Protesters demand Amazon break ties with Ice and Homeland Security. Hundreds of protesters demonstrated outside the annual Amazon Web Services summit in New York on Thursday, demanding the tech giant cut ties with government agencies that take part in immigrant deportations.
The demonstrators, including Amazon warehouse workers, other tech employees, and immigrants outside the tech world, are calling on Amazon to cease its relationships with US Immigration and Customs Enforcement (Ice) and the Department of Homeland Security. Amazon Web Services hosts DHS databases that allow the department and its agencies to track and apprehend immigrants. It is also in talks to expand a partnership to host new DHS biometric databases that store more extensive data, including eye color, tattoos and other identifiers. Il n’y a pas d’échec, il n’y a que du feedback – Business and Soul.
Comme enseignante de PNL, j’ai remarqué que ce présupposé était un des plus difficiles à faire pleinement accepter par les participants.
Demême, beaucoup de mes coachés vivent très difficilement les échecs qu’ils ont traversés. Ils ont du mal à rebondir et en éprouvent généralement de la honte. Il en résulte souvent une peur de l’échec qui inhibe les prises de décisions. Dans son excellent livre « Les vertus de l’échec », le philosophe Charles Pépin y associe plusieurs pouvoirs. Un appel de Vincent Lindon: «Comment ce pays si riche…» «Spécialiste en rien, intéressé par tout », comme il se définit lui-même, Vincent Lindon cultive une parole publique rare que la crise insensée que nous vivons a libérée.
Radicalement absent des réseaux sociaux – il n'est ni sur Facebook, ni sur Twitter, ni Instagram, ni nulle part de ce genre –, le comédien a décidé de confier à Mediapart une longue réflexion, lue face caméra chez lui, sur ce que la pandémie révèle du pays qui est le nôtre, la France, sixième puissance mondiale empêtrée dans le dénuement (sanitaire), puis le mensonge (gouvernemental) et désormais la colère (citoyenne). Ce n’est pas un comédien qui s’exprime ici, et encore moins un artiste coincé dans son écosystème, celui de la culture ; le mot est d’ailleurs absent de son texte. Non pas que le sujet ne lui soit pas d’une importance cruciale – il l’est, vu le péril qui guette (voir nos articles ici, ici, ou là) –, mais c’est au-delà de cet horizon que regarde le comédien.
Vincent Lindon parle à hauteur de citoyen. Crise du Covid-19 : quelles conséquences politiques ? Lors de la crise des subprimes, une crise financière, provoquée par la rapacité et l’inconséquence des banques, le capitalisme paraissait sur la sellette.
D’innombrables essais et articles, publiés il y a une dizaine d’années, nous annonçaient la disparition imminente d’un système économique où les mouvements de capitaux avaient divorcé de l’économie réelle. Cinéma : féminin masculin, les pièges du regard. Lettre ouverte à l'autrice du livre "Le Regard féminin.
Une révolution à l'écran". Chère Iris Brey, J’ai lu avec grand intérêt votre livre, Le Regard féminin. Une révolution à l’écran, paru récemment aux éditions de l’Olivier. Cette publication – qui revisite dans une optique critique plusieurs films tournés par des femmes et quelques hommes tout au long de l’histoire du cinéma et qui accorde la part belle à des productions très récentes (comme Portrait de la jeune fille en feu [2019] de Céline Sciamma, ou encore la série I Love Dick [2016] de Sarah Gubbins et Jill Solloway) – tombe à pic.
Je suis personnellement sensible à la démarche qui consiste à interroger la mise en scène des expériences propres aux corps des femmes, sans pour autant négliger ce que vous appelez la "corporéité de l’image", c’est-à-dire les formes choisies pour incarner ces représentations. L’argument qui structure votre travail est l’idée de regard féminin, ou female gaze. Dans son ouvrage The Desire to Desire. En attendant le jour où nous pourrons à nouveau nous embrasser. Pas la peine de faire un dessin : le coronavirus écrase la réalité, il est la réalité.
À force de venir vers nous à toute vitesse, le futur vient de nous percuter. Nous voici dans un mélange de Years and Years et de Contagion. À côté des conséquences qu’il provoque, plus rien n’existe. Alain Damasio : « Pour le déconfinement, je rêve d’un carnaval des fous, qui renverse nos rois de pacotille » Alain Damasio est écrivain de science-fiction.
Son dernier roman, Les Furtifs, a été publié en avril 2019 aux éditions La Volte. Reporterre — Êtes-vous en colère avec ce qui se passe en ce moment ? Alain Damasio — Clairement, je suis en colère, mais pas contre la pandémie elle-même. Je perçois et vis ce virus comme complètement naturel. Je suis en colère contre la façon dont notre gouvernement gère cette crise d’une façon pathétiquement verticale, centralisée et ultrasécuritaire, en faisant assumer à la population son incompétence crasse.
Ce gouvernement nous martèle depuis deux ans : « Nous sommes l’innovation, nous sommes la réactivité, nous sommes la performance », et au moment crucial où il faudrait « performer », plus personne ! Mais quand le président de la République parle, 36 millions de personnes l’écoutent. Edgar Morin : « Le confinement peut nous aider à commencer une détoxification de notre mode de vie »