 s’est attaqué à la démocratie autant qu’aux corps humains.
Il est dans le principe d’un régime démocratique de comporter, au cœur de son mode de gouvernement, une ouverture permanente à l’incertitude, à commencer par l’incertitude de l’humain, de ses opinions, de ses affects. Mais alors, pourquoi cette épidémie semble-t-elle mettre en péril ce qu’il y a de démocratique dans nos institutions et leur fonctionnement ? Quand la rhétorique éclipse les questions politiques Puisque la démocratie est affaire de délibération, donc de logos (d’usage rationnel du langage) commençons par ce qui la compromet : la mauvaise rhétorique.
À en croire Emmanuel Macron, dans son allocution du 16 mars, nous étions entrés « en guerre ». Une épidémie est un moment éminemment politique L’expert ne doit pas être le seul décisionnaire en démocratie Écoutons. Après le Covid-19, quelle énergie pour la reprise ? Au-delà de ses effets catastrophiques sur la santé, le coronavirus provoque aussi d’importants remous dans l’économie mondiale et les finances publiques.
La durée et l’ampleur de cette crise restent aujourd’hui inconnues. Peu de secteurs sortiront victorieux de cet épisode inédit : il s’agit d’un choc négatif important, inattendu et persistant qui modifiera les facteurs fondamentaux du marché pour les années à venir. Le besoin de fonds de relance a également exercé une pression sans précédent sur les budgets des gouvernements. Les banques centrales ont dû imprimer des milliards pour répondre à la crise. Ce « pansement fiscal » est malheureusement loin d’être suffisant. Quelles doivent être les prochaines mesures ? La carte des luttes contre les grands projets inutiles. Reporterre actualise régulièrement la carte des luttes et a publié plusieurs articles sur ce thème : « La carte des luttes contre les grands projets inutiles », à lire ici « La carte des luttes, révélateur des contestations locales », à lire ici « Tutos, aide juridique...
SuperLocal veut soutenir 200 collectifs en lutte », à lire ici À la radio avec « La Terre au carré », sur France Inter « Les luttes contre les projets inutiles s’invitent dans les municipales », à lire ici La carte en plein écran est DISPONIBLE ICI. L’émergence des nouvelles épidémies s’accélère, comment y faire face ? Si des recherches sont encore nécessaires pour retracer précisément l’histoire de l’émergence du nouveau coronavirus SARS-CoV-2, responsable de la pandémie de Covid-19, son origine animale est l’hypothèse privilégiée jusqu’à présent.
La crise sanitaire causée par l’épidémie de Covid-19 vient donc nous rappeler avec acuité, une nouvelle fois, les interconnexions entre la santé humaine et la santé animale, entre l’environnement et la mondialisation. Elle fait suite à d’autres crises récentes, telles que la pandémie de VIH, les émergences répétées de la maladie à virus Ebola, ou les épidémies dues à d’autres coronavirus, comme ceux du SARS et du MERS, entre autres. Comment se produisent ces émergences ? S’accélèrent-elles au même rythme que les échanges mondiaux ? Comment mieux les anticiper ? Comment émergent les maladies infectieuses ? La boutique. Comment réparer le monde ? - Ép. 2/5 - Penser l'après. Voix majeure de la défense de la cause animale et environnementale, Corine Pelluchon est professeure d’éthique et de philosophie politique à l’université Gustave Eiffel et membre du Conseil scientifique de la Fondation pour la nature et l’homme de Nicolas Hulot. Elle s’est vue décerner cette année le prix Günther Anders de la pensée critique pour l’ensemble de ses travaux, un prix qui récompense des auteurs germanophones dont les oeuvres portent sur les conditions de vie dans notre monde contemporain.
Avec la crise actuelle, j'ai senti une effervescence d'idées et une sensibilité des personnes à des questions qui sont importantes pour moi depuis longtemps : la transition écologique, le rapport aux animaux – y compris aux animaux sauvages-, la santé et la justice. (Corine Pelluchon) Face à la crise actuelle, Corine Pelluchon prône une transition écologique qui s’impose de manière démocratique et non coercitive. En mars 2020, elle publiait Réparons le monde. Extraits sonores : Textes à l'appui. Aggiornamento histoire-géo, ACU (Association des communistes unitaires), Association De(s)générations, CAPJPO-Europalestine, Cerises la coopérative, Changer de Cap, Collectif des révolutionnaires, Collectif Droit à la Belle Ville, Collect’IF paille, EcoRev’, Émancipation collective, Ensemble ! -PACG 05, Fédération des syndicats SUD-Rail, « gilets jaunes » de Belleville, « gilets jaunes » enseignement recherche, « gilets jaunes » de Plaine Commune, Jardins Communs, Jarez Solidarités, La Suite du monde, Le Paria, Les infiltrés, On prend les champs, PEPS (Pour une écologie populaire et sociale), Questions de classe(s), Reporters en Colère, Réseau pour l’Autogestion, les Alternatives, l’Altermondialisme, l’Ecologie, le Féminisme, Réseau salariat Essonne, Réseau salariat Pays de Loire, SUD éducation Loiret, SUD éducation Paris, Union prolétarienne ML, Union syndicale Solidaires, Union syndicale SUD Industrie, Unité Communiste de Lyon, Union communiste libertaire Qui sommes-nous ?
Le monde d'après (1) : la rupture aura-t-elle lieu ? Tout le monde a sa petite idée sur "le monde d’après" : personne ne peut imaginer que la mise en panne de l’économie mondiale pour cause de confinement de la moitié de la population humaine puisse rester sans effet sur la suite de notre histoire. Et pourtant, nous n’avons aucune certitude concernant l’agenda de la sortie de crise.
A cette heure, nous ne disposons ni de traitement efficace ni de vaccin. Et nous ne savons pas encore quelle pourra être l’étendue des dommages, tant sanitaires qu’économiques et sociaux, que risque de nous infliger, dans les mois, voire les années qui viennent, ce nouveau coronavirus. Rien ne sera plus comme avant ? On repère vite un premier clivage entre ceux qui estiment que cette pandémie va créer des ruptures décisives avec le passé et ceux qui pensent, au contraire, que la crise va accélérer des mutations qui étaient déjà amorcées, amplifier des phénomènes préexistants.
Sécurité versus libertés : le match John Gray/Mario Vargas Llosa. Penser demain. Êtes-vous prêts à vous déséconomiser ? Que le Président s’entoure d’un conseil d’experts économistes ne peut, après la Covid-19, que susciter l’effroi. Nombreux étaient les chercheurs et les activistes qui savaient déjà combien l’économie peut apparaître détachée de l’expérience usuelle des humains mais la douloureuse expérience de la pandémie a popularisé ce décalage.
Ce sont des millions de gens qui ont vécu la même expérience que Jim Carrey, le héros du Truman Show : ils ont fini par crever le bord du plateau et réalisé que le décor se détachait de l’armature métallique qui le faisait tenir debout. De cette expérience, de ce décalage, de ce doute, on ne se remet pas. « Le chef de l’État met en place une commission d’experts internationaux pour préparer les grands défis », écrit Le Monde dans son édition du 29 mai et les journalistes d’ajouter : « “Le choix a été fait de privilégier une commission homogène en termes de profils et d’expertise, pour avoir les réponses des académiques sur les grands défis. Bruno Latour. Après la crise : quelles formations pour relever les défis contemporains ? Alimentation et agriculture : mieux préparer l’Europe aux risques de chocs sanitaires.
Le 20 mai, la Commission européenne a rendu publics deux volets très attendus de son Pacte vert. Et si on cherchait autrement ? Plaidoyer pour une science de la durabilité. Penser l’après – information, recherche et analyse – The Conversation France, page 1. Pour Félix Guattari, « l’écologie environnementale devrait être pensée d’un seul tenant avec l’écologie sociale et l’écologie mentale ».
C'est à cette condition que nous pourrons inventer l'après. Quelle est la trajectoire la plus plausible pour la reprise ? Le déconfinement permet le redémarrage progressif de l’activité et plusieurs scénarios de croissance sont désormais possibles ces prochains mois. Le monde d’après : « Le risque est de mettre des rustines là où il faudrait réformer en profondeur »
Tribune. Covid-19 : « La crise que nous traversons nous oblige à repenser notre modèle économique et sociétal à l’aune de la durabilité » Tribune. La crise sanitaire actuelle n’est pas sans risque pour l’écologie. En effet, à Paris comme à Bruxelles, certains acteurs de l’industrie ou des fabricants se mobilisent pour remettre en question des textes déjà débattus et adoptés, en arguant de leur incapacité à mettre en œuvre ces mesures écologiques en temps de crise économique. Parmi les textes remis en question par certaines organisations figure la loi relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire, promulguée en février. Gaël Giraud: «La reconstruction écologique nous ouvre un monde de la surabondance» La solidarité signifie le démantèlement du système partout. Un nouveau mouvement de solidarité se lève. De Los Angeles à Sao Paulo, de Minneapolis à Londres, « Black Lives Matter » (« la vie des Noirs compte ») est un cri de ralliement et une revendication entendus dans le monde entier.
François Ruffin : "Il faut passer d'une économie des désirs à une économie des besoins" François Ruffin, député LFI de la Somme est l'invité du grand entretien. Il publie "Leur folie, nos vies" aux éditions Les liens qui libèrent. François Ruffin intime de radicalement repenser l'économie post-Covid et affirme : "Macron a dit que c'était une folie de confier la santé au marché, mais ils [les hommes politiques ] l'ont construites, voulues !
". Brandissant une poignée de terre il alerte : "Regardez la terre, sèche comme un caillou en Picardie, voilà ce qui doit faire le fond de nos existences. #EtAprès ? Le monde d'après selon "We Demain" Économie et écologie, un mariage de raison... La fin du "toujours plus, toujours plus loin" ? Pourquoi ce sont les riches qui doivent payer la sortie de crise. Imaginons que les alternatives prennent le pouvoir.
Pour un plan de sortie de crise écologique, « il faut doubler le nombre de paysans » Pour éviter les pandémies, cessons l’élevage industriel. Créons une sécurité sociale de l’alimentation pour enrayer la faim. « En sortir » — mais de quoi et par où ?, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 10 mai 2020) De la CGT à Greenpeace, une alliance inédite entre syndicats et mouvements écologistes. De la CGT à Greenpeace, la société civile bouscule la gauche. Plus de 165 000 participants à une consultation citoyenne sur le « monde d’après » « La transition écologique impose des choix cohérents au service d’un projet d’émancipation » Dossier : La solidarité en temps de crise. Carrières : avec la crise, quatre manières d’appréhender sa quête de sens au travail. Replay La grande librairie - Et après ? - France 5. Le bien commun : notre idéal pour le 21ème siècle.
40 livres pour rêver le monde de demain. Replay Le monde en face - Émission du mardi 12 mai 2020 - France 5. Construire une société résiliente et décarbonée : l’impossible retour à la normale - The Shift Project. Crises climat chantier du Plan Shift Project. Tout le monde est prêt ? Y a plus qu'à... S’inspirer du biomimétisme pour repenser l’organisation de nos sociétés. Vélo, sécurité alimentaire, taxation des riches.. La sphère écolo pousse pour un « après » plus vert. Pour les collapsologues, la pandémie accélère la quête de l’autosuffisance. Thomas Piketty : « Après la crise, le temps de la monnaie verte »
Penser l’après : Seule la reconversion écologique pourra éviter la déshumanisation du travail. La révolution de la santé publique en France : premières idées collectives. Et si on avait un réel impact sur le monde de demain? Les riches rembourseront-ils la «dette de vie» des entreprises françaises? Corona - Wege aus der Krise. Entretien avec le climatologue Jean Jouzel : “Cette crise a mis en lumière nos fragilités” Post-Covid : les outils du droit contre la régression environnementale. Repenser notre résilience face aux crises : un enjeu local -
Sebastiao Salgado, Vandana Shiva, Valérie Masson-Delmotte... : les propositions de neuf personnalités pour l’après-coronavirus. Sept pistes pour le « monde d’après » le coronavirus pour ne pas redémarrer comme avant – Même pas mal. Le monde d’après : « Il est temps de ne pas reprendre comme avant » Tirons les leçons de la crise pour engager la transition écologique ! « Non à un retour à la normale » : de Robert De Niro à Juliette Binoche, l’appel de 200 artistes et scientifiques. L’appel de Nicolas Hulot pour le monde d'après. Les 100 principes de Nicolas Hulot pour « un nouveau monde » Nicolas Hulot : « Le monde d’après sera radicalement différent de celui d’aujourd’hui, et il le sera de gré ou de force » Attac veut sortir de la crise par la justice fiscale. Lettre au Président: pour la fin du modèle agro-industriel. Un appel de Vincent Lindon: «Comment ce pays si riche…»
Une partie de la droite souhaite le retour d’un Etat «planificateur» Entre craintes et espoirs, «le monde d’après» vu par les travailleurs. GRAND ENTRETIEN. Valérie Masson-Delmotte, climatologue, dessine l'après-coronavirus : "Il va falloir du courage politique pour éviter les vieilles ficelles" Valérie Masson-Delmotte : « Si l’effort de relance ne se fait pas en ayant en tête le climat… »
Comment redémarrer l’économie ? 10 questions pour comprendre une crise sans précédent. Le 1 - Une nouvelle expérience de presse. Le titre de une. Hebdo n° 1538 - La vie d'après. Éloge de l’humilité. Avec Dominique Bourg, Jean-Pierre Le Goff, Lorraine Daston, Michaël Foessel... Imagine... le monde de demain. Thomas Piketty, économiste : "Il faut rétablir l'Impôt sur la fortune" Ils ne lâcheront rien, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 5 mai 2020)
Un avant-goût du choc climatique, par Philippe Descamps & Thierry Lebel (Le Monde diplomatique, mai 2020) L’heure de la planification écologique, par Cédric Durand & Razmig Keucheyan (Le Monde diplomatique, mai 2020) Penser l’après : Le confinement, un rite de passage ? Une solution « à la japonaise » pour éviter la crise des dettes souveraines.
Nicolas Dufrêne : la politique monétaire doit financer la transition écologique et l'économie réelle. Pour relancer l’économie, choisissons les monnaies locales. Climat : gare à la relance économique « grise » « La crise actuelle ne remettra pas en cause l’existence des chaînes de production mondiales » Impossibles voyages : le confinement, révélateur de notre rapport au monde. Repenser fondamentalement le concept de santé publique. Aux fraudeurs du fisc de payer la dette liée au coronavirus ! Covid-19 : conditionner les aides aux entreprises à des engagements environnementaux ? Le Covid-19 relance le débat sur le revenu universel : va t-il changer notre rapport au travail ? Julia Cagé : "Le retour de l'austérité serait la réponse la plus absurde à cette crise"
Une question de point de vue. Il n’y a plus d’après, la catastrophe est là. Après le coronavirus : « Pourquoi ne pas penser aussi à la planification à la française ? »